Blood Fragments

Από senshi533

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Alma Joriz, voilà la personne que j'étais, lorsque mes seules préoccupations étaient de trouver un taxi après... Περισσότερα

Prologue
Chapitre 1 : Je m'appelle Clarissa.
Chapitre 2 : Le numéro n'est plus attribué...
Chapitre 3 : La face cachée.
Chapitre 4 : Un bruit sourd.
Chapitre 5 : Une soirée sans les invités principaux ?
Chapitre 6 : La douche froide.
Chapitre 7 : Vengeance !
Chapitre 8 : Une cible.
Chapitre 9 : Anniversaire !
Chaptitre 11 : La constellation de la flèche ->
Chapitre 12 : Le calme avant la tempête...
Chapitre 13 : Une sombre organisation.
Chapitre 14 : L'envers du décor...
Chapitre 15 : Fuir ou mourir ?
Chapitre 16 : Une fugitive malgré moi.
Chapitre 17 : Une cohabitation forcée.
Chapitre 18 : Fuir la réalité.
Chapitre 19 : Menotté.
Chapitre 20 : Prise au piège.
Chapitre 21 : Risque ou vérité ?
Chapitre 22 : Un fragment du passé.
Chapitre 23 : Dos à la cible.
Chapitre 24 : L'insertion d'Alec.
Chapitre 25 : Goutte de sang.
Chapitre 26 : Un pied entre chaque monde.
Chapitre 27 : Décollage imminent.
Chapitre 28 : Affreuse réalité.
Chapitre 29 : Le silence.
Chapitre 30 : Folie malsaine...

Chapitre 10 : Une flèche déviante.

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Από senshi533

Suis-je en train de rêver ?
Ce qui expliquerait que la silhouette d'Alec est juste en face de moi.

Les trois hommes se rétractent automatiquement en l'apercevant, quelque peu chamboulés et désorientés.

Encore sous le choc, l'adrénaline coule toujours dans mes veines. Je leur tourne le dos, y compris à Alec comme si rien ne venait de se produire.

C'est une manière pour mon cerveau de minimiser les événements et les conséquences qui auraient pu se produire.

- Je n'ai pas le droit à un merci ? M'interpelle ce dernier, j'arrête le pas et jette un regard à travers mon épaule puis déclare.

- Je m'en tirais très bien toute seule !
Ce qui est complètement faux.
Arrête de mentir.

Et puis comment se fait t-il qu'il soit arrivé pile au bon moment j'en suis sûr qu'il était en train de me suivre.
Le pressentiment que j'avais eu était complètement fondé !

- Ils étaient trois hommes défoncés face à une chèvre sans défense permet moi d'en douter.

Je ne le remercie pas à voix haute, mais intérieurement, un vent de soulagement s'extirpe de mon corps.

- Je te l'ai dit que c'était dangereux pour une femme de marcher seule le soir, ça te servira de leçon. Commente Alec d'un ton accusateur.
Crétin.

- Tu veux bien me raccompagner jusqu'à chez-moi ? Demandé-je en avalant difficilement ma salive, espérant qu'il acceptera.

- Si ça peut t'éviter de te faire buter jusqu'à demain.

Après quelques minutes de marche nous arrivons devant chez moi, quand une idée me frappe à l'instant dans mon esprit.

Ça pourrait bien animer le reste de la soirée...
Et ça sera pour moi une façon de le remercier, de m'avoir évité le pire.

C'est le moment de lui faire part de ma proposition, j'espère qu'il ne va pas m'envoyer balader.

Je tourne lentement sur mes deux jambes et l'observe les lèvres pincées.

- Est-ce que tu as un truc à faire maintenant ou après ?

Ses sourcils se froncent et ses yeux se plissent en analysant mon visage à la recherche d'une quelconque réponse.

Je serre mes dents en avalant difficilement ma salive. Son regard a le don de me déstabiliser. Je reste la plus notre possible, du moins. J'essaye...

- Rien de bien urgent, répond-il.
- Parfait monte avec moi.

Il me dévisage en ne laissant aucune émotion paraître sur son visage, un court instant avant de m'emboîter le pas.

Ce qui nous fait un point commun, deux personnes qui savent bien maîtriser et caché leurs émotions ne sont pas vouer à s'entendre ni se faire confiance.

Je l'invite à rentrer, il trouve de lui-même le canapé où s'asseoir, je ne lui propose pas à boire on n'est pas ici pour enfiler des perles.
Dis comme ça, ça pourrait porter la confusion...

Je cours vers ma chambre pour m'accaparer de mon arc et de mes flèches sans oublier les clés de voitures.

En revenant au salon, je le vois me lancer un regard des plus hostiles tout en dévisageant ce que je tiens entre mes mains.

Son regard d'acier a le don de m'enlever toute ambition en un fragment, tout à coup je ne suis plus autant sur du moi.

Je lui avais dit que je faisais tu tir à l'arc.
Il ne devait sûrement pas me prendre au sérieux, je me redresse et ne me laisse pas déstabiliser.

- Tu m'expliques pourquoi j'ai l'impression que ça va mal finir ? Déclare-t-il en me toisant, l'air suspicieux.

- Ton stand de tir est ouvert ?
- Ouai.
- Parfait, lâché-je en lui lançant mes clés de voiture vu que je n'ai pas le permis.

Je ne suis pas autorisé à la conduire et je n'ai pas vraiment envie de me manger une amende il s'en chargera.

- Tu conduiras.

Pendant que nous sommes sur le trajet, je suis adossé contre le siège passager la tête qui repose contre la fenêtre.

C'est plutôt étrange de le voir conduire ma voiture sans crêpages de chignons, pendant que mon regard est plongé sur son profil.

Je repense à son intervention miraculeuse quand je m'étais retrouvé encerclé quelques minutes plus tôt.

Il a surgi de nulle part comme par magie, au bon endroit au bon moment ?
J'en doute fort.

C'est un trop bon timing pour que cela soit un simple hasard.

J'ai envie de lui poser la question qui démange les lèvres, ou plutôt l'affirmation.                                                                  

- Je rêve où tout t'a l'heure quand tu as intervenu pour voler à mon secours t'elle un chevalier moins chère, tu étais en train de me suivre ?

En apercevant le rictus sur la commissure de ses lèvres, je n'ai même pas besoin qu'il prend la parole.
J'ai déjà mas réponse.

- Je t'ai vue partir à pied, et puis c'était sur mon chemin. Je ne voulais pas me sentir coupable si demain, je voyais aux infos, qu'une jeune femme atteint de troubles mentaux s'est faite assassiner.

Troubles mentaux ? J'hallucine.

- Merci... D'être arrivé à temps, murmuré-je dans un faible murmure.

- À votre service diablesse, je ne sais pas pourquoi ce surnom me provoque des picotements au creux de mon échine.

S'il serait intervenu quelques minutes plus tard ça aurait pu se terminer d'une tout autre manière.

Ses hommes étaient complètement défoncé.
Ils auraient pu me faire n'importe quoi, me violer, me tuer, ou bien m'enfermer quelque part.

Et ce cauchemar, si longtemps effacé de mes pensées aurait pu avoir un épisode deux.

Il y a eu plusieurs cas recensés de femmes qui se sont fait agresser.

Le cas qui m'avait le plus marqué, était une femme qui s'était fait violer dans un métro sous les yeux des autres passagers.

Pas un seul n'as eu là l'intelligence de se lever pour lui porter secours, je ne comprends pas comment en tant qu'être humain normalement constitué.

Comment nous pouvons rester impassibles devant des crimes aussi grave ?

Ça aurait pu être leur sœur ou bien leur mère, l'être humain dans toute sa splendeur.

- Tu comptes toujours aller donner ton sang ? M'interroge Alec en me coupant dans mes pensées.

Comment il sait que j'avais pris un rendez-vous ? J'ai sûrement dû le mentionné à moment donné.

Le rendez-vous est dans 2 jours, il faut que je le rappelle à Rebeka et Simon avant qu'ils n'oublient.

- Oui pourquoi ?
- Tu n'as pas peur des aiguilles ? Des qu'il a prononcé le mot aiguille.
Mes pensées se dirigent automatiquement vers Simon lui et sa phobie chronique des aiguilles.

- Non mais mon ami Simon à n'a pas une peur chronique.

J'aperçois les jointures de ses mains blanchisse sur le volant, avec un regard des plus assombri.

Une certaine aura d'hostilité émane de ce mec, comme s'il n'était pas satisfait de ma réponse.

- Avec ce simple geste, ça va me permettre de sauver plusieurs vies ! Lui rappelé-je.

Il s'apprêtait à me dire quelque chose, quand il se tue.
Nous arrivons au stand de tir, je me dirige vers le coffre et m'accapare de mon arc.

- T'as déjà fait du tir à l'arc ?

- J'ai déjà vu Hunger Game.
Bon, c'est mieux que rien.

- Tout d'abord, tu vas me regarder faire comme ça t'aura un point de vue de ce que j'attends ok ?

- Je ne demande qu'à voir, dit-il en croisant ses bras je trouve qu'il me sous-estime un peu trop à mon goût, l'envie de lui clouer le bec me prend aux  tripes.

Je me mets en position, et lui demande d'activé le mode mouvement, pour rajouter un peu de piment et de difficulté.

Sinon ce serait beaucoup trop facile, les cibles se mettent à bouger dans tous les sens.

Voilà qui est mieux.

Je me prépare psychologiquement et me concentre pour avoir toutes mes cibles dans le mille.

Il ne faut pas que je me rate sinon je risque de perdre toute ma crédibilité.

Je commence par me placer de manière à ce que mon arc m'arrive au niveau de mon menton. En le penchant du légèrement sur le côté droit pour avoir une bonne trajectoire de tir.

Une fois la flèche placée, je mets une pression sur la corde, et la lâche.

Ma première flèche se plante pile en plein cœur, bon ses cibles ne sont pas vraiment fait pour le tir à l'arc.

Mais ça fera amplement l'affaire.

Je sens son regard me jauger et m'analysé sous tous les angles, j'essaie de ne pas y prêter attention pour éviter de me déconcentrer, je dois rester méticuleuse dans mes tirs.

Satisfaite d'avoir eu toutes mes cibles, je jette un coup d'œil à travers mon épaule pour voir ce qu'il a pensé de ma prestation.

- Mouai c'est pas dégueu, d'un air désinvolte toujours les bras croisés, comme si sa prestation allait être meilleure que la mienne.

- Aller à ton tour, déclaré-je en lui plaquant mon arc contre son torse.

Il ne dit rien et saisit l'arc entre ses mains sans même m'adresser un regard.
Je vois qu'il a l'air confiant.
Trop confiant.

J'ai hâte de voir ça, voyons comment il va se débrouiller.

- Ça va être un jeu d'enfant, dit-il en haussant les sourcils.  Bien trop sûr de lui à mon goût.

Il commence part se positionner, dès la première seconde. Je remarque qu'il ne tient même pas l'arc dans le bon sens, lui qui stipulait que ça allait être un jeu d'enfants laissez-moi rire.

Ça commence bien.

- Tu le tiens à l'envers, m'exclamé-je en levant les yeux au ciel.

- Je sais, je l'ai fait exprès pour voir si tu allais me faire la réflexion, gronde-t-il.
Mais bien sûr.

Il lance une première flèche, si loin que je ne la vois même plus.

Il n'a même pas frôlé la cible de quelques centimètres et dire qu'il y a, à peine deux minutes, il était encore tout confiant en pansant avoir la victoire dans sa poche.

Ne jamais crier victoire trop vite.

Je m'approche de lui me penchant assez près pour lui murmurer.
- Un jeu d'enfant, c'était ça ? Lui soufflé-je.

- Je n'ai pas eu la chance du débutant, rétorque Alec en pivotant face à moi tout en plaçant subtilement ses mains sur mes hanches me provoquant un délicieux frisson empoisonné.

Je saisis ses mains pour les replacer sur l'arc, son tir était vraiment nul à chier.

Un petit coup de main ne lui ferra pas de mal histoire d'améliorer son niveau.

- Je vais te guider, déclaré-je.
- Avance-toi, et tire légèrement sur la corde, garde que ton œil droit ouvert, en prenant soin de placer mes mains sur les siennes pour lui faciliter la tâche.

De manière à ce qu'il puisse avoir un bon angle de tir.

- Fais attention à toi Joriz, je pourrais prendre goût à te voir dans le rôle de profs, dit-il en desserrant sa prise sur la corde.

- Concentre-toi ! Grondé-je pour calmer ses ardeurs, la concentration est un élément essentiel s'il souhaite avoir la cible dans le mille.

- Comment veux-tu que je me concentre, alors que ma deuxième flèche est prête à tirer.

Je me fige instantanément, il me faut moins d'une seconde pour comprendre son allusion.
Est-ce que ça fait de moi une personne avec l'esprit mal placé ou tordu ?

Quoi qu'il en soit, il sait pertinemment que se genre de remarque obscène me mets terriblement, mal à l'aise et cette enflure en joue.

J'avale difficilement ma salive et essaye de toutes mes forces de rester là plus neutre, et concentrer possible sur la cible qui est droit devant nous.

- Avance ta corde jusqu'à ce qu'elle frôle le coin de ta bouche.

- Trois.
- Deux.
- Un.
- Lâches !

La flèche se plante en plein centre de la cible, je sautille de joie en applaudissent, on va dire que j'excelle en matière de professeur...

Qui sait, peut-être que c'est ma future vocation professeur de tir à l'arc ?

- Mais c'est que l'élève va bientôt dépasser le maître !

- J'ai connu mieux en matière de professeur, ajoute-t-il en me lançant une œillade remplie d'arrogance.

Sa mâchoire parfaitement dessinée suivie de ses quelques mèches rebelles qui retombe sur son front.

Des larges épaules une musculation parfaite sans que cela en face trop, ses tatouages qui parcourent son bras jusqu'à ses phalanges.

Reprends-toi Alma !

Il se rapproche lentement de moi en réduisant la courte distance qui nous séparait.

J'ai l'impression que chaque pas, qu'il effectue me rapproche un peu plus de la mort.

Tout mon corps se met en mode alerte et ne cille pas d'un millimètre, ma poitrine se comprimé l'air qui m'entoure devient brûlant.

- Tu sais, moi aussi je peux être un très bon prof, murmure-t-il à l'arrière de mon oreille.
- Plutôt être en échec scolaire que suivre tes cours, rétorqué-je.

Il m'arrache un hoquet de surprise, en sentant son pouce frôlé la fine peau à l'arrière de ma nuque, qui parcourt mon cou avec une lenteur monstrueuse jusqu'à mon oreille, ce qui me met dans tous mes états.

Une sorte de peur et d'appréhension, mélangée à l'excitation, me liquéfie le sang.
Peur.
Arrêt cardiaque.
Respiration en attente.
Une mort imminente.

Je me sens tellement faible, et vulnérable à ce moment précis que ça en est effrayant.

Pourquoi je le laisse faire putain ?
Où est passé mon courage et ma ténacité à faire face à chaque épreuve de la vie ?

Mon cœur bas si fort et si vite que j'ai l'impression qu'il peut bondir de ma poitrine à n'importe quels moments.

- Je ne te dérange pas ? Murmurée-je déboussoler en revenant sur terre.

Je sens le souffle de son sourire percuter mon cou, éveillant chaque terminaison nerveuse de ma peau, des milliers d'épines délicieuse papillonnent dans mon bas du ventre, et entre mes cuisses.

Je devrais le repousser !
Je dois le repousser !
Je vais le repousser !

- Et bien, je vois que j'arrive au bon moment !
S'exclame une voix théâtrale qui me fait sursauter.

En me retournant vers l'individu en question, son visage mes familiers j'ai son nom sur le bout de la langue.

- Alec, mon cher Alec, je ne te dérange pas j'espère, j'ai essayé de t'appeler, plusieurs fois ?

Mais oui !

C'est l'homme qui avait fait un discours pour valoriser l'importance des dons de sang et d'organes.

C'était avec lui que j'avais fixé mon rendez-vous, mais qu'est-ce qu'il fait là ?

- J'étais occupé ! Gronde Alec d'un ton sec avec une mâchoire des plus contracté.

Je remarque que ses points sont serrés due, aux veines ravivées qui parcourent son avant-bras.
Je ne savais pas qu'ils se connaissaient, je ne dirais pas vraiment qu'ils sont amies.

Car dans le regard d'Alec, je remarque de l'hostilité et qu'il est hérité rien que part sa présence. 

- Je vois ça oui, tu peux venir, j'ai à te parler.

Il a l'air plus hostile et autoritaire que la dernière fois à la soirée, c'est limite si ce sont deux personnes différentes.

- Je reviens attend moi ici ! M'ordonne Alec d'un ton ferme, qu'est-ce qui se passe là ?
Je hoche la tête en guise de réponse.

Ça fait dix minutes que je suis assise sur une chaise à l'attendre.
Quand finalement je vois Alec revenir, mais seule, ce qui signifie que l'homme à du sûrement parti.

- Il te voulait quoi ?
- Rien c'était pour parler boulot, je vois qu'il ne veut pas vraiment développer.

Boulot ? Ils travaillent ensembles ?

J'ai envie d'insister mais, je n'ai pas envie de paraître trop intrusive.

- On va boire un verre ? Me propose-t-il comme s'il voulait quitter l'endroit au plus vite.
- Mais tout doit être fermé, il est une heure trente du matin !

- Je connais un café qui est ouvert 24h/24h, me dit-il en balayant du regard autour de nous, comme s'il vérifiait qu'il n'y a personne aux alentours de nous.

On quitte le stand de tir pour regagner la voiture, je vois qu'il me devance pour m'ouvrir la porte tient, c'est nouveau ça.

- Après vous madame, mais au moment où je m'apprêtais à monter, il la ferma aussitôt, c'était trop beau pour être vrai.

- Et puis quoi encore, grince-t-il accompagné d'un rictus malicieux.

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