Jour 7

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D'après « Eaux Printanières » d'Ivan Tourgueniev.

Deux heures du matin.

Dès que son domestique le congédia, il ressentit une lassitude.

Des femmes instruites s'étaient distinguées par leur talent. Cependant, il avait été ennui, saveur de dégoût. Il ne savait pas se délivrer du sommeil. Il songea à l'effort vide, puis à la crainte de l'abîme.

La fin rouille. La vie apparaît comme un océan.

Une minute chavira hors de son fauteuil. Il se tourmentait. Une fleur brûla à la hâte dans ses yeux. Il possédait quelques milliers de chemins.


Quatre heures.

Il flâna. Il alla à la maison s'ennuyer.


Six heures.

Première boutique alignée sur les rayons du soleil. Un bruit. Confus, il cria. Une fille crispée interrompit ses sanglots. Plus un mouvement. Une voix – Elle ? Lui ? - agita l'air. Il respirait la fatigue. Il remua son visage honteux. La fille dit :

« Je ne vous retiens pas. »

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