Pour ses études, Naozumi débarque en France à dix-sept ans, alors qu'il ne connaît ni la langue ni la culture et que son anglais est tout juste compréhensible.
Il est dépaysé par l'environnement, les bruits et les manières de faire de ces gens.
Mais...
Je devais poster hier, j'avoue... MAIS ON PERD PAS LES BONNES HABITUDES HEIN LOL
Je serai peut-être pas très présente à partir de demain je pars pour le mariage de mon frère (BLBLBLBLBL) donc je posterai sûrement jeudi mais je vais peut-être être moins présente jusqu'au 25 ;) MON FRERE VA SE MARIER GÖIHEROQPHGERNIQEGF bref je suis calme
Dooonc... Je vous livre ce chapitre, et on se retrouve à la fin pour un gros blabla pas intéressant lol (RIEN DE CQUE TU DIS EST INTERESSANTE KONNASS)
Ok j'ai compris, conscience de merde ;;
AH TRES IMPORTANT quand c'est en italique c'est en anglais. Evidemment, je n'écris pas toutes les hésitations et les mots que j'ai utilisé en français y'en a certains je sais même pas comment on les dit en anglais mais c'est pas dit mot pour mot c'est l'idée qui en ressort. Ils ne sont pas bilingues ici, donc oui, y'a des hésitations, et oui, j'ai eu totalement la flemme d'écrire vraiment en anglais pour faire pleins de * pour ceux qui comprennent un peu moins (je sais que certaines personnes qui lisent sont assez jeunes donc c'est normal <3)
Bonne lecture keur keur jvous love ♡
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Naozumi
Je me lève de mon lit, toujours un peu nauséeux de la veille, et je l'arrange afin qu'il soit dans un état impeccable. Fatigué à cause du décalage horaire, je me rassois sur le bord du matelas tout en observant la chambre dans laquelle je vais rester pendant presqu'un an.
Le lit est adjacent au mur est, là où le soleil illumine tous les recoins de la chambre. Les murs sont peints d'un orange clair un peu étrange, et à ma droite, on y trouve un bureau en bois vernis, et en face, une commode juxtaposé à un miroir juste au-dessus. A ma gauche, la porte d'entrée -ou de sortie selon le point de vue.
Je soupire, m'étire, puis me lève définitivement. Je m'approche de la glace pour arranger mes cheveux bruns en passant mes mains dedans. Je fais la grimace en sentant l'odeur de mon corps qui vient d'émerger, alors je file vers la salle de bain qui, heureusement pour moi, avoisine ma chambre. Je n'utiliserai jamais la douche sans prévenir, mais je ne suis pas prêt à descendre avec une odeur aussi nauséabonde. Bon. J'exagère sûrement un peu. Je ne sens pas vraiment mauvais, à vrai dire, je ne transpire presque jamais. Mais pour la conscience, je décide tout de même de sortir de ma trousse de toilette mon déodorant afin de camoufler l'odeur en attendant la douche. Ensuite, je m'habille simplement d'un jean et d'un tee-shirt. La fin de ce mois d'août en France reste assez étouffante, et je ne compte pas vraiment mettre de pull.
La veille, avec Laurence, nous avons tout de suite rangé mes affaires -vêtements, trousse de toilette, autres objets rapportés etc.- parce qu'elle jugeait que c'était mieux de le faire tout de suite. Evidemment, malgré mon exténuation à cause du voyage, j'avais rangé ce que je pouvais. Elle insistait pour ne pas se faire aider, mais ça me gênait qu'elle-même fasse cela avec moi. Ce n'était pas à elle de ranger mes affaires, mais je n'ai pas osé la contredire. Je m'étais même incliné pour la remercier, et elle m'avait ensuite dit en anglais, affolé, qu'en gros que je n'avais pas à faire ce genre de chose ici. J'avoue ne pas avoir très bien compris cette partie-là, son anglais à elle n'était pas terrible non plus à vrai dire.