Coucou bonjour
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PDV Alvarez
Je quitta la maison afin de me rendre au travail et revenir un peu dans mon monde.
Le trajet fus de courte durée et assez silencieux vus que je roulais d une allure fulgurante, ce dont je ne me permettais pas de faire quand j etais avec Ziria... Je ne veux même pas penser a elle en cet instant car je ne sais pas ce que ce bout de femme veut faire a ma vie mais non, je ne suis pas prêt et je sais que elle non plus. Elle vit pour me detester et ça doit être ainsi jusqu'à la fin.
Et surtout ces enfants qui rendent la tâche encore plus dure, quand la petite voulus que je la porte j avous que sur l instant j ai paniqué ... Bon c'est un grand mot je sais maitriser mes emotions, c'est juste que je ne m attendais pas a ça ce regard, ce petit air me rappelant fortement Ziria et je ne sais pourquoi !. Merde Alvarez.
Quand je la portais je fus d'abord tendu mais après quand elle deposa sa tête dans mon cou je me surpris a me détendre et apprecier sa chaleur et sa respiration calme... Et dire que je n aurai jamais droit a ce genre de bonheur !. Mais bon, ca ne fais pas non plus partis de mon quotidient il ne faut donc pas que je m habitus car bientôt je les laisserai... Oui très bientôt !
Une fois arrivé dans mes locaux pour regler le problème avec mon père j aperçu un de mes hommes de mains qui aussitôt qu il me vit se stoppa bras derrière le dos attendant sagement que je sois pres de lui, une fois fait il me salua avec crainte et se plaça a ma droite afin d aller dans mon bureau dans le silence complet.
Tous les regards etaient braqué vers moi, et que j aimais me sentir aussi puissant devant le reste du monde !.
Arrivé dans mon bureau je m intalla sur ma place principale et autorisa mon homme de s assoir, ce qu il fit avec hesitation va savoir pourquoi.
- Y a t-il du nouveau ? Je demande en me callant sur mon fauteuil de mon air sombre.
- oui monsieur, au sujet de votre père il est passé plus tôt dans la journée
A cette annonce jefus plus attentif et une colère incontrôlable monta en moi. Cet Homme doit crever en enfer, et même en enfer on se retrouvera et je le tuerai de mes mains si il ose quelque chose contre moi. vous devez vous demandez ce qu il m'a fait ou ce qu il nous a fais, et bien vous le saurez en temps voulus... Mais il a ete la principale cause de ma perte, c'est a cause de lui que je suis devenue cet homme froid et implacable, je devrai peut être le remercier
- j'espère que vous ne l'avez pas laissé entrer ! Je rugis essayant de calmer ma colère et ne pas l abattre sur le reste des employé
- , nous avons fais tout notre possible pour le maintenir à l'extérieur monsieur!
- mais ? Je poursuis en' fronçant les sourcils et l insitant a poursuivre avant que ma colère n explose.
- il nous a menacé de se plaindre au pres de son fils, donc vous, si nous ne lui laissions pas entrer chef il poursuis en baissant le regard
Je tapa mes deux mains sur la table furieux ! Quelle bande d idiot !
- tu sais tres bien les relations que j ai avec lui pourquoi croire à ce genre d ineptie bande d idiot ! Et que voulais t il ? Je m enerva
- vous voire monsieur, mais vus que vous n etiez pas présent nous lui avons demandé de partir et l equipe s est montré plus brutale a cause de son insistance a vouloir vous attendre. Il a donc dit que cegeste ne resteras pas impunis et que vous devriez faire plus attention.
- fais chier ! Je me lève plus furieux et sans tardé saisis mon combiné afin de bien lui faire comprendre quelques points ! Je crois que notre petite conversation ne lui a rien fait. J ai horreur qu un individu pense qu il peut quelque chose contre moi, c'est impossible et même si, je ferai toujours en sorte que même son âme ne repose pas en paix
- Allô ! Il répond de sa voix sournoise et aigris !
- Qu es tu venez faire dans mes locaux Ivan ?
