[TRENTE-QUATRE]

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𝐂𝐎𝐌𝐌𝐄 𝐏𝐀𝐒 𝐃𝐄𝐔𝐗

"Ils aiment trop la vie on aime trop la mif, que la famille abonné

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"Ils aiment trop la vie on aime trop la mif, que la famille abonné."

Part 2.

MAËLLE POVLICHA
05 : 08

Les garçons viennent de nous déposer à l'entrée de notre tour, avec Maïsa on se tiens la main en montant les marches.

- Tarik ne dors pas avec toi ce soir ?

Maïsa - Si mais il va prendre quelques affaires. 

- D'accord. Une fois entrée, je me dirige vers la cuisine, je vais me prendre un truc à boire alors que Maïsa file à la salle de bain.

Je me mets à la fenêtre de la cuisine pour fumer une cigarette, j'entends la porte s'ouvrir, putain il a fais vite, je tourne la tête mais je découvre son frère.

Il s'approche de moi et viens entouré mes hanches de ses gros bras, il caresse doucement mes côtes et je sens ses lèvres frôler mon cou.

Nabil - J'peux dormir là ?

- À une condition.

Nabil - Hm. Il embrasse mon cou et je mord ma lèvre en sentant sa langue contre ma peau.

- Tu me laisse le côté gauche du lit. Il me regarde.

Nabil - D'accord. Je jette ma cigarette et on marche jusqu'à ma chambre.

Dans le couloir je sens Nabil attraper mes hanches, je me tourne vers lui et il plaque ses lèvres contre les miennes, je soupire et mes mains agrippent le bas de ses cheveux, il me plaque au mur derrière moi en gardant ses bras autour de mes hanches, je suis complètement bloqué entre lui et le mur, un de ses mains descend sur ma fesse qu'il fini par presser dans sa main et notre baiser s'intensifie une fois que sa langue rencontre la mienne, notre échange est encore plus chaud, sensuelle et fougueux que la dernière fois, je sens mes joues chauffer quand je sens contre ma cuisse que notre baiser lui fais aussi de l'effet, on entend du bruit et Nabil s'empresse de me pousser dans ma chambre en gardant ses bras autour de moi, on rigole et je ferme la porte avec mon bras avant qu'il ne me plaque contre, il verrouille la porte et s'attaque à nouveau à mes lèvres.

Ses mains agrippent mes cuisses pour me porter, j'enroule mes jambes autour de son bassin et il marche jusqu'au lit, nos langues reprennent une danse enflammée quand mon dos est posées contre le matelas, je sens petit à petit sa bosse durcir contre moi, je le sens ouvrir le bouton de mon pantalon et descendre la fermeture de mon bas, il descend des baiser chaud sur la naissance de ma poitrine.

Comme pas deux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant