La vie ou l'enfer

CHAPITRE 1

Plus que dix minute et je serai enfin en vacances

Ces vacances ne sont pas comme tous les autres déjà il y a mon anniversaire et surtout je vais partir avec maman et papa à serland, je suis surexcite ce parc est tellement beau tellement géniale il est comparable aux grands parcs d'avant

Normalement on doit partir demain matin depuis que le gouvernement a décidé de regrouper toutes les fêtes en une seul période de l'année parce que chaque fois on part moi et mes parents ça dépend surtout quand on lieu les vacances annuel parce que ça vari d'année en année suivant les besoins du Kasma

Plus 2 minutes .... 1 minute ça sonne je suis officiellement on vacances je prends mon sac et me dirige à toute vitesse à la maison

Maman est à la maison quand je rentre je lui saute aux bras elle me serre fort en retour, "comment c'est passé ta journée" me demandait ma mère en me servant du lait

"Longue mais bien" lui repende je en buvant une gorgé de lait "t'a tous préparé tu sais que demain le vol est tôt?" j'acquise de la tête elle me sourit et je lui rends son sourire à mon tour puis elle va à ses occupation

Je décide d'aller faire mes devoirs de vacances je me dit que comme ça le soir quand papa va rentrer je pourrai rester avec lui, il adore ça moi aussi d'ailleurs depuis la dernière guerre mondiale et l'énormément pousser démographique le gouvernement à due prendre des mesures drastiques il ne laisse les couples M n'avoir qu'un enfant car il pense que comme ça avec leur situation financière moyenne, d'où le nom de M d'ailleurs, pourront bien s'occuper de leur enfant. Les P eux ce sont les pauvres il y en a très peu du moins j'en vois très rarement ils se cachent tout le temps de crainte d'être tué par le gouvernement en même temps c'est normale d'après certains livre historique en 2112 les populations de la terre est arrivé à 12 milliards les riches R eux ils ont de la chance ils peuvent avoir jusqu'à 2 enfants si ils veulent

Mais ce système permet de souder plus les familles car comme les parents considèrent plus leurs enfants et les enfants se sentent plus aimé

je m'avance bien dans mes devoirs je suis planée dans un problème mathématique quand j'entends la porte c surement papa je descends très vite les escaliers pour lui dire bonsoir il est tjrs heureux de rentrer du travail et nous nous sommes toujours heureuse de le voir

Il nous salue maman et moi et nous demande comment c'est passé notre journée avant de se diriger vers la salle de bain se débarbouillé

je mets la table afin qu'on dine mon père arrive on commence à manger lors du dîner papa nous parle de sa journée de travail il travaille dans l'administration pas au gouvernement, mais c'est un grade au-dessous mais il connait pas pour autant le gouvernement personne ne le connait c'est la meilleurs façon qu'on a trouvé depuis la 4ème guerre mondiale de 2500 pour lutter contre la corruption et ça marche plus tout bien

On est en 3012 et ça fait 5 siècles qu'il n y a eu aucune guerre après le dîner j'aide ma mère à débarrasser et je vais dormir j'ai un peu mal à dormir je pense que c'est parce que je suis surexcité je m'assoupies quand même au bout de la nuit

Je dors très peu mais je suis enforme le matin c'est surement à cause du voyage

Dès que j'ouvre les yeux je saute du lit pour aller à la cuisine mes parents sont déjà là je leur dit bonjour ils me disent bonjours et me souhaitent un joyeux anniversaire

mon père me tend une boite et me dit "c'est de la part de nos deux" je lui sourit et repend "c'est gentille mais le voyage suffit énormément vous auriez pas du" il rétorque "c'est comme un supplément, ouvre le" je m'y attendait un peu mes parents ont toujours eu tendance à trop me gâter je sais que je suis pourrie-gâté mais ça ne me dérange pas à vrai dire, quand j'ouvre la boite je vois une combinaison Mezia j'en ai tellement entendu parlé apparemment ils sont hyper confortable je vais en faire des jalouses à l'école je saute au cou de mon père pour le remercier du cadeau et je fais de même pour ma mère

Après le petit déjeuner je monte dans ma chambre pour me changer et vérifier ma valise pour la dernière fois. "Kirsthen, c'est l'heure" la voix de ma mère me fait sur sauter je prends ma valise et je descends rapidement et je fille à la voiture 30 minutes ensuite je me retrouve avec maman et papa dans la navette

Je suis tellement heureuse sur excité en même temps au point que ma mère me demande de me calmer, pour me calmer et surtout je décide de dormir un peu comme ça je serai en forme quand on y sera et ça me calmera un peu

Je me réveille dans une chambre toute blanche dans un lit avec une blouse sur la peau

J'essaye de comprendre ce qui ce passe ce qui s'est passé. C'est le trou noir totale

J'essaye de voir si il y a quel qu'un mais personne au tour, mon souffle s'étouffe je faisais une crise d'angoisse je suffoque, la panique prend le dessus très rapidement

Je me calme du moins j'essaye, je tente de reprendre un souffle régulier après un moment j'y arrive. On me retournant je vois un bouton et là le déclic vient de suite je comprends que je suis dans un hôpital mais je ne comprends pas pour quoi

Je décide d'appuyer sur le bouton afin d'appeler l'infermière

Un moment plus tard un homme rentre dans la chambre et me lance un sourire je lui rends par politesse, moi je ne veux pas sourire je veux savoir ce qui se passe mille questions me viennent en tête, les idées se bousculent dans mon esprit en temps le bon homme regarde les tas d'appareils qui sont au tour de moi

Quand je décide de poser la première question tandis que je la formule dans ma tête l'homme commence à parler

« Vous êtes restée cinq mois dans le comas vous avez eu un accident »

Une stupeur apparait sur mon visage je, je suis sous le choc et c'est seulement après un certain moment que je me rappelle de mes parents

Ce n'est pas normale ils devraient être la, jamais ils ne me laisseraient, ou peut-être qu'ils sont au travail qu'ils y sont obligés j'essayais de me rassurer avec cette pensée

Qu'un moyen d'en être sur

« Mes parents où ils sont ? » cette question à l'air de frustrer l'être devant moi

« Je ne préfère pas vous l'annoncez moi-même une personne vas venir pour » et il sort de la chambre cette dernière phrase me donne de l'espoir.