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Salem Aylikoum
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« Collé-serré comme siamois, impossible à départager »

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« Collé-serré comme siamois, impossible à départager »

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Une semaine était passé.

Waïl et Nour habitaient chez nous.

Rayan était souvent chez nous même si il dort chez sa grand mère, vous savez celle qui l'a élevé.

Avec Naïm tous ce passe bien.

Zakaria: Je dois vous dire un truc.

- Et bein il était temps.

Billel: Tu sais même pas ce qu'il veut dire qu'est-ce que tu raconte toi ?

- Ah ouais t'es sur ?

Papa: Laissez-le parler vous.

On se tait et on le regarde tous.

Zakaria: Je vais faire ma demande a Maïmouna.

- Je suis trop forte.

Ma mère tapait grave ses meilleurs zarlhat.

Papa: Rassure-moi Amadou est au courant, que j'ai pas à faire le psy comme avec les deux zouaves dans cette table.

Waïl/Billel: On se sent absolument pas concernés.

Papa: Ouais ouais.

Zakaria: *rire* Si il est au courant.

Nour: Et sinon tu l'as fait quand ta demande ?

Zakaria: Ce soir.

Nour: Tu vas l'emmener au resto ?

Zakaria: Je voulais l'emmener à Paris, elle avait toujours rêvé d'y aller mais je sais pas si elle voudra venir avec moi.

Nour: Bah demande lui.

- Qui ne tente rien à rien.

Zakaria: Bah vas-y je vais lui demander, je vais demander à Naïm qu'il me prête son jet.

Il se lève et prend son téléphone.

Nour: Putain ma soeur va se marier !

Waïl: Faudrait déjà qu'elle dise oui.

Ma mère lui met un bol par derrière.

Maman: Beleh.

Waïl: Putain je me suis pris le diamant de la bague dans le crâne.

Nour: Cheh

Elle se lève et court suivit de près de Waïl

Zakaria revient et s'accoude à mon épaule

parce que c'est luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant