le cheikh d'anouar et elle Tome 2

Chapitre 3

Éva est ma meilleure amie et c'est aussi la seule dans se pays. Depuis que je suis arrivé a Londres c'est a dire depuis que se connard ma viré de son pays après m'avoir utilisé comme vide-couilles. Mais bon maintenant j'ai mon adorable petit homme dans ma vie alors inutile de penser a se bâtard fini qui lui sers de père. Mon petit prince est a l'école en se moment alors j'en profite pour invité Éva a la maison.Je discutais avec elle tout en préparant un gâteau.

- Attends deux secondes...SA VEUX DIRE QUE LE PÈRE DE TON FILS A ESSAYER DE RENTRER CHEZ TOI?

- Oui Éva c'est ce que je te répète depuis 1 heure!Dis-je exaspéré.

- Tu pense qu'il sait que tu as un enfant venant de lui?

- Non sinon il aurais été encore plus chiant qu'il ne l'est déjà... dis-je en enfournant le futur gâteau dans le four.

- Alors ? me demande t'elle.

- Alors quoi? dis je en fronçant les sourcil.

- Qu'est ce que tu vas faire?C'est évidant qu'il ne vas pas abandonner si facilement.

-Je ne sais pas Éva, tout ce que je sais c'est qu'il y'a des années de sa j'était une pauvre petite servante naïve et facilement manipulable.Que ma famille profitait de moi et gaspillait tout mon salaire durement gagné pour des choses futile. Alors quand j'ai vus enfin quelqu'un qui était prêt a me donner un peu d'amour j'ai foncé même si je savait que j'allais me brûlé les ailes..Il était important,séduisant, intelligent et j'ai penser que peut être...J'avait droit a un peu de bonheur, quelque promesse de mariage et des baiser langoureux plus tard il ma jeté pour une femme comme lui belle,riche,jeune et il l'a épousé.Il avait tellement peur qu'on parle de moi a sa femme qu'il s'est débrouiller pour me faire changer de pays.Je ne pense pas qu'il soit revenu comme une fleur de cette manière parce qu'il c'est rendu compte que je suis la femme de sa vie je ne suis pas aussi naïve...Du moins plus maintenant.

 A la fin de ma tirade la cocotte minute se mis a sonné comme pour approuver se que je disais.Je sortis le gâteaux du four tandis qu'Éva me fixait avec des yeux de merlan frit...