PURSUED [terminée]

By swxtmisery

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"Promenons-nous dans les bois, pendant que le loup n'y est pas" Difficilement, fatiguée, j'ouvre mes yeux. Il... More

☠ W.A.R.N.I.N.G ☠
Prologue ✔️
Chapitre 1. ✔️
Chapitre 2. ✔️
Chapitre 3. ✔️
Chapitre 4. ✔️
DECEIVE
Chapitre 5.✔️
Chapitre 7. ⚠ ✔️
Chapitre 8. ✔️
Chapitre 9. ⚠ ✔️
Chapitre 10. ✔️
Chapitre 11. ✔️
Chapitre 12. ✔️
A BIG BIG....
Chapitre 13. ✔️
Chapitre 14. ⚠ ✔️
Chapitre 15. ✔️
Chapitre 16. ✔️
Chapitre 17. ✔️
Chapitre 18. ✔️
Chapitre 19. ✔️
Chapitre 20. ✔️
Chapitre 21. ⚠✔️
BONUS - FLASHBACK
Chapitre 22. ✔️
Chapitre 23. ✔️
Chapitre 24. ✔️
Chapitre 25. ✔️
Chapitre 26. ✔️
𝑪𝒉𝒂𝒓𝒂𝒄𝒕𝒆𝒓𝒔
Chapitre 27. ✔️
Chapitre 28. ⚠ ✔️
Chapitre 29. ✔️
Chapitre 30. ✔️
Chapitre 31. ✔️
Chapitre 32. ✔️
Chapitre 33. ✔️
Chapitre 34. ✔️
Chapitre 35. ✔️
Chapitre 36. ✔️
Epilogue.
L'EGARÉE
BONUS
100k!!!

Chapitre 6. ✔️

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By swxtmisery

Il me tire par le bras sans que je puisse trouver la chance de me défaire. Rien. Je ne peux strictement rien faire avec lui me tenant le bras. Il me tire comme un chien jusqu'à la cuisine, là où le blessé est resté. Le schlass qu'il a reçu dans l'épaule est désormais enlevé. Du sang coule sur le carrelage crémeux.

— Putain... murmure le blond.

Je ne l'ai pas loupé. J'ai tellement cru que cette fois-ci, la chance me sourirait et que j'aurais pu m'enfuir d'ici. En fait, tout ce que je veux, c'est la liberté. Et j'ai l'impression de n'avoir jamais eu le droit à ça. Tout au long de ma vie j'ai été comme emprisonnée dans une prison invisible. Celle qui me maintenait cloitrée entre quatre murs, celle qui m'interdisait de sortir au risque de rallonger ma peine. Aujourd'hui elle devient réelle.

C'est un véritable enfer.

— Tu m'impressionnes Aurélie, semble se réjouir Liam. Mais avoir blessé un de mes coéquipiers te coûtera très cher, m'affirme-t-il sur un ton froid.

Je n'ai pas peur. Enfin, je tente de me le convaincre du moins. Je n'ai jamais été ce genre de filles qui craignait ce qui allait se passer après. J'avais ce goût du danger et de l'inconnu, même au risque d'en ressentir la douleur. Au fond de moi, cependant, j'ai une partie totalement opposée. Elle a peur, elle est terrorisée. De tout. Et même avec ce sentiment, je continue ; comme si je ne pouvais pas m'en empêcher. Je suis trop lucide pour ne pas voir les désastres.

Pour la première fois de ma vie, je pense avoir un talent de télékinésie : je crois entendre tout ce qui lui passe par la tête juste en le regardant dans les yeux. Ils me transpercent, comme une perceuse qui voudrait trouer un bout de bois. Le hors-la-loi me toise comme si j'étais abjecte. Ses cheveux brun foncé sont désormais en désordres et une touffe de mèches longues tombe sur son front, cachant quelque peu ses yeux. Il est désormais un peu plus rasé tout en gardant ces poils qui recouvrent son menton et sa mâchoire.

Je garde la tête haute. Je montre qu'il ne m'atteint pas. J'essaie de rester forte. Je ne dois pas être une de ces perdantes qui abandonnent au premier coup qu'elles reçoivent. Non. Je serais ravie d'être de celles qui encaissent les coups sans broncher.

Je tente de me défaire en balançant mes bras de droite à gauche, en faisant la même chose avec mon corps. Il me tient férocement, comme un lion qui retiendrait sa proie. Tout ce que j'ai réussi à faire c'est d'accroître la douleur aux poignets à cause de sa main qui se resserre encore plus.

Je décide de lui mordre le bras. Il eut un cri de douleur puis me lâche. Je n'ai pas le temps de faire un seul mouvement que je grimace lorsqu'il attrape mes cheveux : il est à la limite de me les arracher.

Je dois penser à les couper.

Il commence à marcher, la touffe de cheveux toujours coincés entre ses doigts. Je suis traînée dans les escaliers rapidement.

— Reste ici, grogne-t-il d'une voix grave.

Il me jette dans une pièce ténébreuse et referme la porte derrière lui. Je me précipite directement vers elle, mais manque de chance, j'entends le bruit de de la serrure, bloquant ma seule issue. Ma vie est pathétique. Je ne risque pas de bouger du coup.

Je l'entends rigoler derrière la porte. Sa voix s'éloigne. 

Eh bien ! heureusement que je n'ai pas peur du noir, car je pense que j'aurais déjà fait une crise d'angoisse il y a longtemps avec toutes ces sombres pièces.

Je me laisse tomber contre la porte et soupire. Je repense à toute ma vie d'avant, comment elle était avant tout ça n'arrive. Avant que tout n'arrive.

Elle était calme. Personne ne me connaissait et personne ne cherchait à savoir mon passé, pas même Ryan. Lorsque j'habitais à New York, avant de revenir dans ce trou à rat qu'est Portland, tout le monde s'en foutait de tout le monde : tu croisais quelqu'un un jour, tu es sûr que tu ne le recroiseras pas avant au moins 5 ou 6 mois. La ville était grande et ça me plaisait.

Le seul point qui n'allait pas dans ma vie était ce que je redoutais le plus : les nuits. Encore aujourd'hui, je fais des cauchemars et ça, malgré les tentatives de me soigner. Il y a de cela quelques années, j'ai réussi, grâce à une thérapie sur le long terme, à réduire mes cauchemars, mais ça n'a pas duré. Tout était revenu comme une maladie incurable. J'ai abandonné l'espoir de les voir partir un jour.

Je me demande encore pourquoi je suis partie en vue de ma situation actuelle.

Finalement après plusieurs minutes assises parterre, je me décide à me relever et voir où je suis. Est-ce la même pièce où j'ai été enfermée pendant au moins 2 à 3 jours ? Je ne pense pas, il n'y a pas de fenêtre à cet endroit.

Mais il a combien de caves, ce type ?

Je touche le mur derrière-moi, en espérant trouver un interrupteur. Clic. La lumière fut. Je découvre une salle d'entraînement. Il y a tout ce qu'il faut pour s'entraîner à devenir plus fort. Il y a des gants de boxe avec un punching-ball accroché au plafond. Un canapé collé au mur – à moitié délabré.

Génial.

Soudain, la porte s'ouvre et je me tourne d'un coup sec ma tête, me faisant grimacer au torticolis que je viens de me faire. Je crois savoir qui se tient là en ce moment dans l'embrasure de la porte, attendant que je me retourne complètement pour me parler.

J'avale simplement ma salive et remets doucement ma tête droite. Je ne parle pas et j'entends parfaitement ses pas s'approcher. Il faut que j'arrive à le distraire... Et il y a qu'une seule façon. Je vais détester ça.

Il passe devant moi, attrape quelque chose et se retourne vers moi. Seulement, ce n'est pas du tout Liam. Une voix parvient à mes oreilles derrière moi :

— J'avoue que te punir me ferait grandement du bien, reconnait-il celui qui crée mon malheur. Mais finalement, j'en ai conclu que te frapper jusqu'à que tu meurs n'était peut-être pas la meilleure solution. Néanmoins, ça me fait du bien d'y penser, alors je vais laisser Austin s'en charger – je n'ai pas envie de me salir les mains, rajoute-t-il comme pour noter une petite ironie.

Je détaille parfaitement le jeune homme qui se tient devant moi. Un piercing sur le nez droit, ses cheveux châtain remis en arrière et attachés dans un chignon maladroit, une barbe naît sur les coins de sa mâchoire carrée, sur son menton et au-dessus de ses lèvres. Sa peau blanche est tâchée par l'ancre qui recouvre ses bras, ses épaules et, bien qu'il porte un débardeur blanc, je peux apercevoir le début d'une rose sur son torse. Je tourne ma tête vers Liam. Son dos est accoudé sur le mur tandis qu'il me jauge d'un air totalement sérieux.

— Voyons voir ce que la police t'a offert en entraînement.

Je n'ai pas le temps de réagir que je suis propulsée à terre. Mon bras collé dans mon dos ; je n'arrive plus à le bouger. Lorsque j'essaye de lever ma tête pour parler à l'assassin, ma tête s'écrase sur le sol et un pied appuie sur le côté de mon visage. J'ai l'impression qu'il ne fait aucun effort pour me tenir comme un chien.

— Je sais ce qu'il se passe dans ta tête en ce moment. Tu es frustrée, perdue, faible.

Il s'est approché de moi tellement vite. Son genou touche le sol et son avant-bras est posé sur son autre cuisse. Le pied de ce « Austin » se dégage et Liam saisit mon menton pour soulever mon visage.

— Tu veux me défoncer la gueule pour ce que je t'inflige en ce moment, mais pas maintenant mon sucre d'orge. Si Austin arrive à te mettre à terre en 5 secondes, tu n'arrives même pas à imaginer à quel point je suis pire.

— Tu n'es pas un peu vantard le narcissique ?

Il rigole puis toise son acolyte. Je le sens se dégager de moi puis il attrape mes cheveux pour me lever. Mon buste se relève et un poing percute ma joue droite. Mon visage se tourne dans l'autre sens et Austin lâche sa poigne pour me laisser tomber comme une merde. Sa chevalière présente sur son annuaire me laisse une douloureuse marque.

— Je ne pense pas que tu sois à la taille de mes attentes Aurélie.

Il sourit, fier de lui. Il se relève enfin et l'autre con fait de même. Je tente de me lever à mon tour.

— Vas-y Aurélie, lève-toi, je t'en prie. A chaque fois que tu toucheras le sol, il aura le droit d'enlever un de tes vêtements. J'espère pour toi que tu sais te battre, car s'il arrive à finir son travail, je te laisse imaginer la suite.

Je me prends une douche froide. Je le jauge et l'imagine à ma place. S'il l'était une seule fois, il ne ferait plus le malin ; il comprendrait ce que ça fait d'être faible, humiliée.

— J'ai des choses à faire, on se voit plus tard ?

Il sort de la pièce en rigolant. L'autre ne parle pas et je le vois s'asseoir un peu plus loin sur une commode. Il sort son téléphone et ne me regarde plus tandis que sa chaîne autour du cou tangue dans le vide. Je tousse et me touche la joue en grimaçant. J'ai mal. Je décide de me redresser. Le costaud dérive ses yeux vers moi, un sourire en coin se forme et enfin sa voix s'active. Une voix grave qui me blâme presque.

— J'ai toujours admiré la police pour leurs capacités à toujours faire le bon choix. Mais sérieusement, tu crois vraiment que tu vas arriver à ne pas finir par terre ?

Il me questionne. Il pose son téléphone sur la commode.

— Tu t'es regardée ? T'es qu'une pauvre femmelette, me fait-il remarquer d'un ton ironique.

— Outre ton commentaire sexiste, je tiens à te préciser que se battre avec une personne qui n'a plus de muscules parce qu'elle a été enfermée plusieurs jours sans manger (le jugé-je), n'est clairement pas du jeu.

Il rigole puis me regarde grand sourire, les yeux plissés. Il se tourne en étant toujours assis et sort, de je ne sais où, un couteau. Il me le lance et le bruit du métal s'écrase au sol.

— Je n'en prends pas ; le combat sera peut-être plus égal pour toi.

Je contracte ma mâchoire. Si j'avais encore mon pistolet sur moi, il ne serait déjà plus debout et je serais partie depuis longtemps. C'est simple : je tombe, Austin me déshabille. Comment ne pas courir loin avant même de commencer ?

Je me baisse pour attraper l'objet tranchant et me redresse, tandis qu'il se redresse sur ses jambes. Sa chaîne attachée à son pantalon noir frotte contre celui-ci pendant qu'il se déplace à l'opposé de la table.

— Je pense que tu fais le mauvais choix Aurélie, tu le sais ?

— Juste ferme-la.

— Tu ne chialeras pas lorsque tu seras nue devant moi ?

Je me lance et attaque en première. Austin échappe à la lame. Sa main saisit mon bras. Il appuie dessus et me fait lâcher l'arme blanche, qu'il saisit adroitement. Il tire sur mon membre et en une seconde, le poignard se trouve sur ma gorge. Il me tient fermement par la taille ne voulant en aucun cas me laisser partir. Je sens sa bouche à la bordure de mon cou, il ne le touche pas, mais ses cheveux, désormais presque détachés, se collent aux miens.

— En effet, t'es nulle. Enlève ton haut.

J'essaie tant bien que de mal d'enlever son seul bras autour de ma taille. J'ai peut-être une chance de m'enfuir. Même en étant dans mon dos, il n'est pas invincible. Si j'ai blessé l'un d'entre eux, je peux arriver à toucher audacieusement.

— Tu ne m'as pas mis au sol.

— Oh ! Tu veux que je le fasse ? Il n'y a pas de problème.

Avant qu'il ne bouge, j'enfonce mon coude dans ses côtes avant d'envoyer mon pied dans son ventre. Ma jambe glissa sous la sienne, le faisant tomber de revers. L'arme blanche en main, je le menace en le passant juste sous sa jugulaire. Je peux voir le pouls qui palpite dans son cou. Puis sa réaction me fait douter de mes capacités à l'avoir mis à genoux. Il rit. Nous nous regardons droit dans les yeux. Il me fixe, mais ses yeux verts ne trahissent rien.

— Tu as peur ? déclare-t-il tout à coup.

Je deviens rigide. Je me mords l'intérieur de la joue. La confrontation se poursuit en silence. Lassée de l'intimidation, de la peur et du silence, je me force à relever la tête. La menace de la mort ne lui fait pas peur. Les yeux toujours plissés et menaçants d'Austin exprimaient beaucoup de choses. Il reste indolent alors que la pression sur sa gorge diminue. Je vis dans son regard une lueur d'amusement, comme s'il trouvait mon geste pleutre.

— Tu as peur, affirme-t-il comme une moquerie.

Je lui libère la gorge. Je me sens complètement secouée par cette révélation. Oui. J'ai peur. Mais pas de lui. Non, j'ai peur de tuer quelqu'un. Je ne veux pas devenir responsable de ce genre de choses. Agitée, je baissai les yeux vers sa main, horrifiée par la vue et par ce que j'allais faire. Je deviens folle, et mes pensées sont incontrôlables.

Un raisonnement me frappa – je n'ai pas entendu le verrou métallique se refermer. La porte pourrait bien être déverrouillée ! J'ouvre la bouche, elle tremble et nerveusement, ma paupière bouge. Je recule, petit à petit, puis je me retourne très vite et me dirige vers la porte.

— Va falloir que je te poursuive ? Sérieusement ?

La porte ouverte, je cours, je longe le couloir vide. Je remonte les escaliers rapidement en manquant de louper une marche. Sa voix résonne dans tout ce bordel, des larmes de peur, de faiblesse sont apparues pendant que je cours. J'approche la porte d'entrée. Je sors. Hallelujah. Dès que j'ai un pied à l'extérieur, je cours plus vite. Je cours loin de la maison en essayant de distinguer où je vais pour éviter de me cogner contre unéventuel arbre : bien qu'il fasse nuit, la lumière de la lune arrive à m'indiquerles obstacles. Des larmes dévalent mes joues, et ma respiration est saccadée tandis que je m'efforce de conserver un rythme de course régulier. Le bruit des feuilles, s'écrasant sous mes pas lourds, résonne.

Ses pas s'approchent, rapidement, frénétiquement. Les chaussures d'Austin rentrent en contact avec le sol, les pas vibrants et des frissons arrivent sur mes bras. Une de ses mains agrippe mon bras tout à coup, nous projetant au sol tous les deux. A plusieurs centimètres de moi, je le jauge mais ne perds pas de temps. Précipitamment, je bouge mes jambes pour éviter qu'il ne les attrape. La saleté pourrit mes vêtements, mais je m'en fous tellement en ce moment. Sans prendre le temps de réfléchir, je recommence à courir comme un dératé.

J'ai beau inspirer aussi profondément que je le peux, j'ai l'impression de ne pas absorber assez d'oxygène pour donner à mes poumons l'énergie nécessaire pour fuir. Tandis que les branches des arbres m'accrochent les cheveux, une seule idée m'obsède : ne t'arrête pas. Ne t'arrête pas.

Chaque pas provoque un élancement de douleur dans ma jambe d'appui, encore meurtrie par la balle de l'autre jour. Je regarde derrière moi en continuant de courir, les larmes continuent de couler. Des bras m'empêchent d'aller plus loin. Je suis soulevée. Une détermination sauvage, brûlante et enragée déferla dans mes veines. Je tape avec force dans son ventre et j'entends son souffle couper. Je frappe dans son visage avec mon coude et l'impact le fis reculer.

Un déferlement de panique, cette fois-ci, monta en moi, et les pulsations de mon cœur s'accélérèrent alors que Liam se trouvait à quelques pas devant moi. J'arrête soudainement de bouger. Il penche la tête sur le côté. L'effroi et la peur me coupent la respiration. L'angoisse me comprime la poitrine comme un étau.

Sans prévenir, une explosion de douleur m'envahit tandis que ma tempe heurtait violemment le sol mouillé. Sonnée, je mets quelques instants à comprendre que Austin m'a saisi les jambes pour me bloquer. Je tentai de me retourner, mais cet enfoiré plongea les mains dans mes cheveux et me tira la tête en arrière. J'essaie en vain de soulager la pression que cet acte me procure. C'était comme s'il voulait m'arracher la tête. Je concentre mon attention sur Liam. Il s'approche.

— Encore un acte téméraire, mais inutile. Tu me fatigues, s'exaspère-t-il. Tu sais ce que je vais te faire ?

Je déglutis et parvins néanmoins à afficher un sourire sarcastique.

— Bla bla bla. Tu veux me faire quoi ? Me torturer ? Toujours la même chanson ; change de disque.

Son regard se fait glacial. Il pinça la bouche. Le petit sourire réapparut.

— Ce serait vraiment du gâchis.

Liam se rapprocha en secouant la tête. Il s'agenouilla. Il demeure imperturbable. La tête penchée sur le côté, son faciès étiré dans un sourire épouvantable.

— J'avais pensé à autre chose de beaucoup plus amusant.

A/N_

Que pensez-vous de ce chapitre ?

Aurélie a voulu tout tenter pour s'enfuir et ça n'a pas fait. 

Un nouveau personnage arrive. Austin, l'aimez-vous? Ou pas?

Un petit vote et et pourquoi pas un avis pour m'aider et montrer ton passage.

Mon Insta 🙊 --> be._d

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