- Juge : Monsieur Bettencourt vous gardez votre calme !
Je me lève, je lui prends l'épaule pour qu'il se remet à ça place dans les situations comme ça il faut rester calme même si c'est très compliqué.
- Juge : Je vous rappelle que nous sommes dans un tribunal et pas dans une foire !
Moi : Calmez-vous. chuchote
Quelques minutes après, mon client est rappelé à la barre pour plusieurs questions.
- Monsieur Bettencourt : C'est elle qui se rapprochait de moi elle était un peu charmeuse hein, elle me dévorait des yeux ! Un moment elle à même fait tomber son stylo ! Elle s'est baissée pour le ramasser sous mon nez ! Un vrai cliché !
- Avocat Rolzou : Et c'est là que vous vous êtes dit que vous étiez en droit de la tripoter n'est-ce pas ? De lui faire des avances sexuelle nous y sommes !
- Avocat Rolzou : Monsieur Bettencourt fait partie de ses hommes qui interprète le sourire d'une femme comme une invitation c'est ça ?
- Monsieur Bettencourt : Mais j'ai rien fais !Après j'ai reçu un coup de téléphone et je lui ai demandé d'envoyer le contrat et elle est sortie du bureau.
L'avocat de la femme qui accuse mon client il est en pierre, il est très très fort mais j'ai pas peur.
- Avocat Rolzou : Bien sur, bien sûr pour vous monsieur femme qui rit à moitié dans son lit.
- Monsieur Bettencourt : Je vois pas de mal à proposer un verre à une collègue !
- Avocat Rolzou : Notez madame la présidente que pour quelqu'un qui ne voit pas le mal dans son invitation il à quand même hésiter à nous en faire part.
Quelques minutes après, un témoin c'est à dire leurs collègue est appeler à la barre et ses dire son corroborer avec ceux de mademoiselle Rolzou donc à ce stade du procès la culpabilité de mon client semble de plus en plus évidente.
Moi : Monsieur David, se lève j'ai attentivement écouter votre témoignage ainsi celui de mademoiselle Rolzou et j'aimerai revenir sur certains points.
Moi : Vous nous avez expliqué, que votre job consistait à récupérer les dossiers de vos collègues et les archivés avons-nous bien compris ?
- Monsieur David : Euh oui je suis comme qui dirait la mémoire vive de l'entreprise. Une à deux fois par jour je descends pour les classer de manière à qu'on puisse les retrouver facilement.
Moi : Votre employeur est content de vous ?
- Monsieur David : Ah bah.. il à jamais eu à se plaindre.
Moi : Je vais vous faire un aveux monsieur David, si j'étais votre employeur je m'inquièterais de votre sérieux du rangement.
- Monsieur David : Et qu'est-ce qui vous permet de dire que je fais du mauvais boulot !?
Moi : rigole Merci de me tendre la perche, j'y viens pouvez vous nous rappelez à quel heure vous vous rendez aux archives ?
- Monsieur David : À 18h00.
Moi : Madame la présidente j'aimerais que l'ont revienne sur la déclaration de mademoiselle Rolzou, mademoiselle Rolzou nous dit s'être rendu aux archives à 16h00 c'est bien ça ?
Moi : Lorsque monsieur David assiste à l'agression dont ce dit victime mademoiselle Rolzou il est 18h00.
Je sème le doute dans la tête à tout le monde.
Moi : J'aimerais comprendre, soit mademoiselle Rolzou reste un temps fou aux archives pour retrouver le dossier ranger par monsieur David si c'est le cas monsieur je doute de vos compétences soit monsieur Bettencourt aurait agresser durant deux longues heures mademoiselle Rolzou.
Moi : Et alors là il faudrait ajouter la séquestration au délit commis par mon client et dans ce cas il n'a rien à faire ici car cela relève de la cours d'assise.
- Avocat Rolzou : Je vous en pris ma cliente était sous le choque ! Il était sûrement descendu deux heures plus tard retenir l'heure exact de son agression n'est sûrement pas sa priorité !
Moi : Pour mon client si, il est accusé d'agression sexuelle donc je répète ma question monsieur David ! Comment expliquez vous ces 2 heures de décalage ?!
- Juge : Monsieur David, répondez à la question de maître Dibassi.
- Monsieur David : Bah je sais pas moi je suis peut-être descendu deux heure plus tôt ce jour là.
- Moi : Vous nous avez expliquer que vous ne descendiez aux archives qu'une fois les dossiers boucler par fin de matinée parfois mais surtout en fin de journée ! C'est très étrange quand même !
Moi : Monsieur David vous êtes régisseur depuis 2 ans ?
- Monsieur David : Oui maître.
Moi : Est-il vrai que vous allez avoir une promotion ?
- Monsieur David : Oui je vais être nommé chargé de clientèle.
Moi : Félicitations, enfin si vous gérez vos clients comme vous gérez les rangements d'archives votre patron à dû soucis à ce faire.