- oh mon fils où sont donc passer les bonnes manières que je t ai apprise ?
Je souffla afin de me donner contenance car je savais qu il voulait me pousser a bout... Oh non cher père plus jamais tu ne m auras. tu as fais ce que je suis devenus aujourd'hui et croit moi je n hesiterai pas à abattre ma rage sur toi !. Je rigola sadiquement
- Ne jous pas à ce jeu avec moi Ivan car tu as perdus d avance, tes menaces a deux balles tu les feras a d'autre mais n oublis pas avec qui tu veux jouer et crois moi pour ma famille je suis prêt à tout. Je t interdis de mettre pieds dans tous les batiments qui m appartiennent de pres ou de loin
- des menaces et encore des menaces mon chère fils, ton épouse t as t elle rendu faible ? Je n accepterais pas ça tu sais j ai mis tant de temps a faire de toi un homme d ailleurs tu devrais me remercier au lieu d énormément parler
Fils de p..
- oh crois moi Ivan, contrairement à toi a l'époque, ma femme me sert de force et je remercie Dieu pour cela car malgré le monstre que tu as fais de moi il a su mettre su ma route une lumière, un espoir. Je dis comme si c etait vraiment le cas reconnaissant tristement qu au fond j etais comme lui.
Que j etais ce même homme violent et solitaire qu il a voulu que je sois. Mais jamais je n avouerai cela
- blabla, je t ai connu moins bavard !, mais bon je suis tout de même triste mon fils, je pensais que je t avais mieux élevé mais voilà que tu tombes dans ce piège amère qu est la femme. Elle ne mérite qu a être baisé et utilisé a la limite frappé... Tu te rappelle comme je le faisais avec ta mère, en parlant d elle... Que son âme rep
- ferme ta gueule fils de pute ferme ta putain gueule ou sur la vie de mes enfants je debarque pour te tuer de mains propres et croit moi je le ferai sans pitié
Il rigola derrière le combiné et une haine sans nom m envahit, je voyais flous en cette instant et c'est comme si j etais possedé
- je reconnais mon fils !! Mais il va falloir que je te laisse surtout salut ma belle fille et mes petits enfants de ma part qui sait... Peut être que je viendrai les rendre visite d ici peu on a deja perdu assez de temps
Je n attendis pas plus longtemps et raccrocha, je plaça mon revolvert contre ma ceinture et sortis de mon bureau les yeux injecté de sang n attendant même pas que mon homme de main sorte de ce dernier
Je conduisais a vive allure ne voyant presque pas la route tant la haine me voilait le regards et arriva chez Rosa bien déterminé a mettre cette famille à l abris, bien que je sois l homme le plus redouté de Russie je savais de quoi etait capable Ivan et je preferais mettre tout le monde a l abris avant de conclure définitivement avec cette histoire... J aurai du le faire depuis bien longtemps mais là j ai une raison de le faire
Ziria... Certe je lui ai fais subir toutes les attrocité du monde mais seule moi ait le droit et l emprise sur cette femme !.
Une fois a l intérieur je sentis bien que l ambiance contrastait avec celui de mon monde, et malheur a moi cela me fit du bien
- youpii ! J ettends crier à l unissons
- quel est donc la source de cette joie ? Je questionne mettant volontairement un silence dans la pièce
Rosa se tourne vers moi sourire au lèvre et malgré son mensonge, voire ma soeur ainsi me faisait du bien et me laissais croire que la flamme du bonheur ne s etait pas complètement eteinte... Mais pour combien de temps ?.
- tu es rentré bien tôt dis donc ! Me dit Rosz timidement, sûrement de peur que je ne lui lâche une réponse froide.
- je porta mes yeux a ma montre et constata qu il était à peine 14heures et d habitude je rentre bien plus tard...
- il faut que je te parle ! Je dis bien trop sérieusement
- il y a un problème ? Me questionne t elle ?
Je ne repondis pas et passa pres de Ziria qui jusqu'à lors me regardait silencieusement je ne pretta pas attention à elle et me dirigea vers la cuisine, afin que Rosa me suive, ce qu elle fit sans tarder .
