Tu es à moi

By yvodre

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Elle était juste un coup d'un soir , elle était juste venu pour l'aider à décompresser, mais il ne savait pas... More

Chapitre1
Chapitre 2
Chapitre3
Chapitre 4
Chapitre5
chapitre 6
chapitre 7
chapitre 8.
chapitre 9
chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 15
chapitre 16
chapitre 17
chapitre 19
chapitre 20
chapitre 21
chapitre 22
chapitre 23
chapitre 24
chapitre 25
chapitre 26
chapitre 27
chapitre 28
chapitre 29
chapitre 30
chapitre 31
chapitre 32
chapitre 33
chapitre 34
chapitre 35
chapitre 36
chapitre 37
chapitre 38
chapitre 39

chapitre 18

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By yvodre

Alexeï.

- pourquoi tu me réponds en ton dialecte bizarre ? A l'entente de la question de Drake je toute suite su que cet appel serait très long .

Ne voulant pas que ma discussion soit écoutée, je décidai de quitter le magasin afin de discuter plus librement.

Avant de traverser les portes en vitre de l'endroit je jetai un dernier coup d'œil derrière moi et vis Maëlys entrain de regarder les articles d'un air innocent.

Cet insouciance sur le visage lui donnait l'air d'une petite gamine toute mignonne . Je préférais voir ce semblant de naïveté sur son visage que cette grimace qu'elle arborait à Longueur de journée témoignant toutes les épreuves par lesquelles elle était déjà passée.


La petite clochette retentit lorsque je passai finalement le seuil du magasin , mon cellulaire collé à l'oreille .

- ne commence pas à jouer au guignol Drake sinon je te raccroches au nez. Le prévenis- je voyant déjà très bien ses intentions.

Il avait tendance à se laisser dominer par son âme d'enfant, il agissait tellement de façon immature que  parfois je venais à me demander comment lui et moi pouvions être collaborateurs.

Il avait toujours cette mine rieuse qui se cachait derrière sa peau caramel et ses blagues stupides qui n'étaient jamais bien loin . Il ne manquait pas une occasion de me faire mal à la tête et cela m'exasperais réellement.

Mais en dépit de ce côté agaçant de sa personnalité il était réellement le seul sur qui je pouvais compter. Nous n'avions certe  pas une vingtaine d'années d'amitié mais notre relation n'en restait pas moins solide .

Il était le seule qui n'avait pas peur de me dire ce qu'il pensait clairement et j'appréciais terriblement cette qualité chez lui . J'avais parfois besoin d'être remis sur les rails . De recevoir la vérité en pleine face aussi dure et douloureuse soit elle et il avait le savoir et la technique pour ça .

- pourquoi tu ne me suis jamais dans mon élan, ça me manque souvent d'avoir un pote avec qui  j'ai les même délires .

- je ne suis pas un attardé mental contrairement à toi et tu sais que si tu veux t'ouvrir à de nouvelles relations je ne te retiendrais pas . Lâchais je de bute en blanc .

Il savait que mes mots n'étaient  pas méchants et ne les prenait jamais à coeur, ce qui dimuniait de  cent pourcent les prises de tête . Il comprenait tout , je n'avais pas besoin de lui expliquer quoique ce soit et c'était l'essence même de notre rocambolesque relation.

- je ne suis pas un infidèle j'aimes les relations saines et malgré le faite que notre relation ne soit pas débordante d'amour je l'aimes et t'aimes comme ça .dit il le rire dans la voix.


Bien-sûr son sarcasme  ne pouvait pas nous excuser pour cette fois-ci.


- alors arrête de gindre et dis moi pourquoi m'as tu appelé ?

- ne fait pas celui qui a la mémoire d'une fourmi tu sais très bien pourquoi.

Bien-sûr que je connaissais la raison de cet appel. Il voilait savoir comment c'était passée la précédente nuit . Si j'avais su trouver les bon mots ou pas pour lui annoncer notre futur colocation. Il voulait connaître sa réaction si oui ou pas la soirée c'était finit en queue de poisson ou le cul en l'air .

Pire qu'une commère celui là !

- je t'ai déjà dit que cette histoire ne te concernais pas .

- je ne suis pas du même avis , c'est grâce à moi et à franc parlé qu'elle est tout à toi pendant deux semaines alors je crois mériter ... Que dis je même j'exiges des explications plus details à l'appui s'il te plaît.

Je soufflai suite à son insistance et pincai  le bout de mon nez pour ne pas flancher. Comment fais-je pour le supporter tout les jours ? Je me posais de plus en plus cette question.

- je lui ai dit .

- oui et ...

- elle était très surprise .

-oui et ....

- elle ne voulais pas rester .

- tu sais , si à chaque fois je dois  te demander la suite on finira  par exploser mon forfait, mets y un peu du tiens quand tu racontes tu ne me donnes même pas l'envie de connaître la suite .

- c'est justement ça le but , à quoi sa t'avancerais de connaître l'histoire dans son entièreté ?

Je ne sais pas pourquoi chaque minimètre de ma vie l'intéressais ainsi . Il aimait connaître mes moindre faits et gestes . Limite il connaissait le nombre de fois que je pissais dans la journée.

- à rien tu n'as pas tord mais je n'ai rien à faire alors je suis toute ouïe.

Je soufflai avant de me résigner, car buté comme il est il ne comptait pas lâché l'affaire de si tôt.

- quand je lui ai annoncé elle a toute suite pensé à une mauvaise blague mais je l'ai vite fait comprendre que ce n'était pas le cas , elle a voulu partir et retourner je ne sais où mais je l'ai bien stipulé qu'elle ne le pouvait pas du moins durant deux semaines, elle s'est mise en colère , la vulgarie de ces propos m'a tellement heurtée que j'ai du la faire taire a ma façon .

- hummm ... J'en connais un qui a dû prendre son pied , mais te connaissant tu ne lui as pas donné de quoi faire passé la pillule.

Il n'avait pas tord . J'avais apprécié chaque instant de cette nuit passée. La moiteur de sa peau , les courbes de son corps qui se dessinaient sous ma paume abrupte, la fraîcheur de sa peau blanche . La chaleur qui sévissait entre ses chaires m'avait fait perdre la tête , elle était si brûlante que j'avais cette impression de faire l'amour avec un volcan prêt à entrer en éruption. Car oui , hier je ne l'avais pas baisé mais je lui avais fait l'amour .

Je n'avais pas cherché à atténuer la chose non plus , je l'avais sortie comme elle se présentait. Je ne voyais pas tellement l'intérêt de tourner autour du pot pour une chose aussi simple . Plus vite je lui annoncerait plus vite elle se feras une idée .

Sa réaction m'avais quelque peu étonné, elle avait certe  été en colère mais n'avait pas crié une seule fois .

Généralement les femmes se plaisent à hausser le ton pensant que c'était la meilleure façon pour elle de se faire entendre  , alors que pas du tout .

Je détestais les crises , raison pour laquelle je ne supportais pas Rhéa. Elle en était la reine . Pour un oui ou pour un non madame criait et sa voix montait tellement dans les aigus que ça foutait la migraine.

- je n'en voyais pas l'intérêt. Dis je tout en haussant les épaules .

Je l'entendis souffler à l'autre bout du fil .

- je t'ai déjà dit qu'avec les femmes c'est beaucoup de tacte tu ne l'as pas compris avec la déesse grecque et maintenant tu fais pareil avec notre Dame de coeur.

- s'il te plaît ne mélange plus Rhéa et Maëlys dans la même phrase ça sonne tellement faux.

- peut être mais soit plus doux avec la jolie demoiselle s'il te plait.

En parlant d'elle je me tournai pour regarder au travers de la baie vitrée du magasin. Elle discutait sans  joie avec la vendeuse qui tenait une pile de vêtements dans les mains . Sûrement ceux que j'avais demandé. Je ne comptais pas râter l'occasion de la voir faire son défilé.

- il faut que je te laisse on se reparle plus tard .

- oui mais n'oubli....

J'avais déjà coupé l'appel . Il allait me faire mal à la tête avec ses conseils de papa poule . Je savais y faire avec les femmes et n'avais nullement besoin de ses conseils pour arriver à mes fins .

Lesquelles? justement je ne connaissais pas moi même . Mettre le doigts sur la raison de ma présence ici était loin d'être facile . comprendre pourquoi je la voulais tant au près de moi était aussi flou que mes sentiments pour miss Rhéa. Cette pulsion qui m'intimait de la sauver était beaucoup plus forte que tout ce que j'avais pu ressentir auparavant.je n'étais peut être pas un preu chevalier sur un cheval blanc mais j'étais celui qui voulais et comptais sauver son âme de la noirceur qui le happait doucement.

Le regard figé sur son corps fin noyé dans ma chemise , je poussai les portes du magasin pour la rejoindre.

La blonde laissa un sourire éclatant éclairé son visage lorsqu'elle me vit approcher.

Elle était intéressée ce n'était que trop flagrant. Qui ne le serait pas de toute façon ?

Elle était jolie je n'en disconvenais pas , mais je n'étais pas ce type d'homme . Je ne cherchais pas à tirer sur tout ce qui bougeait et encore moi me faire remarquer par tout ce qui portait un string . Elle était appétissante oui ,mais son jeu de séduction était pour un autre mais pas pour moi car il ne marchera pas . La seule femme pour qui mon corps avait brûlé de désir ce tenait juste en face d'elle . L'effet qu'elle me faisait était presque satanique et c'était pour cette raison que je devais comprendre pourquoi elle et pas une autre .

- vous avez ce que je vous ai demandé ? Demandais je le visage serré. Je ne voulais pas être agréable sinon elle pourrait confondre les choses .

- oui monsieur la cabine d'essayage nous attend.

- alors moró mou c'est toi qu'on attend. Dis je en encrant mes yeux dans les siens .

Tellement de questions se bousculaient dans son regard métallique. Elle voulait aussi des réponses mais que je n'étais pas capable de lui donner. Elle était si belle , si innocente . Ses yeux étaient  pures mais rougis par l'injustice de la vie .

Je pouvais voir dans son regard que ce n'était pas la vie à laquelle elle aspirait , mais la vie n'a malheureusement pas éte tendre avec elle . Elle respirait le  vécu et il me tardait de connaître ce qui se cachait derrière cette façade de fille légère.

Lorsque je l'avais appelé ma femme j'avais bien vu le trouble sur son visage . Ce mot avait franchi mes lèvres sans que mon cerveau n'en ai donné l'ordre . Avais je dit cela pour la déstabiliser ? Moi même ne le savais pas , mais j'avais deux semaines pour joindre les morceaux du puzzle .

- je me change où ? Dit elle froidement .

Elle non plus ne semblait pas beaucoup aimé notre blondasse. J'avais vue son nez se retrousser quand cette fille c'était approchée de nous à notre entrée dans la boutique. J'avais bien vue que son comportement de chaudasse ne lui avait pas plus et c'était en partir pour cela que j'avais précisé qu'elle était ma femme. C'était ma façon de la rassurer.

On suivi en silence la fille au cheveux blanc jusqu'à une cabine d'essayage. Maëlys entra et moi je restai devant attendant impatiemment de la voir sortir .

- prenez place monsieur vous n'allez qu'en même pas attendre debout .

Afin d'être plus comfortable je pris place sur le sofa fushia . Elle resta devant moi comme une statut attendant sûrement que je lui fasse des avances qu'elle ne refusera évidemment pas .

- thé ou café ?

- aucun des deux si nous avons besoin de vous je vous ferais signe mais pas pour le moment merci de nous laisser un peu d'intimité.

- bien-sûr. C'est le visage froissé et la queue entre les jambes qu'elle me laissa enfin seule . Les effluves de son parfum trop  fort me donnaient  presque la nausée.

J'étais perdu dans mes pensées lorsque je vis le rideau rouge se poussé . Maëlys fit son apparition dans une robe rouge près du corps très sexy. Elle était magnifique. Ses jolie jambes sculptées étaient magnifiquement mis en valeur. Le dos nu de la robe nous offrait une vue imparable sur son tatouage . Elle était divinement sexy . Tellement que je me surpris à me sentir étroit dans mon pantalon .


Ce n'est pas le moment Alexeï contre tes pulsions!

- alors ? Me demanda t'elle

- un petit tour .

Elle fit le tour sans manquée  de se cambrer comme jamais. Le Diable est vraiment fort , il me mettait dans une position délicate. Très délicate. Je passai mes doigts sur mon menton ombragé par ma barbe noir , elle était la tentation incarnée.


Ses fesses mon Dieu !!


- sublime ! Dis je tout simplement. Ce mots résumait à lui seul tout ce que je cherchais à dire .

Elle eu un petit sourire au coin me donnant pour la deuxième fois l'occasion de voir ses magnifiques fossettes.

Elle se tournai afin de rentrée dans la cabine quand je la stoppai .

- tu ne fais pas un tour devant le miroir, histoire de juger par toi même .

Elle se retourna , le regarde énigmatique.

- pas besoin j'en ai un beaucoup plus sexy devant moi .













Salut mes waliwalous , je ne parle même pas aujourd'hui sous peine d'être visé 🤕🤕.



Moi même je sais que j'exagère mais bon .....  C'est la vie .






Bonne lecture mes waliwalous.











Kiss sur vos front 😘

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