Moi : Pouvez-vous nous dire si depuis la création de la société un régisseur à déjà été nommé chargé de clientèle après seulement 2 ans ?
- Monsieur David : Euh... je sais pas.
Moi : La réponse est non !
- Juge : Maître Dibassi le tribunal à du mal à suivre votre démonstration en quoi la promotion de monsieur David influe t'elle sur notre affaire ?
Moi : J'y viens madame la juge.
Moi : Monsieur David, qui vous à choisit pour ce poste ?
- Monsieur David : C'est.. mademoiselle Rolzou.
- Juge : J'ai du mal à suivre, mademoiselle Rolzou comment avez-vous pu vous même nommé un chargé de clientèle ?
Moi : C'est possible madame la présidente ! Car désormais mademoiselle Rolzou est passé responsable enfin elle le fera contractuellement dans quelques semaines, oui l'ancienne responsable repart à l'étranger une information qu'elle s'est bien garder de nous dire !
Moi : Et pour cause ! Car le poste à pourvoir était pressenti par monsieur Bettencourt comme l'atteste l'impression de ce mail ! en allant chercher les photocopies.
Moi : Voilà tenez madame la présidente, maître.
- Juge : Qu'est-ce que ça veux dire ?
Moi : Comme vous pouvez le lire la responsable à écrit elle même à monsieur Bettencourt pour lui expliquer que le poste qui lui revenait de droit ne lui serait pas attribué et ce malgré ses compétences.
Moi : Mais quant raison dès substitution des faits qui lui sont imputés elle est au regret de devoir promouvoir quelqu'un d'autre.
Moi : Madame le juge si vous permettiez j'aimerai continuer avec mademoiselle Rolzou.
Une heure après l'affaire à complètement changée j'ai apporté énormément de faits qui se sont déroulés en cachette et Monsieur David et revenue sur sont témoignages en avouant qu'il à eu une relation avec Madame Rolzou.
18h30
Quelques heures après, nous devons revenir pour entendre le verdict je stresse plus du tout car je sais que j'ai tout donné. Mon client aussi est détendu. On arrive dans la salle et on attends.
- Juge : L'audience est reprise veuillez vous asseoir.
- Juge : Monsieur Bettencourt le tribunal après avoir délibéré vous relaxe des faits qui vous sont reprochés.
On se regarde en souriant mon client et moi je suis tellement contente c'était sûr et certain.
- Juge : Mademoiselle Rolzou, le tribunal vous condamne à 4 mois de prison avec sursis et 2 milles euros d'amande pour dénonciation calomnieuses.
- Juge : Monsieur David, le tribunal vous condamne à mille euro d'amende pour complicité de dénonciation calomnieuse.
- Juge : L'audience est levée.
22h50
J'arrive à la maison épuisée, j'enlève directement mes talons il fait tout sombre. Je monte d'abord dans la chambre des mes fils ils dorment je leurs fais pleins de bisous puis je vais dans ma chambre il y'a mon chéri qui se douche du coup je me déshabille et je le rejoins.
- Mamadou : C'est une tentative de viol ?
Moi : Ouais tu me mets du savon s'il te plaît.
Mamadou : Bien sur.
Moi : rigole
Quelques minutes après, on sort je mets mon pyjama et je me couche avec mon ordinateur.
Mamadou : Ta assez travaillé non ?
Moi : Aldjiana.
Mamadou : Bah quoi ? Éteins moi ça.
Moi : souffle et éteins mon ordinateur
Mamadou : Tu souffles pourquoi ? Pétasse.
Moi : rigole
Je pose mon ordinateur et je me mets dans ses bras, il m'embrasse et on ce fait des bisous.
Mamadou : T'as passé une bonne journée ?
Moi : Oui ça va et toi ?
Mamadou : Ouais tranquille.
Moi : Et nos bébés ?
Mamadou : Euh Aylann juste sa dent mais vas-y après ça va hamdulilah.
Moi : Tu lui as mis la crème avant de dormir ?
Mamadou : Ouais il m'a croqué.
Moi : ÉCLATE DE RIRE
Mamadou : On à des fils bien sage.
Moi : Beaucoup.
Moi : Demain je vais faire du télétravail.
Mamadou : Au pire démissionne.
Moi : rigole
Mamadou : Au début j'étais fière, je le suis toujours mais oh ça prend trop de ton temps.
Moi : Je vais pas rester à la maison tout le temps.
Mamadou : Si.
Moi : Non et toi aussi t'es pire !
Mamadou : C'est moi je dois ramener l'argent.
Moi : Huum et toi demain ?
Mamadou : 7h 22h.
Moi : Oh non Mamadou ! Tu m'avais dis que t..
Mamadou : J'ai pas le choix bébé je dois gérer mes hommes.
Moi : souffle et se retourne
Mamadou : Si tu veux d..
Moi : Va te faire foutre.
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