Crétin Fini (Tome 2) [Drago Malefoy]

Chapitre 7

Hello!

Je sais je suis désolé de ne pas avoir posté avant... 

J'étais bloquée, impossible d'écrire une ligne, mais je suis repartie, et plus motivée que j'avais. Je vous poste donc 2 chapitres aujourd'hui et devrait en poster d'ici 2 semaines (je suis en stage et je n'ai internet que lorsque je rentre chez moi). 

Enfin bonne lecture! 

------------------------------------------------------------------------------------

Enfin, je l'ai retrouvé.

Drago : Carrie, je suis tellement désolé de tout ce qu'il c'est passé. Ma famille, ton père, l'enlèvement.

Moi : C'est terminé.

Drago : Non. Ce ne le sera jamais.

Moi : Ça l'est tan que personne ne sait que je t'ai retrouvé. Et à part Harry, Ron, Hermione et Ginny, personne ne peut se douter que je suis là.

Drago : Génial, les personnes en qui j'ai le moins confiance au monde. Hormis ma mère maintenant peut être.

Je souris à sa remarque. En temps normal je lui aurais fait une réflexion, mais je suis tellement qu'il soit lui même, mon crétin.

Drago : Et Dumbledore ? Il doit savoir que tu es parti de l'école. Et alors il en a forcément parlé à Ian.

Je n'avais pas pensé à ça, et j'avoue que je m'en moque un peu. Surtout que je n'ai reçu aucune lettre, de l'un ou de l'autre. 

Moi : Je ne pense pas qu'il en ai parlé à mon père. Sinon il aurait déjà débarqué ici.

Le blond fait une moue peu convaincu et plante ses yeux dans les miens. 

Drago : Tu m'as tellement manqué. Même si je ne me souvenais pas vraiment de toi, il me manquait quelque chose.

Moi : Alors imagine moi qui me rappelais de toi et qui avais perdu mon collier.

Drago : Comment m'as-tu retrouvé ?

Moi : Grâce à notre vif d'or. Il m'a montré où tu étais. 

On se décale alors sur le côté pour que je puisse lui raconter le récit de ma venue à Bristown. Pré-au-Lard, la cape, Arthur, le train, et l'hôtel. J'en oublis même ma douleur à la cheville qui disparaît au fur et à mesure de mon récit. 

Drago : Et pendant ce temps j'étais là, à vivre avec ces moldus. Et tout ça à cause de ma mère. 

Je me mord la langue pour m'empêcher de poser la question, mais il est déjà trop tard. 

Moi : Qu'est-ce qu'il c'est passé ce soir là ?

On se pose alors sur le banc où l'on s'est retrouvés hier soir. Sa mâchoire se contracte et je vois de la douleur dans ses yeux. 

Drago: Je... Je me rappelle t'avoir dis que je t'aimais. Puis tu es tombée dans les pommes quand j'ai... été obligé de te lancer ce sort. Mais ton père est arrivé et a été plus rapide que moi, heureusement, et il m'a désarmé. Je me suis mit à pleurer. Tu sais que ça ne me ressemble pas, mais j'avais faillit te tuer. Alors mon espèce de grand-mère a tout expliqué à Ian. Que c'était elle qui avait bloqué tes pouvoirs pour que je ne te rencontre jamais, et que je sois en sécurité loin de la fille de Tu-Sais-Qui. Et là il a eu cette idée stupide d'effacer toute trace de toi, de magie, et de ma famille de mes souvenirs. Ce que ma mère a acceptée. Elle préfère ne plus jamais me revoir plutôt que je risque ma vie avec toi. Et moi aussi j'ai dis oui. Parce-que tu aurais été à l'abri de ma famille.

Moi : A l'abri ? Tu parle, je n'aurais même pas été capable de me défendre si elles avaient décidés de s'en prendre à moi. Mon père m'a de nouveau bloqué mes pouvoirs pour que je ne te retrouve pas. Je ne sais déjà pas comment j'ai fais pour les avoir la première fois, alors une seconde...

Le blond soupire et semble réfléchir. Je pousse un souffle de fatigue également, mais l'observe pendant que son cerveau travail. Le mien n'en peu plus et préfère observer sa barbe de trois jours et ses yeux bleus se poser sur la neige. Après quelques secondes, il finit par se tourner vers moi. 

Drago : Il faudra bien rentrer à l'école un jour ou l'autre. Mais avant il faut trouver un moyen de retrouver ta magie. Tu ne peux pas faire face à ma famille ou à ton vrai père, sans pouvoirs.

Moi : Tu te rappelle ce livre que tu m'avais montré à la bibliothèque ? Celui avec les sorciers qui avaient débloqués leur pouvoirs très tard dans leur vie ?

Il hocha légèrement la tête en guise de réponse.

Moi : Je l'ai prit avec moi. Je pense que ça pourrais m'aider à les récupérer. Je pense qu'il faudrait...

Drago : Tu veux les retrouver. 

Mon blond m'interrompt, lisant dans mes pensées. Je sourit faiblement, il me connait trop.

Moi : Oui. Ils sont seulement nommés dans le livre que tu as trouvé. Mais si on pouvais les rencontrer, on pourrais en savoir plus sur la façon dont-ils ont obtenus leur pouvoirs. Je suis persuadées que ça pourrais m'aider à retrouver les miens. 

Drago : D'accord. Mais on commencera demain. 

Je soupire en hochant la tête et me repose sur son épaule. 

Drago : On devrait aller se coucher. J'ai encore mon appartement, et à mon avis il va nous falloir des forces pour ce qui suit.

Moi : Oh oui !

Je me lève rapidement, pressée de manger un morceau et de m'allonger au chaud. Drago sourit et se lève à son tour en prenant ma main. 

Drago : Je te préviens, je n'ai pas énormément de chose à manger, et je n'ai jamais vraiment cuisiné.

Moi : Alors qu'est-ce que tu mange depuis un mois ?

Je demande en riant.

Drago : Tu ne te moquerais pas de moi par hasard ?

Moi : Moi ? Jamais !

Drago : Crétine.

Moi : Vraiment ? D'où tu te permet de copier mes insultes ? Crétin. 

On rit ensemble. Ça fait tellement du bien de le revoir. De l'entendre. De le toucher. D'être avec lui tout simplement. 

Des pâtes. Simple, mais efficace. Alors que l'on termine de manger, Drago se tape le front.

Drago : On a pas fêté Noël !

Je sourit, attendrit par cet enfant qui sommeil encore en lui.

Moi : Drago, ce n'est pas grave. On a plus important à penser non ?

Drago : Oui je sais, mais j'avais quelque chose pour toi. Il a dû rester au manoir.. On devra y retourner.

Moi : Écoute, c'est adorable mais...

Drago : On y retournera. C'est important pour moi. Très important. 

Je ne comprend pas vraiment pourquoi il tiens tant à m'offrir ce cadeau. Mais si c'est essentiel pour lui, alors on ira le chercher. En attendant, il va falloir dormir pour trouver Betty Flincher, John Malt et Elisabeth Betz.