Fossile

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    Le bureau du professeur était très spacieux. Sur la totalité du mur de gauche, il y avait des livres. Une centaine d’ouvrage sur les fossile, l’époque du cétacé et sur la faune et la flore de cette période préhistorique. A droite de la pièce, le mur était ouvert en deux larges fenêtres qui illuminaient la pièce. Au fond de la pièce, un long bureau en acajou venait surfaire l’apparence de cette pièce. Derrière ce bureau, le professeur était assis, ses lunettes en demi-lune perché sur son nez, et ses yeux qui balayaient un document qui devait être important, vu l’intérêt qu’il lui portait.

Je m’avançais doucement vers le bureau pour ne pas le surprendre. Il releva la tête sur un sourire.

- Bonjour Warren. Que me vaut se plaisir ?

- Bonjour professeur. C’est à propos de mes recherches.

- Ah, enfin. Dites-moi tout.

Je parcouru le bureau du regard. Plusieurs roches sédimentaires étaient exposées comme décoration. Au milieu d’elles, une lampe horizontale apportait un peu plus de lumière pour que les vieux yeux du professeur puissent lires correctement les papiers.

- Il y a quelques jours, nous avons retrouvez un morceau d’ambre dans lequel était durci un moustique.

- Et que comptez-vous faire d’un moustique vitrifié ? Nous menons des recherches sur les fossiles préhistoriques.

- C’est un moustique qui a vécu vers le crétacé supérieur. Le sang qu’il contenait à été incroyablement bien conservé. Nous avons pu l’extraire et récupérer les morceaux d’ADN. Ce matin, nous avons réussi à recréer un ADN fiable.

- Qu’est-ce que vous êtes en train de me dire ?...

- Nous avons, dans notre laboratoire, l’ADN d’un parasaurolophus.

- Nous avons, dans notre laboratoire, l’ADN d’un parasaurolophus

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Le professeur s’était mis debout. Il regardait par la fenêtre d’un air agar. Il porta sa main à sa bouche avec beaucoup de surprise.

- Après toutes ces années à déterrer des ossements, vous m’apportez de quoi en créer. C’est bien ce que vous me dites ? Nous avons la possibilité de recréer des dinosaures ?

- Non, pas vraiment. Ce que je viens vous dire, c’est que j’ai la possibilité de le faire. Je pars professeur.

Sur ces mots, le professeur Edward se retourna violement.

- Comment ça vous partez ? Cet ADN m’appartient. C’est mon argent qui as servi à toutes vos recherches. C’est du vol.

- C’est vous qui voulez me voler mes recherches. Vous n’avez fait que financer. C’est mon équipe et moi qui avons fait les recherches. Sans nous, vous ne seriez rien. Mais désormais, nos recherches vous ont rapportez assez d’argents. Ce sang nous appartient.

- Jamais, Warren. Tu m’entends ? Jamais.

Le professeur répéta ses mots en s’avançant. D’un geste rapide et précis, il saisit un fossile d’ammonite et me frappa au crâne. Une violente douleur me pris à la tête. Puis tout devint noir. D’un seul geste, le professeur avait supprimer mes heures de gloire pour en faire les siennes.

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