Un deux trois, un deux trois,
Je compte sans cesse.
Un deux trois, et tais-toi,
C'est ce qu'il m'avait appris sans rien dire.
Un deux trois, un, deux puis trois,
C'est ce qu'il me donnait.
Un deux trois, un, deux, trois,
c'est le nombre d'hommes que je voyais défiler.
Un deux trois, glisse entre mes bras,
Ce faux sentiment de sécurité.
Un deux trois, un...
Il n'y à que toi en qui j'avais confiance.
Un deux trois, tires-toi,
Tu es un monstre.
Un : je ne sais pas comment réagir.
Deux : Ca doit être normal après tout.
Trois : vas-y bébé je suis là pour toi.
C'est parce que je n'avais jamais qu'appris à tout supporter,
Si tu comptes jusqu'à trois et que tu l'as supporté, tu peux recommencer.
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Le Bazar
RandomC'est mon petit coin où je mets tous mon petit bordel ! De petits textes, des idées, des poèmes peut-être, qui sais ? Qui sais combien je suis bordélique ? Alors ENJOY ! ;D (La couverture changera certainement)