Chapitre un : Dessine les.

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«Pour expliquer cette peinture, c'est un renard et une grand-mère. Le renard qui s'y trouve est en fait une Gumiho qui rêve de devenir humaine depuis des centaines d'années. Elle est emprisonnée dans cette peinture. A l'époque, être extrêmement belle était un problème. Cette Gumiho voulait être une humaine alors elle venait souvent dans le monde des humains. Mais sa beauté était trop grande pour être humaine. Les étudiants qui avaient besoin d'étudier, abandonnèrent leurs études. Les agriculteurs arrêtèrent ce qu'ils étaient en train de faire. Même les commerçants ont diminués leurs activités. Parce qu'ils étaient hypnotisés par Gumiho, ils ne faisaient plus rien, ils étaient tous sous le charme. Les femmes qui ne pouvaient plus supporter de voir ça, allèrent voir la grand-mère des Esprits. Cette grand-mère pensait qu'elle arrangerait les choses en trouvant un mari à Gumiho, mais les femmes avaient peur que Gumiho leur vole leur mari alors elles rependirent toutes sortes de rumeurs sur Gumiho. Ces rumeurs disaient que Gumiho séduisait des hommes pour ensuite leurs manger le foie. Alors la grand-mère des Esprits coupa ses neuf queues et emprisonna Gumiho dans la peinture afin qu'elle ne puisse plus retourner dans le monde des humains. C'est pourquoi le renard n'a pas de queue sur la peinture.» 


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ZAYN MALIK

23:08


Se retrouver perdu au milieu de nulle part car j'ai essayais de fuir mon grand-père qui me pourchassait car j'ai utilisé l'argent de mes fraies de scolarité pour m'acheter une moto. Voilà, où j'en suis aujourd'hui. Je n'ai pas de téléphone et très peu d'argent sur moi, mon grand-père m'a tout pris. Comment vais-je retrouver mon chemin? Aucune idée. J'ai faim, j'ai soif et mes jambes me font énormément mal à force de marcher encore et encore.

Je me suis retrouvé dans un petit village, j'avais emprunter le téléphone d'un moine pour appeler ma tante mais... je ne me rappel plus trop de son numéro. Je ne me rappelais seulement des premiers chiffres mais j'avais un doute sur les deux derniers chiffres donc j'essayais absolument tous les numéros. J'essayais cette fois avec le numéro trente-huit mais je n'avais plus de réseau. Décidément, plus rien ne va. Je me relève et je lève le téléphone, à la recherche de réseau. Je devrais essayer d'aller plus loin, peut-être qu'il y'en aura. Toujours en maintenant le téléphone en l'air, je marchais encore et encore jusqu'à ce qu'une barre apparaisse enfin. Je regarde devant moi pour voir l'endroit où je me situe. Devant moi, il y'avait un petit pont avec quelques statuts sur le côté et au bout de ce pont, une sorte de temple assez petit, de la taille d'une chambre. La pluie devenait de plus en plus forte, donc je ne perdis pas une seconde de plus et je cours jusqu'à l'entrée de ce temple. Je n'y rentre pas, je reste seulement devant la porte, la pluie ne pouvait pas me toucher. Et comme il y'a du réseau, je resterais ici jusqu'à ce que la pluie cesse. Je déverrouille le téléphone et j'essaye de rappeler ma tante, cette fois, je met le numéro quatre-vingt à la fin, en espérant que ce soit le bon. Comme je n'ai plus de batterie, je devrais me dépêcher. 



— Allô? Allô? criais-je à travers le cellulaire

— Peux-tu m'entendre?

— Oui, je t'entends! Elise, c'est toi?

— Ah, tu peux m'entendre, dit-elle en poussant un petit cris de soulagement.

— Désolé, dis-je en pensant que je m'étais tromper de numéro.

— Attends! Ne raccroche pas.

— Quoi? je fronce les sourcils, C'est qui?

— Ouah, je peux enfin parler à quelqu'un. J'ai quelque chose à te dire.

— Est-ce que t'essayes d'avoir un rendez-vous avec quelqu'un qui s'est tromper de numéro? Je suis occupé, je ne suis pas intéressé, soufflais-je en retirant mon bonnet

— Oh, tu es un jeune... Sans ton bonnet, tu es encore plus mignon. 

Nine tails.Opowieści tętniące życiem. Odkryj je teraz