7- La Fuite

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Image Hugo
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PDV LILI :

Je n'avais pas suivie les conseils d'Anya et de Léane.
Je me retrouvais à crapahuter dans les couloirs de cette immense maison.

Mais il y a combien de couloir ici !

Je tournais et percuter encore une fois quelqu'un.

Je râle.

- Tu es venue ?

Je lève la tête et rencontre deux iris vert émeraude.
Je m'éloigne, instaurant une distance réglementaire entre nous.
Un silence s'instaure. Je replace une mèche de mes cheveux, sentant son regard fixé sur moi.

- Alors pourquoi tu m'as demandé de venir ?

Lui lancé-je, en croisant les bras sous ma poitrine. Pour adopter une position décontractée, alors qu'en réalité c'était tout le contraire.
Il passa une main dans ses cheveux, en soupirant. Puis effectua quelques pas aléatoires dans le couloir.
Enfin il se retourna pour planter son regard dans le mien.

- Je vais te révéler toute la vérité.

°°° 15 minutes plus tard °°°

J'ouvris la porte de la chambre d'Anya et m'enfoncais à l'intérieur.
Les filles me regardèrent intriguées.
Sans leurs accorder d'attention je me dirige vers la valise d'Anya, se trouvant toujours au sol.
Je rassemblais les vêtements qui traîné au sol et les fourais dans le sac, que j'avais préalablement récupérer au passage.

- Mais qu'est-ce que tu fous ?

Demanda Willow.

- On se barre.

- Quoi !

Dit Anya en se relevant pour s'asseoir sur le lit en tailleur.

- Ne me regardez pas comme ça, on est dans une maison de fou ! On se barre maintenant !

- Hola attend deux minutes. Qu'est-ce qui te fais dire ça ?

- Ils sont tous timbrés ! L'autre la Hugo, il arrête pas de me dire que son "loup" ma choisis.

Anya et Willow éclatairent de rire. Léane quand à elle me regarde comme si des cornes m'avaient poussées sur la tête.

- Tu es sûr qu'il ne disait pas ça pour rigoler ?

Me demanda t'elle, un sourcil intérogateur levé.

- Il paraissait croire à son absurdité.

Dis-je une expression sincère sur le visage.

Là, Léane me fit des yeux ronds.

- Quoi ?

Demandais-je à mon tour intrigué.

Elle se leva pour venir m'aider à remplir ces fichu sac.

- Quoi !

Réitérais je.

- Je t'expliquerai après. Les filles bougaient votre cue immédiatement, si vous voulez pas que votre espérence de vie ne se réduisent radicalement.

Je fronçais les sourcils en distinguant l'inquiétude que contenait sa voix.

Les filles avaient aussi dût le distinguer car sans un mot elles se mirent à préparer leur sac.

Moins de 3 minutes plus tard, on avait toutes un sac dans les mains.

- Bon maintenant on fait quoi ?

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