Chanson 27 : Ciel Etoilé

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Chanson 27 : Ciel Etoilé

(Reimei)

Je menais la marche, toujours main dans la main, guidé par le bruit d'un cours d'eau proche. Le bruit se rapprochai. A travers les branches, je vis les reflets du soleil encore orange sur le sol.

-Hibari ! On est arrivé !

(Hibari)

Dès l'arrivé, je lança la fusée.

-Maintenant il faut attendre. Je vais préparer du feu.

Je me mis vers au pied de la cascade. Je pris les roches qui étaient pas loin, du bois que j'ai ramassé en route et j'alluma le feu avec un bout de verre .

-Nous avons crée le FEU !!

Reimei s'installa près de moi.

"Combien de temps encore doit-on attendre père ? J'ai peur qu'il lui arrive malheur"

-Ne vas pas penser n'importe quoi ! Il viendra.

Il ne resta que les rayons rouges du soleil, et le début de la lune que je vis apparaître dans le ciel.

-Reimei tu n'as pas faim ?

"Non pas vraiment."

Je n'avais plus rien à dire.

"Dommage que tu n'as pas ammené ta guitare"

-Je trouve aussi. On pourra peut-être y revenir.

Elle regardait le feu, que même ce dernier se reflètait dans ses yeux. La lune avait atteint son apogée. Les étoiles sont là pour l'accompagner. Je m'allongeai pour mieux admirer ces étoiles si lointaines.

Reimei restait devant le feu. Je me releva et prit son bras avant de me rallonger sur le sol avec elle. Elle ne disait rien. Ses mains agrippait légerement à mon gilet. Elle commença à chanter :

Kagayaita masshiro na t-shatsu

Un T-shirt d'un blanc pur et étincelant,

Un arc-en-ciel apparaissant derrière un rideau de gouttelettes d'eau,

Mizushibuki ni ukabu niji

Je fixe le ciel, le regard vide,

Bonyari to mitsumeteru sora wo

Un grand nombre de vents y joue.

Ikutsumono kaze ga asobu

Le néant seul était bonheur pour nous

Nanimo nai koto ga futari dake no shiawase datta

Tu t'es permis de donner le plus profond de ton âme

Dareyori mo fukaku kokoro made oborete

Même aujourd'hui et maintenant, je ne regarde que toi.

Ima mo kono basho de kimi dake wo mitsumete

Je ne peux revenir en arrière, si ce n'est qu'un rêve détruis-le.

Nido to modoranai yume naraba kowashite

Je ne peux oublier, je veux te revoir encore une fois.

Wasurerarenakute mou ichido aitai

Les mirages se bousculent

Shinkirou wo kasanete

Et ton ombre se dessine

Kimi no kage, hiroiatsume

Les aiguilles de l'horloge sont immobiles, je continue de t'attendre.

Tokei no hari wo tometa mama de machitsuzukeru

Les nuits de mélancolie, et les matins où je ne peux que soupirer,

Nemurenai yoru mo tameiki no asa mo

Ton chant préférée de la lune...

Kimi no daisuki na tsuki no uta wo

Combien de temps avant que ton corps qui est si loin de moi ne me quitte ?

Itsukaraka tooku karada made hanarete

Pour le moment, tu restes auprès de moi.

Ima ha kono basho ni boku dake wo nokoshite

J'ai cru que nous resterions ensemble inchangés

Zutto kawaranai futari da to shinjita

Je veux revenir à cette époque, lorsque je t'aimais...

Ano koro no you ni mou ichido, aishita...

(Très belle chanson de Gackt, Tsuki no Uta, littéralement : La chanson de la Lune. La musique est dans multimédia)

-Hibari

-Qu'est ce qu'il y a ?

-Cette chanson.....Je veux la rechanter, dans la nuit avec toi, avec ta guitare pour accompagner...

-Tout ce que tu veux...

-Il tant de chose que je veux faire....En fait ma vie à commençé quand je t'ai rencontré.

-Je ne pense pas avoir cet honneur. Je t'ai fais souffrir en te laissant seule.

-Tu t'es rattrapé !

Elle mis ses bras autour de moi encore une fois.

-Regarde, tu m'a appris à enlacer quelqu'un !

Je l'enlaçai en retour. Je ne sentais plus mon coeur qui partait dans tout les sens. Le feu crépitait, le bruit de l'eau l'accompagnait. Je me rapprochai du visage de Reimei je lui chuchota "Dormons" puis lui donna un baiser sur...............................................................La joue (Haha vous pensez à quoi hein ?) Avant de fermer mes yeux.

(Reimei)

Il avait les yeux fermés, j'enleva mes bras de sa taille. Je me suis dis "C'est pas juste ! C'est toujours lui qui me fais un bisou !" Comme lui je rapprocha ma tête vers la sienne, je tenais mes cheveux par ma main qui temblait pour pas qu'il se réveille, et à leur tour, mes lèvres toucha sa joue.

Je me rallongeai à coté de lui, et mis sa main contre ma joue et je chantais encore une fois avant de dormir :

"Loin des sons entremélé, je te chante mon amour, viens avec moi admirer les vagues de la divine mer. Sans te souçier de ce qui t'arrive, laisse-toi emporter par mon chant."

The Last SongOù les histoires vivent. Découvrez maintenant