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By bsvieta

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Mafia norvégienne.... Mafia russe.... Ces mafias qui étaient l'origine même du grand réseau d'échange de drog... More

PROLOGUE
INTRODUCTION
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
PETIT PIMENT !!! 🌶️
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31

Chapitre 4

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By bsvieta


Contente de vous retrouver !!

Surtout commentez !! J'ai vraiment besoin de vos avis.

Pour information, ceux qui ne le savent pas... L'adjectif qualificatif étasunien(ne) existe. Il peut aussi s'écrire états-unien(ne). Je l'ai découvert sur google et ça m'avait moi aussi choquée. Je l'avais utilisé dans le chapitre précédent. C'est juste pour me rassurer que vous avez compris.

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Bonne lecture 💋 !!!


~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Washington_manoir de la mafia.


PDV Nia


--..... Et tu sais, ce qui est le plus marrant ? ; racontait Chetan.

--Euh...Le fait que tu te crois drôle ? répondit Morgan.

--Non! C'est...

--Ta gueule, Chetan; Jeremy coupa Chetan en roulant des yeux.

--Merci Jeremy. dis-je en ayant marre des blagues de Chetan. On en avait grand bes...

--Ta gueule aussi; m'interrompit Jeremy

Je levai les yeux au ciel pendant que Shin, Morgan et Chetan éclataient de rire. Mais en vrai... Tout le monde déteste les blagues de Chetan. À part peut-être Shin. Mais je crois qu'elle fait plus semblant par politesse qu'autre chose.

Nous étions au bar du manoir, en train d'attendre les boissons que nous avions commandées. Si j'en crois l'horloge de la salle, il est 18 heures 12 minutes.

Dans exactement 18 minutes, débutera la réunion. La salle de réception était bondée. Des visages masqués par ci, des visages masqués par là. Beaucoup de mafieux étaient venus pour fêter la....

--Vos boissons; annonça le barman en déposant un plateau contenant 5 verres de boissons différentes devant nous.

... Signature du contrat entre les russes et norvégiens.

Je pris mon verre de soda et le portai à mes lèvres.

Étaient-ils tous si content de voir la mafia norvégienne et la mafia russe s'associer ? Même si ce n'était que temporaire ?

Leur présence serait étonnante si non.

J'avalai une petite gorgée de ma boisson fraîche.

Lorsque je laissai mes pensées prendre le dessus.

Non.

Je n'aime pas cette sensation...

J'ai un mauvais pressentiment au vu de tout cela. Mais je ne sais pas pourquoi. Ce n'est qu'un petit contrat qui ne va rien changer à nos vies... À ma vie...

N'est-ce pas ?

Ma main retira le verre du bout de mes lèvres. Et sans trop contrôler mon mouvent, je tournai les talons. Verre à la main, j'étais en train de me diriger vers la porte principale du manoir.

Aucun de mes amis ne me suivit, sachant pertinemment où j'allais... Mon endroit préféré du manoir. Ils savaient aussi tous, que j'aime quand j'y suis seule.

Et heureusement pour moi, aucun mafieux n'appréciait cet endroit autant que moi.

Une fois sortie du manoir, la vue sur le grand jardin s'offrait à moi.

~Le son du vent qui passait sur mes branches des arbres.
~La mélodie qu'effectuait le petit lac au dessus du quel se dressait un joli pont.
~Le bruit des herbes lorsque ma chaussure à talon haut les effleurant.
~Le vent qui frappe le visage à plein fouet.
~L'air frais que mes narines exigeaient.
~L'effluve résineuse qui chatouillait mes narines.


Je fermai les paupières pour laisser tout ça m'emporter.

Que j'aime cet endroit !

Je me laissais guider par mes jambes qui n'avaient pas besoin que mes yeux soient ouverts. Cet endroit, je le connais par cœur.

Le jardin était le seul endroit qui m'apportait détente et plaisir. Le seul endroit qui me consolait quand j'étais petite et que je disais avoir marre de ce monde de la mafia.

Le jardin était le seul endroit qui acceptait mes soupirs, mes larmes, mes excès de colère, mes troubles, mes angoisses, mes doutes, mes incompréhensions...

