𝙎𝙤𝙛𝙞𝙖 | Au Coeur De La Mafia

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Ça fait, je ne sais pas combien de temps que Vincenzo cris. 

Enzo a la tête rouge de colère et les autres ne font aucune expression, ils n'osent pas.

Vincenzo prend ce qui me semble être son deuxième téléphone et tape un numéro. 

- Alors Vincenzo. 

- Ricci, ta drogue a disparu. 

- Hum... 

Soudain le téléphone d'Enzo sonne.

- Allô?

- Chef, Ricci est là et il vous attend dans le salon.

Le visage d'Enzo se déforme.

- il a accroché ce fils de pute !

Vincenzo jette son téléphone avec colère. 

- Chef. Ricci est actuellement dans la villa, il vous attend.

Le visage de Vincenzo est rouge de colère. 

- Allons-y. 

Nous nous dirigeons vers les voitures et prenons la direction de la villa.

Je suis un homme et je monte l'escalier vers ma chambre, la tête basse.

J'entends un sifflement.

- che bella donna !
(Quelle belle femme!)

-Stai zitto Ricci.Ti darò i farmaci, devi solo aspettarmi.
(Tais-toi Ricci.
Je vais te donner la drogue attends-moi)

-no no no no..

J'ai toujours la tête basse, je n'ai que la moitié des escaliers a monter.

- La ragazza E la droga.
(La fille ET la drogue)

Les yeux de Vincenzo s'assombrissent. 

- Bah quoi ? Puisque tu n'as pas du tout été professionnel-

Vincenzo se lève et fait renverser toute la décoration sur la table basse qui éclate par terre.

- Sofia monte dans ta chambre. 

- Non , je la veux. 

Je continue à monter les escaliers en jetant des coups d'œils en direction de la confrontation. 

- Très bien Vincenzo, tu vas me le payer.

- Tu oses me menacer dans MA villa ?!

Vincenzo s'approche de Ricci et le prend par le col.

- Je veux la drogue AVEC la fille sinon tu vas voir quelque chose que tu n'aimes pas.

Ricci s'éloigne brusquement et quitte la villa , furieux.

- Fait attention Vincenzo  Ricci est dans le domaine depuis qu'il avait 16 ans !

Vincenzo lui lance un regard noir.

- Enzo , occupe-toi de choses qui te concerne. 

Je suis dans ma nouvelle chambre en train de penser à ce qui vient de se passer dans le salon quand tout à coup la porte s'ouvre avec un fracas. 

Je me lève du lit.

- Désolé Sofia, je t'ai fait peur.

- Non c'est bon.

C'était Vincenzo. 

Il s'assoit sur le fauteuil devant le lit.

- Écoute, je dois te parler.