Si la vie est une chienne, raison de plus pour ne pas l'abandonner sur une aire d'autoroute.

Pennac recommande d'écrire sans jouer à l'écrivain, les livres étant plus intéressants que leurs auteurs, et je m'apprête à lui désobéir en me décrivant. 

Lire donne envie d'écrire. Or, je lis beaucoup, donc j'eus envie d'écrire.  Dans la vraie vie, je suis jeune car née en 2001, d'expression française. 
Pour vous remercier d'être cent, j'ai écrit "le Centuple". 

Ecrits : Romans : La lexicographe amoureuse (achevé)

La flûte enchantée 2.0 (achevé)

La patience du bouffon 
Les huit Noëls d'Uriel  (achevé)

Après vous, mon "grand" roman (le plus ambitieux, disons). 
Nouvelles : 
Fééries patrimoniales 
 Plaisir coupable et Plus encore (achevé) 
Je, tu, il (achevé) 

Des nouvelles de Sycomore (achevé) 


Pièce (monologue) : Stipy-Stipy-Van.

Poésie : 1) Le parfum de l'eau. (achevé)
2) Folle fiole. 

Non fiction : d'encre et de pixels (essai sur l'écriture, achevé)

Bonbons philosophiques (achevé) 

Bonbons linguistiques (achevé) 

Mon tour du monde en musique (achevé) 

Monomot 

Au début (achevé) 

Mélomane (achevé) 

Liv est un prénom mixte, Pirosh signifie rouge en hongrois.
Je me reconnais dans le discours du Nobel 2008, le Clézio un franco mauricien, (une forêt de paradoxes) pour qui le paradoxe de la révolution c'est la conscience de l'écrivain. Il se veut témoin et est témoin malgré lui quand il n'est pas voyeur. Il écrit pour ceux dont la voix est inaudible... alors que la littérature appartient aux classes dominantes, ce qui suscite le malaise. La guerre n'est pas l'héroïsme, c'est la faim et la terreur des civils , dans sa vie comme dans son œuvre.