2 - Le clochard

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Allez après la visite de maman, j'étais en forme pour allez travailler.Ce que je fis. Et sur le trajet, je vis encore ce clochard, toujours allongé. Le problème est qu'on ne pouvait pas l'oublier tellement l'odeur qu'il avait été insupportable. À tel point qu'apparemment des passants lui avaient mis une bâche. Je trouvais cela odieux.Puis j'entrais donc dans l'office du tourisme et me remis à mon service : l'administration. La journée se passa plutôt bien. Je mangeais en faisant attention à certains mélanges. Et oui, car les migraines pouvant être provoqué par une haute saturation de l'acidité de l'estomac, alors imaginez ce que l'on doit faire pour éviter les migraines. C'est pas une vie je vous jure. Enfin bon,l'habitude prit le dessus, comme toujours.

Puis l'après-midi une femme entra dans les locaux, elle avait perdu beaucoup de sang et on me demanda d'aller chercher ses affaires dans sa voiture. Quand j'ouvris la portière, une odeur presque pestilentielle me prit au nez, direct. Je revins dons à l'office,regardant cette femme qui était en faite couverte de sang. On fit appeler le service des urgences. Le médecin arriva ainsi que le fameux service. C'est là que je découvris que l'odeur que je sentais n'était que l'odeur du sang sécher. Cela me rendit tellement malade que je finis par vomir, et donc rentrer chez moi, en passant bien sûr, devant le clochard.

Une fois rentrée, j'avais toujours cette odeur dans les narines. Je n'en revenais pas qu'un corps puisse sentir comme ça, surtout le sang.Une fois laver et pris un verre d'eau, je commençais à avoir faim et décidai finalement d'aller m'acheter un quelque chose à manger. Donc comme je le pouvais, je sortais vite fais pour m'aérer.Très mauvaises idées ce soir-là, car le ''clochard'' était juste à côté du magasin. À tel point que je le croyais mort, vu son odeur. Une fois cela fait, je remontai vite fais chez moi pour éviter cette odeur. Une fois au chaud, je me mis à manger et allais me coucher, avec un fond de musique quand même. Faut pas se laisser abattre !

De nouveau debout et en forme, je pris mon petit déjeuner , regardant un peu le pc et m'habillais. Il ne faisait pas très beau, mais bon,même si c'est samedi , suis quand même allez à l'office du tourisme. Surpris, sur le chemin le ''clochard'' avait changé de place. Il était presque dans les petits buissons qui se trouvaient sur le bord de la route. D'ailleurs, il n'y en avait que là. Je finis par ne plus trop faire attention à lui au bout d'un moment.Cependant, cela me déranger un peu de voir un homme comme lui sur la route, surtout qu'il était le seul et peut être en plus qu'il était blessé, voire mort. Bref; j'arrivais à l'office du tourisme tranquillement, me mis à mon poste et je commençais à entrer les nouveaux lieux de découverte. La fin de journée arriva, avec une pluie battante. Et mince, je devrais rentrer mouillée à la maison,et rester relax. Quand les services de la ville nous prévinrent que nous étions en alerte rouge pour pluie diluvienne. Ma chef me donna alors la permission de rentrer chez moi et de ne plus en bouger. Ce que je fis sans attendre.

Le ciel était d'un noir effrayant. Je courus sans attendre, et bien sûr, arrivée chez moi trempée, sans parler de la migraine qui commençait à venir. Je cherchais alors mon médicament. Panique à bord! plus rien dans la boite. Bon je cherchais alors partout en me tenant la tête, l'ordonnance. Je mis une plombe avant de la trouver,mais finis par mettre la main dessus, et sortis entre deux coups de foudre, chercher mes médicaments. Ça y était, j'étais à la pharmacie, pris mes médicaments et en ressortit, quand je vis parterre, dans l'eau, un filet de sang. Je le suivis, me dirigeant au bosquet.

«Mince c'est le clochard ! Qu'est ce que je fais ? Me demandais je enme tenant à moitie la tête. »

Je me suis avancée et je me mis à le secouer par le bras.

— Monsieur,monsieur ! Vous m'entendez ?Vous êtes blessé ?

Mais aucune réponse de sa part. Quand il se mit à glisser vers moi. Là,je vis une énorme tache de sang. Je me demandais ce que je pouvais bien faire, surtout que bien sûr la rue étant en pente, et que le médecin se trouvait être tout en haut; sans parler du problème majeur : la rue était totalement inondée. J'avais même du mal à marcher.

Alex.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant