L'histoire des corbeaux

由 Eliose_12

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Théo doit-il laisser son ami mourir, ou le sauver, en prenant le risque qu'il sombre dans la dépression, et q... 更多

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Tache de sang, Tableau souillée

Éphémère

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由 Eliose_12

Cette joie qui brille dans ses yeux.

Cette joie que je n'est jamais vue.

Cette lueur qui illumine ses iris bleuté.

Cette flemme de bonheur qui semble éternelle.

Ce brasier qui semble s'agrandit toujours plus, sans jamais faiblir.

Ce monstre de feux qui semble invincible n'est en fait qu'une illusion, qui s'éteindra qu moindre coup de vent.

Qui s'éteindra au moindre coup de vent.

Qui s'éteindra quand le mistral de la drogue sera passé, et aura laissé derrière que désolation.

L'odeur de la beuh vient chatouillé mes narines. Je jette mon regard sur lui, pendant qu'il me tend le joint, un sourire effacé accroché au lèvres. Je refuse d'un geste de la main, avent de jeté ma tête en arrière.

Les volets mis clos laisse passé de léger rayon de soleil. Accompagné de la lumière grésillante, la fumé qui a prit possession de la pièce, donne une ambiance macabre a l'atmosphère.

- Tu devrai essayé.

- C'est pas pour être méchant, mais j'ai pas envie de finir comme toi.

- T'en fait pas, pour finir comme moi il faudrait avoir ma mère, avec un supplément d'harcèlement scolaire. Me déclare-t-il en ce levant.

- Tu va où ?

- J'ai faim pas toi ?

Après quelque seconde de réflexion je sonate que la faim me tiraille aussi. Dans tout les cas je dois le surveiller. Je le rejoint dans le seuil de la porte, puis on ce dirige vers la cuisine.

La chambre semble lumineuse a coté de la noirceur de la cuisine. L'ombre de Liam ce déplace avec aisance a travers les meubles de la pièce. Mes yeux perdu dans l'obscurité peine a ce repéré. Je pose ma mains contre le mur, et commence a le tapoté, cherchant l'interrupteur.

- Elle est où la lumière ?

Un silence inquiètent accompagné mes paroles.

- Liam ?

Ma vois ce perd dans l'infini, avent de venir résonner jusqu'a mes oreilles.

Je plaque ma main contre le mur, et cherche activement l'interrupteur. Au bout d'interminable seconde de recherche, la lumière s'allume enfin laissent apparaître le corps inconscient de Liam allongé sur le sol.

Sans réfléchir mes jambes ce précipite vers lui pour le secoué, tenté de le réveillé. Mes membre commence a tremblé, ma cage thoracique ce referme sur mes poumons. Un brouhaha s'installa dans mon esprit, m'empêchant de réfléchir correctement.

Mon coeur manque un battement, quand le bleus azur de ses yeux apparaît. Je reprend mon souffle, et bascule en arrière, pendant qu'il ce redresse tenant sa tête entre ses mains.

- Pourquoi tu ma réveillé ? Je dormait bien.

- Ça suffit.

A l'aide ma main je m'appuie sur le sol pour me relevé.

- On va a l'hôpital.

Ses yeux mis clos, s'illuminent de terreur a l'entente de ces mots. Avec le peu de force qui lui reste, il ce redresse, et plante ses yeux dans les miens. La flamme qui flamboyait dans son iris il y a encore quelque minute, a laissé place a un torrent de peur qui ce déchainé a même sa rétine.

- S'il te plait, non !

- Mais tu est a deux doigts de la mort, il est hors de question que je te laisse dans cette état.

Son regard devient vitreux, et son corps chavire de nouveau. Je m'élance vers lui pour le rattrapé, mais il arrive a s' appuyer de justesse sur un meuble.

- Ça va, lâche moi.

Il accompagne sa parole en me poussent d'un geste faible. Sans contesté je recule, ne voulant pas l'énervé d'avantage.

- Si ont va a l'hôpital, tu pourra être aidé !

- Mais j'ai pas envie d'être aidé !

Ses yeux sont rouge, et semble sortir de leurs orbites, Pendant que tous ses membre tremble. Son corps semble respiré de terreur. Je peu presque ressentir les sentinelles du mal qui l'entour.

- Tu va ruiné ta vie si tu continue comme ça !

- Elle est déjà ruiné ma vie ! Tout ce qui me maintient en vie, c'est le fait pouvoir plané quelque heur. Tu comprend pas qui l'y a plus rien pour moi ici.

- Je suis sur qu'il n 'est pas trop tard, tu peu encore...

- Théo ! Il est trop tard pour moi depuis que je suis née ! Le jour même de ma naissance mon avenir s'effritait déjà ! Le monde ne voulait pas de moi avent même que je respire...

- C'est pas fini, tu a encore toute la vie devant toi.

- Je suis déjà mort de l'intérieur.

Ma gorge ce sert, m'empêchant de respiré, quand ses mots percute mon cerveau.

- Mais je croyais que tout commençait a s'arrangeait...

- C'est faut Théo... c'est ce que je t'es fais croire pour pas que tu t'inquiète, mais ça empire de jour en jour.

La terre commence a tourné, pendant que le sol se dérobé sous mes pieds. Tous semblait allé mieux...

J'aimerait tellement retourné a cette époque. Cette époque ou je ne savait rien. Cette époque ou je pensait que tu avais une vie facile. Cette époque ou je ne voyais en toi seulement joie et paix. Cette époque qui semble si lointaine, depuis que j'ai sauté dans l'obscurité avec toi, le jour ou tu a tenté de partir. Ce jour ou j'ai eu l'impression de te sauvé en appelant l'hôpital. Maintenez j'ai juste l'impression de t'avoir ramené dans cette prison qu'ont appelle la vie.

- Je fais quoi alors ? Je te laisse crevé ici tout seul, sans rien faire ?

- Non, j'ai pas envie de mourir seul.

Mon coeur se tord, quand un sourire sincère se dessine sur son visage. Jamais il ne m'avait offert autant de sincérité depuis qu'ont ce connait.

Il veut mourir ce soir.

Et sans m'en rendre compte, le jour ou je l'ai sortie des griffes de la mort, je me suis engageait a être a ses coté le jour ou son âme quitterait notre terre.

Mes yeux fixèrent le plus beau sourire que l'ont mes jamais offert. Comment lui résisté quand pour la premier fois un sourire pur est sur son visage. Quand pour une fois son sourire n'est pas la pour dissimulé le mal qui le ronge chaque seconde.

Est ce que ça ferait de moi un monstre si je le laisser abréger ses souffrance ? Pourquoi devrait-il rester avec nous, si mieux l'attend de l'autre coté ? Pourquoi devrai-je le laisser en proie a sa souffrance, si il peut s'en libéré ?

Après tout je serait le seul a le regretter. Le seul a savoir que la mort était la clef de son bonheur.

Je le regarde droit dans les yeux, j'avance vers lui et lui et lui tend la mains.

- Viens.

Ses sourcils se fronce, pendant qu'il m'interroge du regard.

- Je t'emmène pas a l'hôpital.

Il me considère quelque seconde, avent de m'accorder sa confiance. Il pose sa mains dans la mienne laissant apparaître ses cicatrice, encore luisante de sang pour certaine, qui recouvre ses bras depuis qu'il a neuve ans.

Je le tire hors de la maison et le fais marché a travers la ville. Je sens son bras tremblé, faisant résonné toutes les cellules de mon corps. J'entend son souffle saccadé derrière mon dos, venant percuté ma nuque, me provoquant des frison.

Des nuages gris ce sont installé dans le ciel, annoncent une pluie certaine. Un vent frais fouette mon visage, m'empêchant d'avancé. Comme si le monde m'envoyé un message. Comme si le monde me demandé de laissé Liam entre ses griffes , pour qu'il puisse encore le broyé de l'intérieur.

Après plusieurs minute de lutte acharné contre le vent, ont arrive a destination. Un paysage verdoyant s'offre a nous. Liam prend les devants pour allé sur la petit colline a quelque mettre. Une fois en haut, il me fait un signe de la main, m'invite a le rejoindre. Je m'exécute.

Je décide alors de m'allongé a l'horizontal sur le sol. Je pose mon regard sur Liam, et d'un geste de la tête je lui propose de me rejoindre. Sans rechigné, il s'allonge a la verticale, posant sa tête sur mon ventre. Je viens déposé ma main sur son torse, avent qu'il n'entrelace ses doigts avec les miens.

Les nuages filtres de léger rayons de soleil, qui réchauffent mon visage, pendant que la brise fraiche fait bougé a son gré, l'herbe sous mon corps. L'humidité flotte dans l'atmosphère, de plus en plus lourde. Le ciel marqué de griffes bleus nous offres un magnifique paysage.

Le froid glacial de Liam vient envahir mon corps, faisant hérissé tout mes poiles. Ce qui n'empêche pas une douce chaleur prendre part de mon être. Ma mains bouge au grés de sa respiration apaisante.

Un silence réconfortant nous enveloppes, faisant résonné a l'unisson nos coeur, qui ne font désormais plus qu'un. Pour accompagné nos battements, un grondement sourd ce faite entendre, suivi d'un éclairé violacé, puis de la pluie.

Les yeux fermé, je laisse les particule d'eaux ce posé sur ma peaux. Ces dernier glissent sur moi, emportant toutes les pensés négatives. Les ténèbres qui nous avez prie en otage s'emballais s'évapore parmi les fine gouttelettes d'eaux, qui semble figé dans le temp.

J'ouvre les yeux, et les pose sur le visage serein de Liam. Un sourire sincère sur les lèvres, il semble plus heureux que jamais. C'est seulement au porte de la mort que le bonheur a réussit a se fair une place dans son esprit.

J'ai un pincement au coeur en réalisent que c'est la premier et dernier fois que je le vois dans cette état. C'est la seul fois ou il réussit a attendre l'attitude qu'il faisait semblant d'avoir toutes ces années.

Je repose ma tête contre le sol, laissent l'énergie de la terre traversé mon corps. Tristesse et joie ce batte a l'intérieur de moi. Je ne veux pas le voir partir, mais ça serait égoïste de ma part de vouloir le gardait.

Ce combat prie fin, quand une lumière blanchâtre fend le ciel. l'orage gronde au loin, sont coeur bondit dans a poitrine, avent de s'arrêté. Je peux presque entendre son dernier souffle glissé sur ses lèvres.

Le vent souffle de plus en plus fort, pendant que son corps ce fige. La pression qu'il exerçait sur mes doigts ce relâche comme l'onde de choque d'une explosion. L'atmosphère devient plus légère, alors que la lourdeur du vent s'intensifie.

Mon rythme cardiaque s'accélère, tendis que les larmes montes jusqu'a mes yeux, les inondant. Je serre mon bars contre sa poitrine, comme pour retenir les dernier éclats de son âme qui n'aurait pas réussit a partir.

Le coup de tonner l'avait appelait, et il l'avait suivit. Ne Laissent derrière que mon coeur brisé, et une joie éphémère.

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