Chapitre 31: L'enlèvement

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Flashback.

PDV de Stéphane Villeneuve, père de Maeva Villeneuve.

Je venais encore de surprendre ma femme au lit avec un autre que moi. J'étais épuisé de cette vie de merde. La seule chose qui valait la peine dans ma vie c'était mes enfants. Ce soir, c'en était trop. J'avais envie de m'évader. Je pris les clés de la voiture et je regarda une dernière fois ma femme, dans les yeux. Je lui dit un simple adieu et je partis. J'entendais les enfants pleurés; on n'avait vraiment crié moi et Katie, ce soir. Je m'installa dans mon Audi et démarra la voiture. Je roulais à une vitesse phénoménale. J'arrêta dans un bar près de chez moi. Il y avait beaucoup de personne pour un mercredi soir. Je pris quelques verres et sortis de cet endroit. J'apperçu au derrière de l'immeuble un vendeur de drogue. Il vendait son stock à des gens. J'avais souvent entendu l'effet miraculeux que la drogue offrait; je n'avais rien à perdre. J'alla le voir. Il me conseilla sur les meilleures drogues qu'il vendait. En tout, j'avais acheté pour 100$ de drogue. Évidemment, je ne pouvais pas retourner chez moi et prendre mes stupéfiants. Je demanda donc à mon vendeur si il y aurait possibilité qu'il m'héberge une nuit. Il accepta; 100$ de plus et on en parlait plus. Je lui tendis son pognon et il me ramena dans son appartement. C'était salle, ça sentait la drogue, il y avait quelques putes. Je m'installa dans un coin et je testa ce que j'avais acheté. L'effet n'était pas immédiat, mais quelques minutes après je me sentais mieux. J'aurais aimé savoir que ma dépendance commençerait là, seulement personne m'en avait avertit. Je continua à conssomer toute la soirée, toute la semaine. À partir de ce moment, je n'ai plus jamais revue ma famille. Mon vendeur, Jerry, m'accueilla chez lui. Je payais le logement. Je ne travaillais pas, donc mon compte de banque fit vite vide. Je n'avais pas de famille. La seule chose qui me restait c'était ma drogue. Je décida donc de travaillé pour Jerry; argent=drogue=plaisir. 8 ans plus tard, je réalisa à quel point je me tuais à petit feu. J'ai donc tout arrêter; mon travail illégale et ma drogue. Je me suis enfui du logement de Jerry et j'ai travaillé fort pour en être où je suis aujourd'hui; à Londres, avec une femme et un enfant, Tom, de 2 ans. 

Fin du flashback.

PDV de Maeva

J'étais dans un lieu lugubre, sans lumière. Une odeur de poisson régnait. J'étais attachée sur une chaise. 

-A L'AIDEEEEEE!, criai-je.

Mon père arriva, du moins si je pouvais encore l'appelé mon père; il m'avait drogué pour me faire monter dans son auto. 

-Pffff, tu crois vraiment qu'on va t'entendre, ma jolie? T'es dans un entrepôt!, dit mon père. 

-Libére-moi! Un vrai père ne ferait jamais ça!

Il ria.

-Ce que les gens sont naifs en 2014. Tu croyais vraiment que j'étais ton père? On se ressemble même pas! Moi c'est Jerry, Jerry Nash. Je cherche ton père et tu m'aideras à le retrouver. 

-Comment tu connaissais tout ce que tu me disais?, dis-je.

-Ton père, pendant 8 ans, me parlait de vous deux. Ça a donc été très facile de te retrouver et de me prendre pour ton père. Je t'ai espionné durant 2 mois; j'ai appris au sujet de ta pire ennemie, Christine et j'ai trouvé ça drôle de te faire croire que c'était ta demi-soeur. Ce qui m'a fait le plus rire, c'est que t'a même pas chercher à savoir si  j'étais vraiment ton père. Je te croyais plus intelligente que ça ma petite! ria-t-il

-Quesque vous me voulez? Mon père s'en fiche de moi! Il ne reviendra pas pour moi, c'est certain!

