El Infierno.

One

Maman a débarqué dans la chambre, elle était pâle, j'était encore dans mon lit en pijama de princesse.

Elle m'ordonna de me déshabiller se que je fit sans dire un mot, Lila mon cheval tomba par terre, j'allais le ramassez quand elle me tira le bras violemment, je poussa un cri et me teni le bras pendant que quelque larmes s'échapper de mes yeux marron.

Maman n'était pas comme d'habitude, elle et toujours gentille et à la voix douce comme les fées, toujours bien maquiller et un sourire scotché au visage, elle ne m'a jamais touché jusqu'à se soir.

Je laissa donc Lisa mon cheval et pris mon pantalon et mon sweat que maman m'avais lancé par terre en jurant, j'avais peur.

Je finisser de mettre mes chaussures quand elle m'attrapa les cheveux pour les coiffés, elle s'approcha doucement de mon oreille, son souffle chaud me caressa la nuque, elle trembler.

- Ma fille, je suis extrêmement désolée, je t'aime plus que tout, ne m'oublie jamais.

Aucun son ne sortie de ma petite bouche, je me laissa coiffé.

Je me leva et alla mettre mon manteau, maman fit de même et me poussa vers la porte d'entrée tout en sanglotant.

Il était tard, il faisait tout noir dehors et froid, très froid.

Je n'est dit aucun mots depuis que je suis sortie de l'appartement, j'ai peur.

Nous marchions depuis au moins 15 minutes, avant de voir une énorme voiture noir, les vitres teinté, et un homme sortir qui valu à ma mère un sursaut.

Je regarder mes pieds quand l'homme ordonna à ma maman de me lâcher, se qu'elle fit aussitôt.

L'homme sortie une poignet de billet vert qu'il donna à ma maman avant de lui dire par un signe de main de s'en allez.

Comment ça s'en allez ?

Maman allais-t-elle me laissez avec se grand monsieur ?

Je l'entendais pleurer de plus belle, renifler puis se jeter sur moi en me demandant pardon, pardon ?

Le grand monsieur souffla et donna un coup de pied à ma maman qui lâcha un cri de douleur, je cria puis sauta sur ma mère en lui faisant plein de bisous partout, elle adore quand je lui fait sa.

Elle me repoussa en me criant que je devais l'oublier, mais pourquoi ?

Elle se releva et elle parti en courant.

- Maman ! Maman ! Ne me laisse pas !

Je la voyais partir au loin, pleurant dans son mouchoir déjà plein de maquillage, c'est talons claqué sur le sol comme il claqué dans mes oreilles.

Puis le grand monsieur me pris par le bras violemment, me poussa dans la voiture si brusquement que je me cogna la tête contre la vitre, j'avais mal, oui très mal mais j'avais compris que pleurer ne servirais à rien.

Mon coeur batter tellement fort que je cru qu'il allait sortir de ma poitrine, mes petits yeux furtif regarder partout dans cette voiture si sombre, mes cheveux bouclés était maintenant en vraque, maman aurais détester sa.

Puis, recroquevillé sur moi même, ne bougeant pas, tremblant comme une feuille, je Le vis rentrer.

Il tapa la portière, se qui me fit sursauter et lâcher un petit cri, se qui Le fit rire, j'était terrorisé.

Il avait de grosse lunettes noir et des dents en or, je ne voulais pas le regarder mais malheureusement il s'approcha de moi, bien trop près à mon goût.

C'est main baladeuse mon fait l'effet d'une bombe, je ne regarder pas, la tête baissez et les jambes écartés.

Il me disait, << autant en finir ma jolie poupée, ta vertu ne te servira plus à rien une fois arriver.>>

Je ne comprenais pas se qu'il me disait, en même temps, je n'ai que 10 ans.

2 ans plus tard...

- Salomé !

Putain, toujours on m'appele dans s'foutu bordel.

- Quoi ?!
- On va faire le compte des clients qu'ont à eu dans le mois, bouge ton cul.
- Ok, j'arrive Mélodie.

Ma vie ?
Un vrai foutoir.

Utilisé comme un objet tout les jours par des vieux dégueulasses, c'est mon quotidien.

Ma mère m'a vendu quand j'avais 10 ans, elle m'a vendu à un boss de bordel, pour pouvoir s'offrir la vie qu'elle avait toujours voulu avoir.

Je n'était pas une enfant désirée, je le savais.

Mais ma mère c'est toujours efforcer de me donner un peu d'amour, le strict minimum.

Attendez, une bombasse comme ma mère avoir un enfant ? Haha, jamais de la vie.

Depuis se jour, se jour là où le Boss ma violé, je ne suis plus rien.

Tout à l'intérieur de moi et vide.

Je suis déjà morte.

- Ce n'est qu'un début 😌
- Avis ?

El Infierno.🔥