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En fin de compte je me suis rendus compte que nous étions soûls tout les deux, je pouvais encore sentir le parfum de l'alcool encore sucrée sur mes lèvres. A vrai dire je n'aimais pas l'effet qu'il avait eu sur moi et sur nous. Nos mains s'entrelacèrent a n'en plus s'en défaire , les battements de ton cœur faisaient écho dans le creux de mes mains. Tu planta tes iris dans les miennes l'air d'un innocent, ayant commis la plus grosse des bêtises.
Ma vertus venais de s'envolait, j'avais mis du temps avant de comprendre ce que nous avions bien put faire, nous étions étalés sur un lit dévêtus, je ne pense pas que nous avions fait une partie de poker endiablé en pleins milieux d'une soirée pour ado... ça semblerais étrange.
L'ironie du sort, c'est que je n'avais plus aucun souvenir de la nuit passé, la vie était étrange, ou peut être pas. Peut-être était-ce mieux ainsi. Les jours , les heures , les minutes passèrent. Je n'avais plus aucunes nouvelles de toi. Mes amis faisaient ce qu'elles pouvaient, mais rien ne suffisait. Je pouvais sentir le regard médisant des autres sur moi , contents de ce qui pouvait m'arrivais, et mes parents étaient très peu là, «affaire de travail» encore une fois. J'étais seuls livré à moi même.
J'ai criés tant de fois pour ce qui c'était passé , j'ai pleuré tant de fois pour essayer de me résoudre à la chose qui avait bien pus se passer ce soir là . Pourquoi tu t'était enfuis. L'amour que nous partagions l'un l'autre n'était pas suffisant? T'étais-je insuffisante. J'avais peur également, peur qu'il te soit arriver quelque chose.
Ma tête était blottis dans mes mains, lorsque j'entendis frappé à la porte de l'entrée. J'entends encore les bruits absurde que faisait ton poing sur ma porte, tout résonne encore aujourd'hui. Je sens encore l'humidité qui se dégagé de cette porte, les gouttes d'eau qui ruisselaient sur ta peau, et ton corps allongé contre celle ci . Pourquoi était tu là. C'est la question que je me suis posé ce jour ci.