Je ne les ai pas revu depuis et franchement je me porte bien. Louis a essayé de m'appeler mais je n'ai pas répondu, je n'arrête pas de penser au paroles de Zayn, elles n'arrête pas de se répéter dans ma tête. Je tourne la tête vers Phoebe pour la voir enfiler mon t-shirt.

Je me dirige vers elle et la prend dans mes bras avant de l'embrasser et de la pousser sur le lit sous son rire.

**

La pizzeria est bondée et pour une fois on ne me regarde pas étrangement, je suis habillé le plus simplement possible, c'est Phoebe qui a choisis pour moi.

Elle sait que je suis souvent jugé sur mon style, je sais qu'elle l'aime mais ce n'est pas le cas pour tout le monde. Tout le monde rigole autour de sa bière pendant que mon téléphone sonne annonçant l'arrivé d'un nouveau message.

Phoebe :

Tu vas bien ? Xx

Moi :

Oui, pourquoi cette question ?Xx

Phoebe :

Tu ne semblais pas être dans ton assiette en partant.

Moi :

Ne t'en fais. Tu me manques, je ne rentre pas tard. Je t'aime. Xx

Phoebe :

D'accord, je t'aime. Xx

Je souris et lui répond avant que les gars ne me parlent encore du même sujet comme, tu as un travail ? Il serait peut être temps à vingt huit ans. Ils ont tous une bonne situation, mais je vis bien, nous vivons bien.

J'ai peut être vingt huit ans mais je suis parfaitement bien, j'ai un boulot, je suis un artiste. J'expose mes œuvres au monde, et ceux qui le veulent achète mes toiles.

Mais le monde de l'art n'est pas celui qu'il était avant.. Et heureusement que Phoebe travail à la librairie, enfin a sa propre librairie, et que moi je continue de faire mes expositions.

"Mais Harry l'art ne va pas te faire vivre toute ta vie ! Tu as des diplômes pourquoi tu ne t'en sert pas ?"

"Parce que j'aime ma vie." dis je en haussant les épaules.

"Et Phoebe ? Tu ne voudrait pas qu'elle est un belle avenir ? Tu pense qu'elle est réellement heureuse."

"Nous sommes heureux, nous vivons comme nous le voulons. Nous n'avons peut être pas autant d'argent que vous mais nous sommes heureux."

"Et vous ne pensez pas à un futur ensemble ?"

"On parle d'un bébé en ce moment, elle en veut un." dis je en souriant.

Ils commencent tous à rigoler, je fronce les sourcils et les interroge du regard.

"Mec le prend pas mal mais.. Je ne vois pas Phoebe devenir mère. Ok elle a vingt cinq ans mais elle est tellement..."

"Etrange."

"Pardon ?"

"Ouais, elle est dans son monde, elle n'est pas comme nous elle est pire que toi et si vous avez un bébé je me demande ce que ça va donner."

Je rigole et me lève en buvant mon verre d'un seul coup. Sans les regarder je pars du restaurant. Ils sont allait bien trop loin, on ne touche pas à Phoebe, elle est mon tout, elle est la seule qui puisse me comprendre.

Il n'y a plus de métro à cette heure ci, je vais devoir rentrer à pied. Heureusement que c'est l'été et que le froid n'est pas si froid. Je n'habite pas très loin alors la route jusqu'à chez nous se fait rapidement.

J'entre dans la maison vers vingt trois heures. Je dépose mes clefs dans un pot que Phoebe a fait elle-même, je me dirige vers notre lit où ma femme est déjà, elle est sur le  ventre complètement nu, la couverture s'arrête au niveau de ses fesses.

Notre mariage était parfait, quand je l'ai vu j'ai étais tellement ému, j'ai repensé à nous, à ses parents qui n'étaient même pas là pour le jour de son mariage, à mes parents qui n'avaient pas était merveilleux non plus mais qui avait fini par accepter.

Je me déshabille complètement et me glisse sous les couvertures et fait glisser mes doigts le long de sa colonne vertébrale. Elle se retourne et ouvre doucement ses yeux. Elle me sourit légèrement et se colle à moi.

"Ca a été ?" murmure-t-elle de sa voix fatigué.

"Es tu heureuse avec moi ?" elle se relève doucement.

"Quoi ?"

"Est-ce que tu es heureuse avec moi ?"

"Pourquoi je ne le serait pas ?"

"Parce que." dis je en m'assaillant. "Parce que quelqu'un d'autre pourrait t'apporter mieux, et moi je ne peux t'offrir que ça parce que c'est moi, l'art c'est toute ma vie Phoebe, je sais que je te l'ai dis des millions de fois mais.. Si tu veux partir fais le maintenant parce que-"

"Ferme la." dit elle en me donnant une gifle. "Je t'ai choisis il y a sept ans, et je te choisirai encore et toujours, tu es le seul qui puisse me rendre heureuse, nous nous complétons toi et moi, je t'aime et je ne partirai pas. Je suis heureuse ici, c'est notre univers. Ca nous ressemble et j'emmerde les gens qui nous critique. Tu vois cet anneau ?" dit elle en levant sa main. "On c'est dit ce jour là pour le meilleur et pour le pire et pour l'instant il n'y a que le meilleur Harry."

"Alors faisons notre bébé, et montrons au monde entiers que nous pouvons rendre un enfant heureux et lui comprendre les vraies valeur de la vie."

"Je t'aime tellement." dit elle en se mettant à cheval sur moi.

Je souris. Avoir son corps nu sur le miens ne peu que me faire de l'effet, mon érection devient de plus en insoutenable. Nos langues se mélange et je la sens sourire quand mon pénis dur se trouve entre nous, elle le prend dans sa main et commence à descendre et monter sa main dessus.

Je gémis dans sa bouche alors qu'elle passe son pousse sur mon gland où elle ramasse un peu de ma semence. Elle sourit et continue de m'embrasser tout en me masturbant. Je grogne et lui mord la lèvre. Elle gémis doucement et c'est le plus beau son que je n'ai jamais entendu et que je n'entendrai jamais assez.

Elle accélère la cadence et c'est assez pour me faire venir dans sa main. Nous arrêtons de nous embrasser et elle lèche ma semence qu'elle a sur sa main. Je passe deux doigts entre ses seins et ramasse mon sperme pour les mettre ensuite dans sa bouche pour qu'elle les suces jusqu'à propre.

Quand elle a fini elle me prend dans ses bras et m'embrasse dans le cou.

"Nous le ferons demain, je suis très fatigué."

Je souris et la prend dans mes bras tout en nous allongeons. Je l'aime.

An artistic love - h.sWhere stories live. Discover now