Chapitre 50 : Cry sweety

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(Pleure jolie coeur)

Une heure plus tard...

PDV Zayn :

Dr. Sheperd : Hum hum... Est ce que je peux entrer ?

Nous étions tous en train de pleurer. Mais j'eux quand même la force de lui répondre.

Moi : Oui.

- Je sais que ce n'est pas le bon moment. Je sais que vous venez d'apprendre que votre meilleur ami est dans le coma. Mais je dois vous parler des formalités.

Liam : On vous écoute.

- Bien. Tout d'abord, il faut que vous sachiez qu'il y a deux sortes de coma. Celui artificiel et le coma accidentel ou autrement appelé naturel. Le premier est provoqué par les médecins pour un laps de temps défini. Mais le dernier n'est pas controlé du tout. Le patient  peut aussi bien se réveiller maintenant que dans des années. Et la chance qu'il reprenne connaissance après trois mois est considérée comme nulle. Donc, il faudra penser à nous dire ce qu'il faut faire.

Niall : Ce qu'il faut faire ?

- Oui. Certains patients préfèrent être débranchés le plus tôt possible, d'autres veulent qu'on les laisse comme ça le plus longtemps qu'on puisse.

Moi : Mais c'est horrible ce que vous nous demandez ?!

Louis : Comment voulez vous qu'on le sache ? On en a jamais parlé.

Dr. Sheperd : Bien sûr. Mais il faudra prendre une décision. Prenez votre temps. Encore désolé.

Il s'éclipsa, nous laissant abasourdis. Un portable sonna.

Natoo : C'est a qui ?

Liam et Niall : C'est pas le mien.

Moi : Pareil.

C'est celui d'Hazza.

Je m'approchais de son lit pour prendre sa veste qui était posée dessus. Je fouillais dans sa poche et ressortais son iphone. Je regardais le prénom qui s'affichait. Je n'arrivais pas à le croire.

Louis : C'est qui ?

Moi : C'est...C'est Kelly !

Eux : Kelly ?!

Je le mis à mon oreille, en décrochant.

Kelly : Harry ?!

Oh mon dieu...Ça fait longtemps...

Moi : Non. C'est Zayn. Mais Kel, c'est bien toi ?

- Oui ! Oui, Zaynster. Je me suis enfuis ! J'ai réussi !

- Mais t'es ou ?!

- Hum...Excusez moi, madame ? On est ou ? Crawley, Zayn ! Je ne suis qu'à dix minutes de Londres ! Vers la mairie.

- J'arrive.

Je me dépêchais de sortir, monter dans ma voiture et démarrer. Ça faisait un mois qu'on la cherchais, qu'on espérais la retrouver. Un mois. Je ne sais pas si vous vous en rendez compte.

Enfin, une bonne nouvelle.

J'arrivais sur le parking de la mairie et me garais. Elle était là, à quelques mètres de moi, décoiffée, pieds nus. Mais je m'en foutais. J'avais retrouvé mon amie, la petite amie à mon meilleur ami. Elle courra jusqu'à moi et me sauta au coup.

The dream becomes real (En correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant