L'appart du Troisième (nouvel...

By Celinha74

22.1K 2.6K 632

Quand l'amour frappe à la porte de Luisa Silva, en la personne de Fabio Monteiro, un homme arrogant, prétenti... More

SYNOPSIS
Prologue 1/2
Prologue 2/2
Chapitre 1 Luisa 1/2
Chapitre 1 Luisa 2/2
Chapitre 2 Fabio 1/3
Chapitre 2 Fabio 2/3
Chapitre 2 Fabio 3/3
Chapitre 3 Luisa 1/2
Chapitre 3 Luisa 2/2
Chapitre 4 Fabio 1/2
Chapitre 4 Fabio 2/2
Chapitre 5 Luisa 1/4
Chapitre 5 Luisa 2/4
Chapitre 5 Luisa 3/4
Chapitre 5 Luisa 4/4
Chapitre 6 Fabio 1/2
Chapitre 6 Fabio 2/2
Chapitre 7 Luisa 1/2
Chapitre 7 Luisa 2/2
Chapitre 8 Fabio 1/2
Chapitre 8 Fabio 2/2
Chapitre 9 Luisa 1/2
Chapitre 9 Luisa 2/2
Chapitre 10 Fabio 1/2
Chapitre 10 Fabio 2/2
Chapitre 11 Luisa 1/2
Chapitre 11 Luisa 2/2
Chapitre 12 Fabio
Chapitre 13 Luisa 1/2
Chapitre 13 Luisa 2/2
Chapitre 14 Fabio 1/2
Chapitre 14 Fabio 2/2
Chapitre 15 Luisa 1/3
Chapitre 15 Luisa 2/3
Chapitre 15 Luisa 3/3
Chapitre 16 Fabio 1/2
Chapitre 16 Fabio 2/2
Chapitre 17 Luisa 1/2
Chapitre 17 Luisa 2/2
Chapitre 18 Fabio 1/2
Chapitre 18 Fabio 2/2
Chapitre 19 Luisa 1/3
Chapitre 19 Luisa 2/3
Chapitre 19 Luisa 3/3
Chapitre 20 Fabio 1/2
Chapitre 20 Fabio 2/2
Chapitre 21 Luisa 1/2
Chapitre 21 Luisa 2/2
Chapitre 22 Fabio 1/2
Chapitre 22 Fabio 2/2
Chapitre 23 Luisa 1/3
Chapitre 23 Luisa 2/3
Chapitre 23 Luisa 3/3
Chapitre 24 Fabio 1/2
Chapitre 24 Fabio 2/2
Chapitre 25 Luisa 1/2
Chapitre 25 Luisa 2/2
Chapitre 26 Fabio 1/2
Chapitre 26 Fabio 2/2
Chapitre 27 Luisa 1/3
Chapitre 27 Luisa 2/3
Chapitre 27 Luisa 3/3
Chapitre 28 Fabio 1/3
Chapitre 28 Fabio 2/3
Chapitre 28 Fabio 3/3
Chapitre 29 Luisa 1/2
Chapitre 29 Luisa 2/2
Chapitre 30 Fabio 1/2
Chapitre 30 Fabio 2/2
Chapitre 31 Luisa 1/3
Chapitre 31 Luisa 2/3
Chapitre 31 Luisa 3/3
Chapitre 32 Fabio 1/3
Chapitre 32 Fabio 2/3
Chapitre 32 Fabio 3/3
Chapitre 33 Luisa 1/3
Chapitre 33 Luisa 2/3
Chapitre 33 Luisa 3/3
Chapitre 34 Fabio 1/2
Chapitre 34 Fabio 2/2
Chapitre 35 Luisa 1/3
Chapitre 35 Luisa 2/3
Chapitre 35 Luisa 3/3
Chapitre 36 Fabio 1/2
Chapitre 36 Fabio 2/2
Chapitre 37 Luisa 1/4
Chapitre 37 Luisa 2/4
Chapitre 37 Luisa 3/4
Chapitre 37 Luisa 4/4
Chapitre 38 Fabio 1/2
Chapitre 38 Fabio 2/2
Chapitre 39 Luisa 1/3
Chapitre 39 Luisa 2/3
Chapitre 39 Luisa 3/3
Chapitre 40 Fabio 1/2
Chapitre 40 Fabio 2/2
Chapitre 41 Luisa 1/2
Chapitre 41 Luisa 2/2
Chapitre 42 Fabio
Chapitre 43 Luisa
Chapitre 44 Fabio
Chapitre 45 Luisa 1/2
Chapitre 45 Luisa 2/2
Chapitre 46 Fabio 1/5
Chapitre 46 Fabio 2/5
Chapitre 46 Fabio 4/5
Chapitre 46 Fabio 5/5
Chapitre 47 Luisa 1/4
Chapitre 47 Luisa 2/4
Chapitre 47 Luisa 3/4
Chapitre 47 Luisa 4/4
Chapitre 48 Fabio 1/2
Chapitre 48 Fabio 2/2
Chapitre 49 Luisa 1/3
Chapitre 49 Luisa 2/3
Chapitre 49 Luisa 3/3
Chapitre 50 Fabio 1/2
Chapitre 50 Fabio 2/2
Chapitre 51 Luisa
Remerciements

Chapitre 46 Fabio 3/5

149 17 1
By Celinha74

Elle s'est crue où ? Je ne saute pas sur tout ce qui bouge, et encore moins sur les filles bourrées qui ne savant pas ce qu'elles font, ni ce qu'elles disent. Non ! C'est un principe !

— Que tu dessoûles !

— J'ai encore toutes mes facultés, tu sais ?

— Je n'en doute pas, mais je pense que tu devrais aller te coucher. On en reparlera toute à l'heure, quand tu seras sobre.

J'ai déjà vu des hommes hors d'eux, mais c'est la première fois que j'ai le plaisir de côtoyer une fille qui ne sait pas ce qu'elle raconte. Depuis quand a-t-on toutes nos aptitudes à gérer les situations lorsque notre taux d'alcoolémie dépasse les deux grammes, sinon plus ?

— Pourquoi tu ne veux pas de moi ? pleurniche t-elle maintenant.

— Luisa...

Qu'est-ce que je pourrais bien lui dire ? Rien ! Je suis persuadé qu'elle ne se souviendra pas de cette nuit. Alors pourquoi m'arracher les cheveux ? Ce que mes mains font à cet instant, je le précise, au cas où vous ne l'aurez pas compris. Inutile de me torturer.

Elle va bien finir par s'endormir et oublier toute cette histoire. Il faut juste que je trouve les bons mots pour la convaincre de monter jusqu'au dernier étage. Car j'ai une longue matinée qui s'annonce devant moi. Pas besoin de distraction !

— Je suis bien plus belle que ces femmes avec qui tu couches, m'assène t-elle en me mettant un gentil coup de pied sur ma hanche gauche avant d'attester : Et bien plus femme, à n'en pas douté !

Il n'y a aucune objection à ça, mais il hors de question que j'abuse d'elle. Elle n'est pas en situation d'exprimer ce qu'elle veut réellement. Je ne suis pas sûre qu'elle sache vraiment ce qu'elle fait, ni si elle a encore toute sa tête. La connaissant, j'en doute sérieusement. Elle ne serait jamais venue ici, qui plus est dans cette tenue, si elle avait eu toutes ses capacités neuronales.

— Tu as raison mmmm...

— Il n'y a pas de mais ! me coupe t-elle. Je veux seulement savoir pourquoi ?

— Car tu es ce que j'ai toujours rêvé d'avoir, sans pour autant le vouloir. Tu comprends ? récité-je à toute allure sans en saisir le moindre mot.

Cette avant-dernière phrase est sortie toute seule sans que j'aie à y réfléchir. Son empressement a eu raison de ma patience. Il fallait que je dise quelque chose. Voilà !

— Non ! finit-elle par dire après quelques secondes de silence.

Elle ne me facilite pas la tâche. Même complètement bourrée, elle trouve toujours le moyen de m'énerver avec ses questions débiles, mais je me résolu tout de même à lui expliquer, ce que moi j'ai cru percevoir de tout mon charabia :

— Tu es un rêve inaccessible...

— Si c'était vraiment le cas, je ne serais pas là, complètement nue dans ta cuisine à te supplier ? me coupe t-elle encore dans mon élan.

Cette fois-ci, je ne veux pas qu'elle ait le dernier mot.

— Luisa ! Tu mérites beaucoup mieux que moi. Toi-même tu penses la même chose, ne le nie pas !

— Ce n'est pas vrai ! Je t'aime, m'avoue t-elle droit dans les yeux avec plein de douceur et d'amour à revendre.

Elle est ivre, mais pourtant, elle semble honnête dans ses propos. C'est déroutant ! Je ne sais pas si c'est la boisson qui parle ou elle.

— Dit une femme complètement alcoolisée.

— Oui, je suis peut-être un peu soûle, mais je sais encore ce que je dis et ce que je ressens, affirme t-elle avec un regard de braises. Je t'aime comme une folle. Tu me rends dingue à bien des niveaux.

Moi, je la rends dingue ? Folle ? C'est le monde à l'envers !

Nous serions deux alors ?

Que croire ?

Y a-t-il vraiment une chance pour que cette bombe latine puisse être amoureuse de l'homme intempestif que je suis ?

Tout ça me semble irréel. Je dois à coup sûr être en train de cauchemarder. Une caméra cachée va me sortir de ce monde chimérique. J'ai l'impression que tout n'est que fantasme, désir. Bientôt, elle va également proférer que mon ex-meilleur ami ne l'intéresse pas.

— Et Manu dans tout ça ?

— Quoi Manu ?

— Tu sors avec lui, non ?

— Oui ! Enfin... Non !

— Mets-toi d'accord, c'est oui ou c'est non ?! insisté-je afin d'en avoir le cœur net.

— Je ne suis pas amoureuse de cet homme, c'est toi que j'aime. J'ai essayé de t'oublier avec lui, mais c'est impossible ! me révèle t-elle.

Elle a essayé avec Manu, ce que j'ai essayé avec toutes les femmes avec qui j'ai couché, dont l'espagnole de cette nuit, mais en vain. Car oublier la personne qui comble le vide qui est en vous depuis tant d'années, est complètement utopique, invraisemblable. Tout comme cette histoire.

— Alors quoi ? Tu me préfères à Manu ?

— C'est dur à imaginer, mais oui ! déclare t-elle avant d'ironiser sur ma personne : Tu as conquis mon cœur en moins d'une seconde avec ton visage d'ange. Qui l'aurait cru ? Dis-moi que tu m'aimes et je te laisse tranquille, au moins pour cette nuit ?

C'est aberrant ! Je ne sais plus quoi penser. Plus nous avançons dans cette discussion et plus je suis troublé. Ma conscience me dit d'être prudent, quand à mon cœur, il fond instantanément pour cette sublime demoiselle et ses douces palabres. Dois-je croire sur parole tout ce qu'elle me raconte ? Telle est la question.

En attendant d'en savoir plus sur ses sentiments à mon égard, je préfère battre en retraite.

— Luisa ? Tu ne vas même pas te souvenir de ce moment, alors non !

— Je ne suis pas ivre au point d'oublier cet instant, crois-moi ? m'informe t-elle en se levant et titubant d'un côté à l'autre.

Je la retiens fermement de tomber en serrant de mes mains ses biceps.

Elle se met sur la pointe de ses pieds et m'embrasse d'un doux baiser, auquel je ne réponds pas. Je ne veux pas qu'elle imagine que je me suis servi d'elle, alors qu'elle était dans cet état.

Cependant, son attitude désinvolte me confirme qu'elle n'est pas totalement mettre de son corps, par conséquent, elle ne peut pas l'être non plus dans ses mots.

Elle est très différente de la Luisa que je côtoie au quotidien depuis son arrivée au troisième. Même s'il lui arrive parfois de se laisser aller dans mes bras, jamais elle n'aurait osé me demander telle chose.

Les yeux dans les yeux, je vois son mécontentement. Elle se défait de mon emprise pour s'accrocher à mon cou et réitère son baiser, encore et encore. Je la maintiens par la taille, je refuse qu'elle se fasse mal, avant de mettre un peu de distance entre nos deux bouches. De plus en plus fâchée, elle se retire de mes bras, et remonte sur mon plan de travail, du moins elle essaye. Ayant un peu pitié d'elle, je lui donne un petit coup de main. Une fois assise, le sourire retrouvé, elle me quémande :

— Peux-tu m'apprendre à faire ton fameux gâteau au chocolat caramel ?

On passe du coq à l'âne avec elle. Nous parlions de sentiments, puis d'amour, de baisers et maintenant de pâtisserie. Elle ne sait plus vraiment ce qu'elle dit. Elle est très amochée. J'ai bien fait de garder mes distances.

Dieu sait, ce qui aurait pu se passer si j'avais répondu à ses avances.

— Maintenant ?

— Nous sommes dans une cuisine ?

— Oui en effet. Dois-je te rappeler que tu es nue comme un ver ?

— Pas pour longtemps ! insinue t-elle.

Et en moins de deux secondes, elle est descendu de son perchoir et a enfilé mon tablier.

Je suis scotché par cette femme. Elle est vraiment incroyable !

— Je sais que je n'ai pas encore gagné le pari mais ça ne serait tardé.

Que vient faire ici cette histoire débile ?

J'ignorais qu'elle en était encore à vouloir gagner ce jeu à la con.

— Je me fous complètement de ce défi ! Je veux seulement que tu quittes ce lieu, car je ne supporte pas que quelqu'un d'autre que ma sœur y habite, lui dévoilé-je sans même m'en rendre compte, une partie de mon mal-être.

Va-t-elle me comprendre comme me l'a dit Catia ? Ou va-t-elle réagir comme tous les autres et me traiter d'imbécile ?

— Ta sœur ?! dit-elle surprise par mon annonce. Alors j'avais raison, c'était l'appartement de Joana ?

A présent, c'est moi qui suis scotché. Elle était au courant ? Comment a-t-elle rencontré ma sœur ?

— Tu l'as connu ?

— Non ! Euh... Oui !

Qu'est-ce qu'elle a à hésiter ainsi ? Ma question est simple pourtant. A-t-elle côtoyé, oui ou non, ma sœur de son vivant ?

— Tu n'as l'air sûre de rien aujourd'hui ? protesté-je.

— Non, je ne l'ai pas connu, mais pourtant j'ai la sensation de la connaître. Je sais, c'est absurde.

Complètement ! Mais pas plus que moi quand j'avoue la connaître, elle.

— J'ai la même impression à ton égard.

— Je l'ignorais, sort-elle encore plus stupéfaite qu'il y a peu, avant de poursuivre sur tout autre chose. Son appartement ressemble étrangement au mien. Nous avons un attrait certain pour les vieilleries dont personne ne veut.

Ma sœurette avait la fâcheuse manie d'acheter des trucs qui étaient bons à jeter aux ordures. Elle voyait dans les objets l'histoire qu'ils racontaient, pas uniquement l'état dans lequel ils étaient. Je suis loin d'avoir ce penchant.

Nous étions très différents sous pleins d'aspects. Nous nous complétions.

— Je ne t'en veux pas. Si, un peu, mais tu ne pouvais pas savoir. J'espère que tu comprends maintenant pourquoi je réagis de la sorte avec toi ?

— Je suis désolée. Si j'avais su, je me serais cherchée un autre endroit où vivre. Je saisis mieux ton comportement absurde lors de notre rencontre. Pourquoi avoir mis l'appartement en location ? me fixe t-elle d'un air embêté.

On ne m'a pas demandé mon avis. Ma mère n'aime pas savoir cet endroit sans vie. Ce lieu qui respirait l'énergie, la vitalité au quotidien. Elle ne veut pas qu'il se meure comme sa fille. Je pense que c'est une façon pour elle de faire vivre son enfant. En tout cas, c'est ce qu'elle exprime quand je lui demande pourquoi elle s'acharne à vouloir absolument le louer.

