Pour Chupa_Cream
Les deux hommes de ma vie s'éloignaient un peu plus loin dans l'hôpital. J'étais en ce moment la femme la plus heureuse au monde.
"Annie ?
-Oui?
-Qu'est-ce ce qui se passe entre Gaston et Raphaël ?
-Je la pense qu'il est grand temps que tu sois au courant..."
Elle pris une grande inspiration afin de commencer son récit. Son visage était grave.
'Flashback'
"Gaston je t'en supplie arrête de boire...
-Comment veux tu que j'arrête ? Mon fils vient de partir.
-Il va juste à son entraînement, il revient dans deux heures...
-Il a décidé de devenir footballeur ?! Footballeur !! Ce n'est pas un métier footballeur ! Je m'en fout royalement de ses entraînement, ou de son "centre de formation", je m'en pète complètement. Je veux que mon fils revienne ici et qu'il apprenne quelques choses qui lui servirons dans sa vie. Je ne veux pas qu'il soit footballeur !
-Gaston, tu ne sais pas ce que tu dis, tu as beaucoup trop bu, tu devrais lâché cette bouteille.
-Tu ne me donne pas d'ordre ! Je te l'interdit ! Maintenant va chercher ton fils !
-C'est notre fils ! Et non, je n'irais pas le chercher ! Rapha réalise son rêve, ne l'embarque pas avec toi dans ta dérive, il vaut bien mieux que toi !
'Flashback'
-Comment a il réagit ?
-Il s'est énervé, il a pris la bouteille de verre et il me l'a lancé au visage. J'avais des morceaux de verres dans la peau. J'ai voulu aller à l'hôpital, mais il a pris la voiture et il est parti, sans doute dans un de ces bars ou de jeunes filles danse avec le moins de tissu possible.
-Et vous alors ?
-J'ai appeler Maria, ma voisine, elle a accepté de m'emmener à l'hôpital.
-Et Gaston, je suppose qu'il a continué à boire ?
-Oui... Maria à voulu porter plainte, elle lui a fait du chantage. Elle lui a dit qu'il devait aller dans un établissement spécialisé, et que si il n'y allais pas, elle déposerais plainte. Alors il est parti dans un centre de désintoxication. Puis Raphaël a quitté Lille pour aller vivre à Madrid, et Gaston s'est remis à boire. À chaque étape importante de la carrière de son fils, Gaston se remettait à boire. Il ne supporte pas l'idée qu'il s'épanouisse et réussisse dans le football. Quand il ta vue, ça lui a aussi fait un grand choc. Selon lui, à partir du moment où tu passe dans un programme de télévision quelque conque, même dans les informations, c'est que tu est un idiot dénoué d'intelligence. Quand il a appris que tu était chanteuse, il en a fait des flans pendant trois semaine.
-Et il s'est remis à boire. J'ai raison ?
Annie essuya une larme qui roulait sur sa joue.
-Oui. Si bien qu'il y a une semaine, il a fait un coma éthylique. Il est toujours à l'hôpital.
-C'est que ça que vous parliez alors, avec Raphaël.
-Oui..
-Je suis désolé, je ne pensais pas que...
-Ce n'est pas de ta faute ma chérie. Ne t'en fait pas. Mais j'en suis sûre, Gaston ne vivra pas encore très longtemps. Je voulais qu'il voit au moins une fois son petit fils avant. Malgré tout ce qu'il a pu nous faire, il ma aidé à éduqué, tant bien que mal, notre enfant.
-Je comprends. Nous viendrons avec vous, je résonnerais Raphaël."
En guise de réponse elle me pris simplement dans ses bras, ce qui me fit légèrement sourire.
Raphaël revint, notre fils dans les bras.
"Regardez comme il est beau mon fils.
Dit il avec un sourire si fière.
-Toit le portrait de son père. Ajoutais je avec un regard malicieux.
-Il a les yeux de sa mère, ajouta Annie, remplis de joie, d'amour et de gentillesse. Il est si beau."
Raphaël vint se loger près de moi, dans mon lit d'hôpital. Annie nous regarda de longe minutes avant de sortir, comprenant qu'il faillait que je parle à son fils.
"Que notre fils est beau, on a fait un travail merveilleux.
-Oh oui, et vu ses coups de pieds, ça ne m'étonnerais pas qu'il soit footballeur ! Plaisantais je. Raphaël ?
-Oui ?
-J'ai parlé avec ta mère.
-Tu est au courant pour mon père ?
-Oui. Je pense qu'on devrait aller le voir, c'est tout de même ton père.
-Je ne suis pas sur de vouloir y aller, après tout ce qu'il a pu faire, à moi à ma mère, et ce qu'il a dit....
-Je sais Raph, mais si tu n'y vas pas, tu finira par le regretté un jour ou l'autre....
-Je sais bien, mais Liam ?
-On l'emmène. Il verra quand même son grand père, pas dans la meilleur état, mais je veux qu'il le voit.
-C'est d'accord.
-On partira d'ici trois jours... il me laisse sortir ce soir."
Raphaël me pris dans ses bras.
****
Nous étions sur le départ. Notre avions décollait à 16h30. Raphaël était un peu stressé, et moi aussi. C'était la première fois que Liam prenait l'avion.
"Ça va ? Demandais je doucement.
-Mouais... j'angoisse un peu, pour mon père, et aussi pour Liam.
-Ne t'inquiète pas chéri. Tout vas bien aller, je te le promet."
Après environ trois heures de vols, notre avion se posait dans l'aéroport de la banlieue lilloise. J'avais auparavant téléphoner à Annie, nous avions décidé de nous retrouver chez eux pour poser nos bagage, avant de repartir à l'hôpital voir Gaston.
Pdv Raphaël
Nous entrions dans l'hôpital, demandions le numéro de chambre, avant de prendre l'ascenseur. J'étais stressé, je ne savais à quoi m'attendre.
Madison me regarda une dernière fois d'un regard inquiet, comme pour me demander si j'étais prêt. J'acquiesçais.
Elle poussait la porte, laissant apparaître mon père, sur un lit d'hôpital, le visage relié à une machine qui à priori le faisait respirer. Un tas de tuyaux était aussi raccroché à ses bras.
Je soufflais longuement, une larme menaçait de dévaler ma joue. C'était si impressionnant. Madi plaqua sa mains sur son visage, ses yeux étaient eux aussi rempli de larmes. Liam quand à lui de mot à pleurer.
"Mad, sort. Je ne veux pas infligé ça à Liam.
-Tu es sur ?
-Oui..."
Pendant de longue minute, j'étais resté assis, près de lui, le regardant. Un médecin entra dans la pièce.
"Bonjour, vous devez être Mr Varane ? Je me trompe ?
-C'est bien moi.
-Votre père est au plus mal, nous vous attendions.
-Vous m'attendiez ?
-L'avenir de votre père est entre vos mains. Votre mère souhaite que vous preniez cette décision.
-Vous voulez dire qu'il faut que je décide si je veux débrancher mon père c'est ça ?
-Malheureusement, je vais voir laissé y réfléchir."
Le médecin quitta la chambre. J'étais à cour de souffle. C'était un tel fardeau que ma mère m'avais laissé. Mais d'un autre côté je pense qu'elle, n'aurais jamais pu se résigner à débrancher son chère mari.
"Papa, commençais je en m'asseyant près de lui, entre nous ça n'a jamais été simple. Tu ne m'a jamais encouragé c'est vrai, mais pour ma part, je n'ai pas été non plus le meilleur des fils, je l'avoue. Je veux que tu sache que, aujourd'hui je suis épanouie, je vis ma vie pleinement, avec Madison elle vient d'accoucher, dis-je dans un sourire, c'est un garçon : Liam. Il est adorable, d'après maman il sera un bon footballeur. Je veux que tu sois fière de lui, et j'aurais aimé que tu sois fière de moi. Quand à Madison, c'est une fille géniale... elle est tout pour moi, et elle m'a permis d'ouvrir les yeux, malgré tout c'est déjà trop tard. Et je me retrouve à te parler ici, dans un hôpital... mais je dois te le dire quand même papa, je t'aime..."
Je fut coupé par quelqu'un qui toqua à la porte.
"Je pense que vous devez le débrancher..
-Je suis désolé Mr Varane."
Je sortais de la chambre, retrouvant Madison et Liam. Nous quittions l'hôpital, main dans la main, le cœur lourd.
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JE SUIS DE RETOUR POUR VOUS JOUEZ DE MAUVAIS TOURS
Je suis désolé vraiment... je bosse beaucoup j'ai mon exam là semaine pro, donc je bosse et il fait chaud donc c'est horrible bref au bout de ma vie...
Jsais pas si j'aime ce que j'ai écrit alors bon...
Laura je suis désolé, je sais que je te le dis 2619197372 fois par mois mais ptn... j'espère quand même que tu aimera...
Pour tous ceux qui ont fait des commande vous inquiétez pas ça arrive des la fin des cours..
Amourrrrrr❤️❤️❤️❤️