Chapitre 2.

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15ème Arrondissement de Paris, France.

Je suis réveillé par une odeur peut reconnaissable qui provenait sûrement d'en bas. Le gardien avait tendance à prendre sont cagibi de service pour une cuisine. Mais cette fois-ci cette odeur était plus proche. Je sort difficilement du lit, et ouvre délicatement la porte de ma chambre.

L'odeur provenait de mon appartement.

Je m'introduis dans ma cuisine quand je vois une silhouette aux fourneaux. J'ai un temps d'arrêt, quand je reconnais le corps du grec. J'ignore comment il a pu rentré, et encore moins ce qu'il lui prend de venir me faire à manger alors que l'ont c'est disputer.

Je me racle la gorges.

- Ah tu est la, dit il en se retournant.
- C'est un peu chez moi, répondais-je sèchement avant de m'asseoir. Pourquoi est tu la ?
- J'avais besoin de te voir mais de te parler. Il me semble qu'ont avait été clair nous deux ?
- Je vois pas ou tu souhaite en venir, m'inquiétais-je.
- Ton père n'est pas mort. Ton père t'a séquestrer, et cette initiale que tu dessine tous le temps c'est l'initiale du prénom de ta mère que ce connard à tuer.

Je reste stoïque. Je venais de recevoir un couteaux en pleine poitrine.
Comment avait-t'il su ? Pourtant, je gardait tous pour moi. Mes écrits était rangés dans une veille botte dans l'ancienne maison familiale qui est à présent au mains des huissiers.

J'aurais dut lui dire, il méritait la vérité.

Je ne savait pas quoi répondre, mon silence l'agaçais.

- Écoute, balbutiais-je.
- C'est quoi ce jeux ?
- C'est pas un jeux c'est plus compliqué que sa.

J'avais l'impression devoir triturer mes plus profondes pensées pour me soulager, je lui devait cette vérité que moi-même je redoutais.

- C'était pas compliqué de me mentir pourtant ?
- Écoute moi tu veut ?

J'étais prête après avoir prise une grande et profonde inspiration je commence.

- Rien n'allais dans ma famille. Mon père était tous le temps au travail et ma mère payais le prix. Mon père n'acceptait pas que ma mère puisse plus travailler à cause de ces angoisses répéter. Alors elle avait ordre de rester à la maison et de tous faire, et lui tu vois lui ? Il posait sont vieux cul de lache devant la télé et continuais à prendre ma mère pour sont chien. Moi et mon frère ont avait juste à nous la fermer et accepter. Mais non, ont ne devait pas accepter sa. Ma mère celle qui nous a mis au monde était réduite à une esclave. Quand mon père travaillais j'aidais ma mère entre les cours, et des fois elle s'échappait voir un amis de longue date. Un soir mon père est rentre plus tôt mais mère n'était pas rentré, il n'a pas chercher à comprendre et est partie en sa direction, mais « apparement » quand il l'a chercher partout elle aurait été admise dans un hôpital et serait morte sur le coup d'une énième crise d'angoisse de trop qui aurais déclencher une crise cardiaque. Mais non, ce mécréant a tuer ma mère il nous as menti et bafoué. Il est devenu fous et nous as séquestrés mon frère et moi. Ont n'avaient aucunement le droit de sortir, de regarder la télé ou de voir des amis. Ont allaient plus en cours et nous étions nourris seulement une seule fois par jour.

Sont regard change et fait place à un regard inquiet.

- Ont disait rien et ont espérais que sa allait changer. Mais quand ont s'exécutait pas aux ordres de notre père ils nous frappaient, dis-je les larmes aux yeux. Ouais, je t'es menti j'en suis désolé. Mais crois-moi j'aurais préféré que cela ne se produise jamais.

Point de vue de Ken.

J'étais venu avec la ferme intention de savoir la vérité sans pour autant me rendre compte de ce que j'allais savoir. Zora était en face de moi les mains tremblantes et les cheveux en pagaille. J'étais tellement têtu que j'ai pas compris ni essayer de comprendre pourquoi elle ne m'avait rien dit.
Je me sentait tellement con d'avoir été comme ça avec elle.
Je m'approche d'elle, et désormais une infime distance nous séparais.

- Ken s'il te plait ne t'approche pas.

Je me recule en fessant mine que ce rejet ne me faisait rien.

- Il y'a autre chose que je doit te dire.

Mon cœur prend des battements réguliers et plus fort signe de stress.

Une seconde.Where stories live. Discover now