Je continuai à marcher, les yeux fermés jusqu'à m'arrêter sur le pont. J'ouvris mes paupières délicatement et et observai le cours d'eau qui reflétait le clair de lune.

Je finis ensuite la boisson de mon verre et lâchai un soupir de réconfort. Mon appareil respiratoire fit son travail et j'inspirai. Mais...

Ce n'était plus un air si frais.

Ça sentait la...cigarette?

Je tournai sur moi-même en cherchant ce qui pouvait bien troubler mon calme. Et ça ne pris pas beaucoup de temps avant que j'eus trouvé.

Sur un banc en face d'un arbre, était assis un gars qui rejetait la fumée dans l'air. Il avait les jambes écartées, son coude gauche se tenait sur le dossier du banc et on voyait dans sa main droite, une cigarette. J'arrivai à voir qu'il avait les cheveux assez sombres, presque noirs, qui tombaient jusqu'à quelques centimètres au dessus de sa clavicule. Il portait un costume bleu nuit, un nœud papillon rouge était attaché autour de son cou.

Son masque me disait vaguement quelque chose. Sous son masque rouge, accordé avec son nœud papillon, je voyais que son regard était perdu dans le vide.

Son visage masqué m'était agréable à observer...

Enfin bref... La fumée qu'il dégageait me perturbait. Et j'ai l'habitude de rester seule au jardin. Donc, je le prierais de quitter les lieux.

En même temps, le jardin n'est pas ma propriété mais s'il me dérange, je crois que je devrais le lui dire...

Je quittai le pont et me dirigeai vers l'homme assis sur le banc:

--Monsieur ? ;lui dis-je.

Et là, je sentis qu'en deçà de l'odeur de la cigarette, se baladait une fragrance printanière et pénétrante que j'aimais bien.

Son regard quitta l'endroit qu'il fixait depuis tout à l'heure pour rencontrer nonchalamment le mien.

--L'odeur me dérange. continuais-je brièvement.

Il se leva de son banc en maintenant notre contact visuel. La différence de taille se remarquait très vite à présent. La largeur de son corps m'effrayait...presque. J'avalais ma salive en essayant de ne pas rompre le contact visuel qui durait déjà depuis environ dix secondes. L'homme écrasa ensuite le reste de la cigarette contre l'arbre derrière lui, sans se retourner. Et je vis le mégot tomber par terre.

--Ta présence me dérange. finit-il par prononcer.

Sa voix était si grave que je sentais mes organes trembler à l'intérieur de mon corps. Elle était sépulcrale, elle était gutturale. Il n'avait pas détourner son regard glacial de mes pupilles.

Je ne répondis rien. Je ne savais pas quoi répondre. Mais en aucun cas je ne devrais montrer des signes qui pourraient lui faire croire qu'il m'intimidait.

Non.

Il ne m'intimidait pas.

J'ouvris la bouche pour parler en gardant mon regard levé vers ses yeux... Mais il me coupa avant même que je ne prononce un mot.

--Je te dis que ta présence me dérange et tu oses quand-même vouloir répondre ? Pas malin, ça ; dit-il en sortant un couteau de la poche de son pantalon, qu'il porta en suite sur ma gorge.

Mais je ne bougeai pas. Je ne devais pas bouger. Il allait croire qu'il me faisait peur. Sa voix et son visage étaient comme les premiers flocons de neige en décembre.

Froids.

--Je crois que je vais devoir te faire disparaître tout seul. ajouta t-il.

Je sentis qu'il augmentait de plus en plus sa force sur le couteau. La lame aussi glaciale que lui entailla ensuite mon cou.

Il n'allait pas me tuer, je le savais.

Puis, les premières gouttes de sang ruisselaient sur ma peau. Mon regard était toujours ancré dans le sien.

Non, il ne me tuera pas.

Là, des pas se firent entendre. Monsieur arrêta d'exercer la force sur son arme et le retira de mon cou.

C'est bien ce que je pensais.

En revanche, j'etais blessée.

Gardant le contact visuel, personne n'osait cligner des yeux. Avec délicatesse, je portai le bout de mon index à la blessure fraîche. Mon doigt se fit vite mouillé par mon sang. Je levai la main à ma bouche et suçai mon sang.

Je voulais qu'il ait l'image de moi que les autres (sauf mes amis) ont... Nia de la mafia norvégienne.

Il me regarda sans dire un seul mot.

--Niaaa ??? entendis-je la voix de Morgan.

Cette dernière apparut très vite dans mon champ de vision et je vis son regard se porter sur moi, puis sur le gars qui se tenait devant moi.

--Oh... Euhm... Bonsoir ? ;dit-elle en s'adressant à l'homme sans lui laisser le temps de répondre.

En même temps... Ça m'étonnerait qu'il voudrait répondre.

--Nia, ça commence bientôt. Il faut qu'on... elle remarqua ensuite la blessure sur mon cou... Oh mon Dieu ! Comment tu t'es fait ça ?!!

--Une branche... Une branche d'un buisson dans le quel je suis tombée ;mentais-je.

Morgan dirigea ensuite ses yeux sur les mains du mec en face de moi. Et je fis de même.

Il n'y avait plus le couteau.

Quand l'avait-il ranger ?

--Ouais... J'espère ; dit-elle en lançant un regard méfiant au mec qui l'ignorait totalement.

Morgan pris ma main et me tira vers elle. Je déconnectai mon regard du type qui ne l'avait toujours pas lâché. Tenant ma main, elle nous fit quitter le jardin pour entrer dans le manoir.

--Tu dois nettoyer ça ; me dit-elle en pointant ma blessure.

--Vraiment ? Sans toi, je l'aurais oublié ; dis-je sarcastiquement et elle leva les yeux au ciel.

--Allez viens.; dit-elle en me tirant vers le couloir qui menait aux toilettes.

Je me défit brutalement de son emprise. Je ne voulais pas qu'elle m'aide à nettoyer ma blessure. Je n'aimais pas quand quelqu'un nettoyais mes blessures. Ça me rappelait le toucher de ma mère.

--Je le ferais seule. dis-je. Je connais le chemin vers les toilettes. Merci. Tu peux me laisser maintenant.

Elle me regarda, pas vraiment étonnée de ma réaction. Morgan savait la raison pour laquelle je ne voulais pas qu'elle vienne avec moi.

--Comme tu veux... dit-elle avant de partir vers la salle de réception.

Une fois seule, je lâchai un soupir. Je sentais que ma blessure commençait à faire de plus en plus mal.

Je commançai à longer le couloir. Les toilettes des filles étaient la porte à droite. J'arrivai devant la porte des toilettes et la vis s'ouvrir.

Avery en sortit ensuite. Elle me lança un regard noir, puis ses yeux tombèrent sur mon cou. Je vis une grimace se former sur son visage avant qu'elle détourne le regard en s'en allant.

Je pénétrais à mon tour dans les toilettes. Je ne voyais personne. Je fermer la porte tout doucement. J'allai me placer devant le grand miroir. Le silence qui régnait dans la pièce m'obligeait à faire des pas silencieux. Tellement que moi même je ne les entendais pas.

Mon reflet me fit grimacer.

Comment ai-je pu croire que cette robe m'allait ?

J'étais vraiment pas belle et encore moins dans cette robe que mon sang avait légèrement taché.

J'ouvris un tiroir et vis des mouchoirs et des serviettes hygiéniques. J'ouvris un autre et vis la trousse de premiers soins. C'est ce que je cherchai.

Je commençai à nettoyer ma blessure délicatement. À chaque contact du coton imbibé d'alcool avec ma peau, je manquais de lâcher un gémissement de douleur. La blessure n'était pas profonde. C'était une petite entaille.

Mais putain, que ça faisait mal.

Je terminai enfin de nettoyer ma blessure et mis un petit bandage sur celle-ci.

Lorsque mes doigts se posèrent sur le robinet que je voulais ouvrir pour laver mes mains, j'entendis une voix qui me fit arrêter mes mouvements:

--Purée !!

La voix était tremblante, masculine et pas assez mature. Comme si c'était un petit garçon qui s'efforçait à ne pas pleurer. Cette voix provenait d'une des cabines.

Je me dirigeai vers cette cabine en faisant l'effort de ne faire aucun bruit avec mes talons hauts. J'arrivai devant la cabine et lâchai dans un murmure:

--Il y a quelqu'un ?

Un hoquet se fit entendre. Sûrement, ce petit garçon croyait qu'il n'y avait personne.

--Je sais qu'il y a quelqu'un. Je peux entrer ? demandais-je

Il ne répondit pas pendant quelques secondes. Comme s'il réfléchissait.

--Non, je vais bien. dit-il finalement mais le tremblement de sa voix le trahissait.

--Bon, alors j'entre. Je ne te pose même plus la question.

Sur ce, je poussai la poignée de porte et entrai.

Le garçon passa rapidement la main sur ces yeux comme pour essuyer des larmes qui allaient bientôt couler. Il leva le regard vers moi. Il avait l'air d'avoir environ 13 ans. Ses pupilles brillantes me fixaient.

--Ces toilettes sont réservées aux filles, petit. dis-je.

--Je sais. Et je ne suis pas petit ! dit-il presque en colère.

--Oh... Désolée monsieur. dis-je en retenant un petit rire moqueur. Pourquoi tu es ici alors ?

Il baissa le regard vers le sol avant de dire:

--Si j'allais dans les toilettes des garçons, ils allaient se moquer de moi. Et dire que je suis... faible... et petit.

Je le regardais sans trop savoir quoi répondre.

--Tu n'es pas petit. J'ai fait une erreur. Et eux aussi. Et pour montrer que tu n'es pas faible non plus, tu vas retenir tes larmes, ravaler ta fierté et sortir de ses toilettes la tête haute.

Il leva le regard vers moi et le rabaissa vers ses pieds.

--J'ai dit <<la tête haute>> ! Eh... Regarde moi.; lui demandais-je et il me regarda. Peu importe la raison pour laquelle tu ne te sens pas bien actuellement, tu peux traverser ça. OK ?

Il hocha la tête et je lui demandai avec un sourire:

--C'est quoi, ton nom de "Grand" mafieux ?

Il me sourit et répondit:

--Demyan... Et toi ?

--Nia, allez la réunion commence dans moins d'une minute. On y va ?

Il hocha la tête. Et nous sortîmes de la cabine. Dès qu'on franchit la porte des toilettes il me dit:

--Je ne sais pas si je te l'ai dit mais tu es vraiment très belle dans cette robe.

Venant d'un petit... Bon, d'un grand garçon, ça m'a réchauffé le cœur. Même si je ne suis pas d'accord avec lui.

--Oh... Merci.

--De rien. Peut-être même que je commence à tomber amoureux.

--Pardon ???!

Ce n'est pas lui qui pleurait tout à l'heure? Quel changement d'humeur !

Demyan me fit un clin d'œil et me dit avant de partir:

--Adiós niña hermosa!!

(Au revoir, belle fille !!)

Ce garçon m'étonne. Il est espagnol ?

Je ne pense pas, non. En tout cas, il n'avait pas l'accent.

Je le voyais courir une direction d'une table avec d'autres garçons qui semblaient avoir le même âge que Demyan. Ils étaient sûrement ses potes.

--Nia ! ; entendis-je la voix de Shin et je me tournai en sa direction, elle venait vers moi. T'en as mis du temps. Allez, viens. Ils vont sûrement bientôt t'appeler toi et ton père.

--Oui, allons-y.

Elle et moi allions ensuite vers la table où se trouvaient Jeremy, Chetan et Morgan. Shin avait remarqué la bande sur mon cou mais n'avait rien dit. Je suppose que Morgan leur avait raconté ce qu'elle avait vu.

Shin et moi accélérions nos pas quand nous entendîmes le brouhaha de la salle se calmer, annonçant le début de la réunion.

À peine arrivées au niveau de la table, je vis Sebastian se diriger vers moi.

--Nia, Kristian veut que tu te rapproche de lui. Vlad, son fils, lui et toi allez bientôt prendre la parole. me dit-il.

En vrai... Je n'allais pas parler, biensur. Tant que je ne suis pas chef de la mafia, mon rôle sera de me placer aux côtés de mon père et de sourire.

--D'accord; répondis-je en laissant mes amis pour m'avancer vers la table où mon père et d'autres chefs se trouvaient.

<<Vlad, son fils>> ; avait dit Sebastian.

Donc, il était venu, hein... Je sais que je l'ai vu deux ou trois lors des plus grands événements de la mafia. Mais... Je ne me souviens plus de son visage.

Sebastian m'accompagnait et on arriva vers la table.

--Suis moi; ordonne mon père sans même lever le regard vers moi.

Sebastian nous laissa. Mon père commencer à se diriger vers le centre de la pièce, où personne n'osait se placer si ce n'est pour annoncer un truc aux mafieux.

Le silence pris place dans la salle. Je marchais derrière mon père gracieusement, en regardant les têtes masquées qui me fixaient. Je vis ensuite Vlad, lui aussi se diriger vers le centre. Il lançait un regard tueur et tous ceux qui le regardaient.... Y compris moi.

Son regard me fit froid dans le dos.

Où est donc son fils ?

Je vis beaucoup de gens se reculer pour tracer un chemin, comme si le président de la république allait passer.

Vlad était déjà arriver à notre niveau. L'écho des pas de quelqu'un se fit entendre. Je vis Vlad esquisser un sourire.

Sur l'allée que les gens avaient formée en reculant, je vis une silhouette apparaître. Quelques personnes autour de moi avalaient difficilement leur salive. Au fur et à mesure, je voyais la personne qui se dirigeait vers nous...

Le mec du jardin...

Je comprends maintenant pourquoi son masque me disait vaguement quelque chose.

Quelques instants plus tard, il arriva à notre niveau. Son regard se plaça sur mon visage. Et je lus l'incompréhension dans ses yeux. Son regard incompréhensif se transforma vite en regard noir.

--Votre attention, s'il vous plaît. dit Vlad.

Mais... Toute l'attention est déjà sur nous. Qu'est-ce qu'il veut de plus ?

--Bien. Bonsoir à tous. Vous connaissez la raison pour laquelle nous nous trouvons ici devant vous. commença mon père. Nous invitons ici Karl de la mafia étasunienne comme principal témoin et célébrant de l'accord.

Karl quitta la foule et s'avança vers nous.

--Bonjour à vous; dit-il en regardant les autres mafieux avant de se tourner vers nous. Vlad, Kristian, Nia, Anton, mes salutations.

Ah donc, le nom de ce gars était Anton...

Anton de la mafia russe.

Je souris à Karl comme réponse alors que mon père fit un rapide signe de tête.

--Mouais, ne perdons pas de temps ; grogna Vlad.

Le gars...enfin... Anton...avait un regard aussi froid que tout à l'heure. Personne n'osait nous interrompre. Il y avait juste quelques rares murmures de temps en temps.

--Bon... commença Karl. Nous sommes ici pour le premier accord entre les norvégiens et les russes depuis déjà beaucoup de décennies. Il s'agit là d'un accord qui s'étendra sur au moins trente-huit semaines, soit l'étendu d'une année scolaire pour ceux qui veulent mieux visualiser. Les norvégiens fourniront la marchandise et les russes trouveront les meilleurs clients.

Un autre homme masqué vint apporter une chemise de papier, Karl l'ouvrit et sortit une feuille de papier.

--Je vous présente là, le contrat. Kristian, Nia, Vlad et Anton devront signer. termina Karl.

Karl indiqua à mon père là où il devait signer, puis à Vlad, puis à Anton et maintenant, la feuille se trouvait devant moi.

Je pris le stylo des mains de Karl. Mon regard tomba sur les trois signatures, puis sur l'espace vide, que je suppose, devrait être l'endroit où je devais signer.

Je portai ma main sur cet espace-là et mes doigts bougèrent seuls.

°Nia de la mafia norvégienne.

J'avais signé.

Tous applaudissaient. On entendait même certains cris de joie.

Des chefs de mafia vinrent nous féliciter. Je fis entièrement le tour de la salle de réception, en recevant les félicitations et les ovations des autres mafieux, avec mon père et les deux russes.

Seuls les gens de 10 à 16 ans étaient de leur côté, s'en foutant un peu de nous.

Okay....

Ça y est.

--Le car est parti. chuchotais-je à moi même en désignant l'accord que je venait de signer comme un car.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Coucoouuuu!! 🙃

J'espère que vous allez bien.

Je suis épuisée alors que ce n'est que le début de l'histoire 😩.

N'oubliez pas de vous abonner et de liker svp !! Ça m'encouragerait bien😊.

📷: bsvieta.s_books

Bisoooouuuu 💋 !!

Svieta🦋

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