Si Joana et moi étions très distincts sur notre caractère et nos envies, nous avions une chose en commun, notre joie de vivre pleinement. Je suis persuadé que ma mère voudrait que je recouvre ce sentiment, cette ardeur que je m'efforce de retrouver depuis quelques temps, mais sans succès.

— Maria, réponds-je à sa question dans un murmure avant d'essayer de lui faire entendre que ce n'est pas plus mal finalement qu'elle est pris possession des lieux. Ce n'est pas grave. Tu peux investir l'endroit.

Je ne sais pas si c'est le fait qu'elle m'est révélée ses sentiments ou bien l'idée de la voir partir, quoi qu'il en soit, je ne veux pas qu'elle quitte le troisième. Je ne pourrais pas le supporter.

— Je quitte l'appartement dès demain, s'exprime t-elle sans avoir écouter un seul mot de ce que je lui aie dit auparavant.

— Non ! Tu vas aller où ?

Je refuse qu'elle prenne ce genre de décision. Je préfère mille fois la voir au troisième qu'en dehors de ma vie. Encore une qui ne sait pas ce qu'elle veut.

— Je ne sais pas encore mais je vais bien trouver.

— Viens chez moi ? tenté-je une dernière fois ma chance.

Après ça, je n'aurais plus d'option. Elle partira et je n'irais pas à sa poursuite. J'aimerais tant qu'elle sache ce qu'elle veut, car moi j'en suis incapable. Un jour je la veux, et l'instant d'après je veux la voir loin de moi. Si nous sommes deux dans ces circonstances, alors notre relation est vouée à l'échec.

— Chez toi ? articule t-elle très étonnée.

— Oui ! J'ai une chambre d'amis, si tu ne veux pas partager le même lit que moi.

Je suis vraiment un idiot fini ! Comment je peux lui proposer ça ? Jamais, elle n'acceptera de vivre sous le même toit que moi. Et d'ailleurs, nous passerions tout notre temps à nous crier dessus. C'est plus qu'évident !

Alors quoi ? Je laisse tomber ?

Je n'ai pas une seconde pour y réfléchir que j'entends, non convaincu que tout cela soit effectivement réelle :

— Ok ! Je descends d'un étage, si tu m'apprends à cuisiner le fabuleux délice que tu maîtrises à la perfection, débite t-elle avec ses yeux cloués aux miens, ce qui aurait dû être une hécatombe, et qui étrangement ne sonne pas comme telle.

Je ne saurais vous direcomment je me sens. Il n'y a pas de mot pour l'exprimer. Peut-être, je dis bienpeut-être, que finalement le bonheur existe. Je devrais être paniqué, ou bienheureux, ou stressé, ou euphorique, mais non, je me sens bien, ça faisaitlongtemps que je ne ressentais plus ce bien-être en moi. Et son doux bisoudéposé délicatement sur ma joue vient amplifier ce sentiment. 




Publié le dimanche 31 mars 2024

Comment va se terminer cette nuit entre nos deux tourtereaux ? Vous avez une idée ? 

Partagez la moi ? 

On se retrouve la semaine prochaine pour la suite, en attendant je vous laisse avec vos chocolats à gogo. Je vous souhaite de Joyeuses Pâques ! 

Continue Reading

You'll Also Like

240K 5K 40
- Met toi à genoux, pour baiser les pieds de ton maître Elle s'agenouille pour presser ses lèvres sur mes pieds. - c'est bien,si tu es bien obéissant...
402K 33.3K 54
Alaya Storm une jeune aristocrate (en avance sur son temps) de haut rang se voie contrainte d'épouser Le Comte Black , l'un des plus beau partie d'A...
136K 9.1K 21
Que se passe-t-il lorsque Mia retourne dans la ville où elle est née, après des années d'absence ? © Par propriété exclusive de l'auteur, la copie et...
74.1K 4.5K 34
Angéline Reed vit avec son fils Evan à Chicago. Entre son travail chez les Ross et son statut de mère célibataire, elle gère sa vie du mieux qu'elle...