- que ce passe t il Alvarez me demande t elle une fois a l écart et la panique recouvrant ses traits...
- cesse donc de paniquer ! Il faut a tout pris que tu emmenes les enfants loin d ici ? Precisement a la maison lointaine
- pardon ?? Tu vas me dire ce qu il y a ?.
- Ivan, je pense bien qu il prépare quelque chose contre nous enfin principalement moi et ma "famille" je dis en insistant sur le mot famille
- et bien dis donc toi Alvarez tu autorises l accès a ta demeurre la plus secrète et de surquoi à des gens n étant pas de la famille ? Elle dit comme si je ne m etais pas surpris moi même
- cesse donc tes enfantillage c'est pour les protéger de cet homme !.
- hum... Bien-sûr je sais ce dont père est capable et tu as raison, ça me fais tellement plaisir de voire ton coeur autant s ouvrir
Je fronça les soucil suite a sa remarque, faut pas qu elle s'imagine trop de chose, mais je prefera ne rien répondre et la scruter sur son fauteuil. A chaque fois que je laregardais je me punissais intérieurement de ne pas avoir été présent. J ai son accident qui me honte sans cesse et son handicap qui me tue interieurement, je ne permettrai pas de nouveau qu on s approche des miens !...
Les miens ?. Ces enfants sont ils vraiment les miens ?. Non, mais aux yeux de tous si alors je les protegeraient comme j aurai protegé mon sang !
-et Ziria ? Me rappelle Rosa ?. Elle viendra également ? Alvarez je ne veux pas qu il t arrive quelque chose !
- il ne m arrivera rien du tout, Ziria restera avec moi, c'est mon épouse et pour les enfants essais de négocier avec elle, qu ils restent "dormir chez toi pour un moment"
- pour ça, c'est déjà fais mais les enfants lui diront toujours que nous n etions pas ici.
- je sais, tu diras que tu voulais leur faire changer d'air, d ailleurs ils ont en besoin ... Je dis ont guettant ces derniers. Et moi je reglerais cette histoire en gardant Ziria, je ne veux pas que la presse soit au courante.
Rosa souffla
- je suis fatiguée de cette vie Alvarez elle me dit les larmes aux yeux, tu sais je me sens mieux a présent et peu importe ce que tu diras je sais que cette nouvelle famille te fais du Bien également
- cesse donc de pleurnicher Rosa et tu sais bien que cette "famille" n est pas la notre.
- je sais... Elle repond tristement, excuse moi.
- je suis tout aussi agacé que toi Rosa mais tu sais bien que plus personne ne peut me toucher ni moi ni mon sang alors enlève moi cette inquiétude de ton visage, de mon côté je vais rentrée avec Ziria maintenant et dans la soirée mon chauffeur viendra vous prendre demain des 6h, le plus tôt sera le mieux ... Ne previens personne tu entends ?
- tres bien Alvarez...
Sans plus attendre je quitta la cuisine l'air de rien et rejoins Ziria.
- nous rentrons maintenant ! Je dis de but en blanc
- déjà ? Elle repond tristement
- oui... Enfin je tenais à ce qu on aille manger quelque part toi et moi j improvise n etant pas contre cette idée.
- oh...
- enfin juste pour rafermir notre mensonge j ajoute
- tres bien, de toute façon les enfants ont voulus rester ici alors...
- monsieur Alvarez ? M appelle une petite voix a peine audible et bien proche du sol.
Je baisse mon regard et croise les petits yeux d ange de Zola
- vous m avez ramené mes biscuits ?
Je fronce des sourcils ne comprenant pas et me rappelle que je lui avais bel et bien promis ca, des mon retour. Je m abaissa a sa hauteur naturellement et caressa ses cheveux
- non petit ange, mais promis des que tu rentreras à la maison tu trouveras autant de biscuits que tu voudras et tu en mangeras jusqu'à epuisement...
- Merci beaucoup... Papa elle dit faiblement me prenant de cours
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