- Anthony..

- Elle : il est musulman ?

- Non mais...

- Elle : y'a pas de Mais, avant même que j'aille le dire à ton père dit lui qu'on est pas d'accord.

- Mais maman...

- Elle : Y'A PAS DE MAIS JE T'AI DIT, VA DANS TA CHAMBRE JE VEUX MÊME PLUS TE VOIR, PART.

Je suis partie dans ma chambre, je savais que c'était mort d'avance, j'ai pris mon téléphone et j'ai envoyé un message à Anthony pour lui dire que ma mère était contre et qu'on s'est disputé, ni une ni deux ma mère est rentré,

- Elle : donne moi ton téléphone.

- Maman stp.

- Elle : DONNE JE T'AI DIT, TU VEUX NOUS TAPER LA HONTE TOI, UN FRANÇAIS, UN FRANÇAIS SHELA, ILS T'ONT PAS SUFFIT LES ARABES ? ÉCOUTE ÇA VA PAS S'ARRÊTER LÀ.

elle allait partir puis elle s'est retourné, elle m'a fixé droit dans les yeux pour me dire : regarde moi bien ta rien fais avec lui ?

- * les larmes aux yeux* maman..

- Elle : *en me giflant* c'est comme ça que tu nous remercie, khssara 3lik ( dommage) .

Puis elle est partie en fermant la porte à clé, c'est ces mots qui m'ont donner envie de pleuré, ces doutes, avec Anthony on s'est jamais embrasser, il avait trop de respect pour moi, y'avait un mal entendu.

[...]

J'ai passer 10 jours dans ma chambre je mangeais à peine, je ne sortait plus, à plusieurs reprises Anthony est venu en bas de ma fenêtre espérons que je puisse lui répondre, un soir vers 2h du matin, Alors que je ne dormais pas il est venu, il était bourré il n'arrivait pas à placé un mot correctement,

- Lui : Sh.Shla..Shela Je t'aime sur ma vie je t'aime, demain je viens chez toi, je vais parler avec ton père, ta mère, tes frères et toute ta famille, je meurs je suis entrain de mourir sans toi, rendez moi la.

Quand j'ai entendu sa voix je me suis mise à pleuré, il me manquait tellement, je n'arrivais plus a tenir, je voulais le voir, sentir son odeur, lui parler, il me manquait, je savais qu'il n'allait pas bien en plus de tout ses problèmes je lui ai rajouter.

Ça a duré un moment cette situation, il venait en bas de ma fenêtre des fois il ne parlait pas juste il sortait mon prénom, et a l'entente de sa voix qu'est ce que ça me donner de la force, je ne pouvais pas abondoner mes parents pour lui, mais je l'aime et je veux finir ma vie avec lui.
Ma mère me parlait toujours pas, mon père, mes frères et ma soeur ne comprenaient pas le pourquoi du comment, quand ils venaient nous rendre visite j'étais obligé de sourire et de leurs parlait mais à travers mes yeux on voyait ma tristesse, j'avais des cernes, j'avais perdu du poids, je ne prenais plus soin de moi, je ne sortais plus, je n'allais même pas à l'auto-école.

[...]

Vous savez je n'ai jamais cru en l'amour après ce qu'il s'est passer avec Youssef, je me suis dit que Youssef je ne l'ai pas aimé ou du moins c'était un amour de jeunesse.

SHELA- Lui malgré tout.Where stories live. Discover now