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l'oubli, sombrer dans les méandres d'une nuit sans fin à la solitude en détresse. qu'ils t'effacent d'une existence déjà tristement malmenée à tenter tant bien que mal d'exister dans des yeux qui ne font que te survoler. à la mort incomprise...
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l'ange est mort, il n'y a plus que les démons qui dansent.
sirènes des désirs ténèbres.
tu chantes à la mort, tu craches à la vie.
il y a l'enfer qui se fait paradis.
il y a les idées ardentes du feu de la vengeance.
le brasier de la vie qui brûle. qui se consume à ce sourire.
il n'y a plus que la rage pour armure de la haine.
douce. violente. intense.
il n y'a plus que toi et l'envie de faire souffrir.
douce. violente. intense.
la roue du karma qui se tourne.
le regard en fusils.
en profondeur limbique.
il n'y a plus qu'les mots de la vérité au mensonge pour faire mal.
la déchéance en héroïne pour l'enterrement de la princesse.
la princesse est morte.
longue vie à la reine.
et il est là ta bouffée d'oxygène d'un regard à un autre la sensation d'être un peu comprise. remarquée comme toujours tu l'as voulu.
et ton cœur arraché, lui pour un peu le recoller. la moitié d'une autre âme à toutes les folies, celui arraché à l'ailleurs pour un ici pas forcément meilleur.
mais avec lui, tout semble moins noir, un peu plus gris. et c'est à la folie que tu t'agrippe, d'une maladie de lui, prête à tout crever pour ne pas te le voir arracher.
t'en a fait une presque propriété, un besoin pour tenir debout. pour ne pas être effacée. et d'une maladie obsessionnelle d'une terreur de
