Chapter seven

Depuis le début
                                    

Bonjour, où se situe Léonardo Di Caprio je suis son aide soignante. Dis-je en serrant la main du médecin.

Il est dans la cellule 4, il a eut une crise hier et a frappé un des surveillants. Dit-il.

Pour quelles raison a t'il fait ça? Il était tout à fait normal quand je l'ai quitté hier. Dis-je.

Vous savez, il est très courant qu'une crise survienne soudainement chez nos patients sans aucune vrai raison. Surtout dans le cas de Léonardo. Dit-il.

Il n'y a pas moyen de les stopper? Ajoutais-je.

Il est fou, il ne se contrôle pas... Ajouta le médecin. Je détestais entendre cet adjectif "fou". Je m'avance vers la cellule 4 et passe mon œil dans la fente, ce que je vis me rendis triste... Léonardo avait la tête contre un des mur matelassé. La camisole de force l'empêchait de bouger le haut de son corps.

Il doit dormir maintenant, il a passait toute la nuit a se cogner contre les murs en criant de drôles de choses.... Dit le médecin.

Quelle genre de choses? Dis-je.

Il a crié au moins 50 fois le mot "Imperium". Dit-il.

Qu'est ce que sa veut dire? Dis-je.

Dans l'Antiquité romaine se serait celui qui détient tous les pouvoirs de l'Etat. Dit le médecin. Peut être que Léonardo est une grand passionné d'Antiquité Romaine qui sait?

Quand va t'il sortir d'ici? Dis-je.

Dans quelques heures, le temps qu'il se soit complètement calmé. Dit le médecin. Je le salua et décide de m'occuper à l'asile autrement en attendant le retour de Léonardo. Je me rends dans la salle commune avec tous les patients. Je retrouve Stuart qui était en train de boire un café tout en surveillant les patients.

Salut Marie! Dit Stuart en me voyant.

Salut, c'est vachement calme ce matin. Dis-je en me dirigeant vers la machine à café.

La tempête Di Caprio n'est pas là c'est pour ça! Dit Stuart en rigolant.

Pourquoi t'a t'il frappé hier? Dis-je.

J'en sais rien, je lui est juste demandé comment il allait et il s'est jeté sur moi. Je ne cherches plus à comprendre ce gamin... Dit-il en haussant les épaules. Je ne pouvais pas m'empêchée de douter de sa version même si je ne lui fit pas savoir. Je passe toute la matinée à parler avec Stuart en préparant les médicaments des patients. Nous parlons de tout et de n'importe quoi, c'est un homme assez charismatique qui a toujours quelques choses à dire. Il est brun avec des yeux marrons très foncés, son sourire et son uniforme font tomber toutes les patientes de l'asile. Alors que nous parlons Léonardo arrive dans la salle commune les menottes aux poignets. Il me dévisage en entrant dans la pièce, il a d'énormes cernes et ses yeux sont rouges écarlates. Je me dirige aussitôt vers lui.

Comment vas tu ? Dis-je en posant ma main sur son épaule. Il se pousse pour enlever ma main tout en continuant de me faire la tête.

Qui a t'il? Je ne t'ai rien fait! Dis-je. Il ne semble pas m'écouter et demande à un surveillant de le ramener à sa cellule. Alors que le surveillant s'apprête à l'emmener je l'interpelle.

Laissez moi faire je vais le ramener. Lui dis-je. Il accepta et je conduis Léonardo dans sa cellule. Il marche devant moi dans les couloirs sans dire un mot, sans même se retourner, ce qu'il a pourtant l'habitude de faire.

Tu veux toujours pas me parler? Dis-je.

Pourquoi parles tu avec ce gros fils de pute de Stuart ! Dit-il en se retournant brusquement.

Je travaille ici, c'est juste un collègue! Dis-je.

Ne lui reparle plus jamais à partir de maintenant! C'est clair?! Dit-il en se mettant face à moi pour essayer de m'intimider.

Non mais tu te prends pour qui ? Je parles à qui je veux et tu ne m'en empêcheras pas. Dis-je en croisant les bras autour de ma poitrine.

Fais pas ça sinon... Dit-il. Sa respiration s'accélère et ses poings se serrent.

Sinon quoi Léonardo? Dis-je en fronçant les sourcils. Il se rapproche de plus en plus de moi, je ne compte pas me laisser faire cette fois ci. Je reste les bras croisés en le regardant. Soudain il me pris à la gorge et me plaqua contre le mur, je n'eus pas le temps de lui en empêcher et me voilà face à un Léonardo en pleine colère. Il se colle à moi de façon à ce que je sente sa respiration, il met son genou entre mes cuisses pour éviter que je ne lui échappe. Je mets mes mains autour de son cou bien décider à me défendre, ont s'étranglent tous les deux.

Marie me force pas à te faire mal. Me murmure t'il dans l'oreille en serrant un peu plus fort mon cou. Je suis son mouvement et serre encore un peu plus son cou.

Marie arrête je vais te faire mal! Crie t'il en serrant encore plus fort. J'ai mal mais je ne lâche rien, ce n'ai pas moi qui vais céder aujourd'hui.

Lâche moi Léonardo. Dis-je d'une voix grave, ses mains me serrent de plus en plus le cou, il me regarde dans les yeux en continuant son geste.

Lâche mon cou et je lâcherais le tiens! Dit-il. Je ne comprends pas à quoi il joue mais c'est hors de question qu'il gagne encore une fois.

Marie arrête ça je ne veux pas te faire de mal! Crie t'il en serrant mon cou d'une force inouïe, l'air me vient à manquer. Ma vue se trouble soudainement tandis que mes mains commencent à se libérer de son cou. Il me crie des choses que je n'entends guère. Mes yeux se ferment sans que je puissent lutter, tous mes membres me lâchent et je me sens tomber.

Danger PublicOù les histoires vivent. Découvrez maintenant