-Ton père nous doit beaucoup d'argent... dans les milliers, 25 000$, pour être plus précis. Je n'ai pas de temps à perdre à le retrouver. Ce sera donc lui qui viendra à moi. Ensuite....

-Ensuite quoi?!, criai-je.

-Ensuite nous le tuerons. 

Je resta surprise, certe je le détestais mon père, mais à ce moment, je réalisa que je n'avais aucune idée du pourquoi il nous avait abandonner. Peut-être qu'il avait fait ça pour moi et Ariel... Je devais lui laisser une chance, après tout je l'avais fait pour Jerry...

-Et moi?, dis-je.

-Ça dépend de mon humeur, peut-être qu'on te tuera, je sais pas. 

Je ne parla plus. C'était étrange, je n'étais pas fâchée, j'étais simplement inquiète. 

-Jerry?, dis-je.

-Oui, ma jolie?

-Je peux appeler quelqu'un, avant de..mou..?, dis-je en tremblotant.

-Pour que tu racontes tout? Pfff, dans tes rêves petite!

-Non! Vous pourriez même tenir le téléphone et mettre un couteau sous ma gorge en cas que je dévoile quelque chose...

-Hmm, laisse moi y penser.

J'avais une idée en tête; depuis mon siège, je pouvais apperçevoir un lac. J'entendais aussi des coassement de grenouille. Ça allait marcher!

---

2h30 plus tard

Jerry avait accepté que j'apelle quelqu'un, cependant, j'aurais un couteau près de ma nuque. Je devais faire très attention à ce que je dirais. Je lui donna le numéro de portable à Jayce. Il mis le téléphone près de mon oreille. Il réponda!

PDV de Jayce

Ça faisait maintenant 5hrs que Maeva était disparue avec l'homme. Je ne savais pas c'était qui et j'étais vraiment inquièt. Je n'en avais parlé à personne. Ariel dormait. Je tournais en rond dans le salon depuis 15 minutes. Je faisais les 100 pas. Soudain, le téléphone sonna.

-Maeva?!, dis-je.

-Oui, c'est moi Jayce, dit-elle la voix qui tremble. 

-Doux jésus! Où es-tu? Tu m'inquiètes! Est ce que tu vas bien?, dis-je.

-Jayce, tu te rapelle de la chanson que je chante toujours? 

Pourquoi elle ne répond pas à mes questions? 

-Euh non...,dis-je.

-Tu devrais la prendre en note, dit-elle. Tu es prêt? Je peux te la chanter si tu veux.

Je trouvais ça étrange; Maeva ne chantait jamais. J'avais l'impression qu'elle tentait de me faire passer un message. Je courra chercher un papier et un crayon pour prendre en note ce qu'elle allait dire. 

-Oui, oui, tu peux y aller.

Elle se mît à chantonner; sa voix tremblait et je conclu qu'elle cherchait à camoufler des sanglots.

-Là ou le propriétaire de l'habit de prince est, l'habit de prince y est aussi. La couturière empêche l'habit de prince de se découdre du bois. Le propriétaire est inquièt, car il ne trouve plus son habit, il va donc chercher de l'aide auprès de celui qui a crée l'habit de prince, dit-elle en chantant. Tu t'en rappelle?

Aussitôt, je compris qu'elle voulait me faire comprendre quelques choses. J'avais écrit ''sa chanson'' sur un bout de papier. Il manquait quelques mots, mais ça serait suffisant. 

-Oui, ça me dit quelque chose. La fin de la chanson c'est cela, n'est-ce pas; le prince retrouve son habit de prince hein? 

-Exact, dit-elle. Bon je te laisse Jayce, je t'aime beaucoup.

-Je t'aime aussi Maeva, dis-je.

Elle ferma la ligne. Je courra jusqu'à ma chambre et je commença à déchiffrer la chanson. Elle comptait sur moi; je ne pouvais pas la déçevoir.

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**Je sais que mon histoire s'en va dans une corde de ''gang'', mais rassurez-vous, dans 2-3 chapitre c'est fini; on retourne à l'histoire d'amour de Jayce et de Maeva.**

-Addictobook 

 

Un amour de badboy [en correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant