Rencontre Chapitre 2

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Je le vis partir.
En moi je ne savais pas où j'en étais.

Mon téléphone c'est, ce qui me venit à l'esprit. Je voulais avoir le coeur net, et comprendre.
Comment avais je pus faire le numéro de Ricco et avoir quelqu'un d'autre au bout du fil.

Sur mon téléphone étais un numéro inversé.....et après avoir compris, je suis aller prendre une douche tranquillement.

Je m'apprêtais à aller voire une exposition d'oeuvre d'art et une autre de peinture, quand du coup le téléphone retentis.

Moi : Allô
Lui : Bonjour, coucou c'est moi.

Je reconnu la voie

Moi : Oui Raph, je te manque déjà?

En moi j'étais morte de rire, mais je le lui fis pas remarqué.

Lui : Lise j'en revient pas encore comment nous nous sommes trouvez, mais je voulais juste te faire un coucou et te montré que je pense à toi.

Moi : Merci c'est très gentil et prévenant, ca me fais énormément plaisir.

Raph resta sans mot pendant quelques seconde.

Puis il me dit : Lise j'aurais vraiment envie d'être près de toi en se moment, et ne pas être ici chez moi à pensé à toi. Est-ce-que toi tu n'as pas la même envie que moi???

Moi : A vraie dire je m'apprêtais à partir... mais ça me fais plaisir de te l'entendre dire.

Lui : Ah, ok pardon je vais te laisser alors. Bonne fin de journée.

Je séntis ça voix qui était comme celle d'un enfant abbatu, par son rêve qui venais d'éclater comme une boule à savon.

Je lui dis d'un coup : Je dois te laisser, j'ai une chose importante à faire. A bientôt bonne journée.

Lui : Merci à toi aussi.

Je me mis une belle robe légère je me sentais comme une déesse...

Le fait que lui pensait à moi me donnait des ailes.

Arrivé dàns la salle, des oeuvres d'arts je me laissais transporter, et le fait de les contempler donnais le sens de planer dans un monde second toutes ces belles choses me donnais le sens du bien être.

Je me mis à discuter avec le sculpteur, un homme très charmant d'ailleurs.
Je suivais ces oeuvres partout, parce que je pouvais m'identifier avec.

Je resortis et poursuivis mon chemin pour aller au vernissage.
Depuis que j'étais sortis de chez moi, j'avais la sensations que l'on me poursuivait.

Je me retournais pour voire et regarder autour de moi mais je ne vis rien de suspect. Alors je me suis dis que peut être c'étais mon illusion et que ma phantasie me jouais des tours.

J'étais quand même contente quand j'ouvris la porte du vernissage. Tranquillement je contemplais les peintures pour me noyé dedans quand du coup je crus apercevoir Raph.

En moi comme une forte impression me veins que c'étais pas un hasard que je le revois à ùne place que je m'y attendais pas du tout.

Je decidais d'aller vers lui et de lui crié dans les oreilles.

Arrivé derrière lui je fis : Coucou

Ola!!! Il fit un sursaut.

Je lui dis : Que fais tu ici?

Lui en rigolant : La même chose que toi, je suppose.

J'avais comme un doute, mais je ne savais s'il étais fondé, qu'il me suivait.

Je décidais de rien lui dire. Heureuse qu'il sois la, on passait un doux moment de partage.

Quand nous avions fait le tour du vernissage, je lui fis: Bon je vais te laisser passe une bonne soirée.

Lui : Merci pareillement.

Je rentrais tranquillement chez moi, la nuit venue dans mon lit, Ralph me tourmentais et je n'arrivais pas à m'endormir.
Je voulais lui telephoner mais l'heures étais trop tardive pour le déranger.

Dans mes rêves je me vis m'enlacer à lui, être sur sa poitrine être dévorer de partout par lui.

Je dormais très mal, et je regardais mon reveil, pas mal de fois, l'heures elle ne voulais pas tourner , pourquoi, c'est la question que je me posait, et soudain un sms arriva je prends mon téléphone allume la lumière et lit : Hello ma belle juste pour te dire que je n'arrive pas à dormir et que je pense à toi.

Contente et apaisé je m'endormis.

Ce matin le réveil retentis et vite je fais ma toilette m'habille, prend mon petit déjeuner puis part au boulot.

Arrivé devant mon travail j'avais du mal à trouvez une place pour me garer, heureusement que j'ai l'habitude de vouloir être au moins un quart d'heure avant que je commence sur les lieux.

Directrice d'un centre d'ados qui ont été violé ou battu, je ne peux pas me permettre d'arriver en retard, je ne serais pas crédible, sauf en cas de vraie pépin.

Pas évident de travailler dans un lieu comme celui là, mais heureusement que je suis soutenue par l'éducation nationale et par le ministère et que les éducatrices les psychologues nous formons ùne belle équipe obligé pour faire un super boulot pour que tout se passe le mieux possible.
Pour aidés les jeunes à dépasser le cap et se reprendre en main, et de nouveaux avoir confiance et le respect pour soi.

J'avoue que c'est un travail très dur et que sa te bouffe les réservés.
Faut tout le temps les encadrer ces filles, et elles essaient constamment de dépasser les limites. Elles cherchent une identité elles sont totalment désorientés et perdu, et tout ça à rapport avec l'acte d'abus de violonce.

J'avoue que c'est passionnant comme travail pour les aider et les faire évoluer que c'est enrichissant mais très éprouvant je l'avoue.

Ma soupape c'est de faire du sport; du fitness et d'aller courire.

Des fois j'en ai même tellement gros sur la patate que je vais dans les bois et je crie un bon coup pour faire sortir toutes mes tensions.

Dans mon lit des fois je pleur oui,
parce que je pense que aucun être humain devrais vivre des choses pareil.

Mais je me demande comment ùn qui se dis d'être adulte ne sais pas se tenir en laisse. Je me dit que cette personne doit être malade.


La nuit tombéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant