Chapitre quatre-vingt-seize.

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Coucou !

Vous allez bien ?

Votre semaine s'est bien passé ?

Posons-nous 30 secondes pour admirer cette pure beauté à l'état brute, s'il-vous-plait.

C'est bon ?

Et bien, maintenant que vous avez tous/toutes mourus, vous pouvez poursuivre *sifflote*

Wow, j'arrive pas à croire que nous sommes déjà en octobre ! Le temps passe tellement vite non de dieu ! Vous vous rendez compte que le 20 octobre on va pouvoir écouter l'album de Niall ???! *est déjà en larme*

Info : J'ai choisie de rester sur le point de vue Louis ;)

Bonne lecture !

__________

Je me détache de son emprise et l'agrippe par le col. Je le pousse contre l'allée de Sociologie, plaquant brutalement son dos contre l'étagère. Il camoufle sa grimace par un sourire narquois. Une étudiante qui se tient près de nous eut un sursaut, choisissant de prendre la fuite au lieu de lui venir en aide.

« J'adore la solidarité dans cette faculté ! » S'exclame sarcastiquement le bouclé, le poing levé.

« À quoi tu joues ? » Crachai-je sèchement.

« Quoi ? » Il questionne bêtement, 'testant' ma patience, mes mains agrippent avec plus de fermeté son col. « Lâche-moi, d'abord. » II pointe mes mains du doigt.

« Réponds à ma question. » Il secoue négativement la tête.

« Pas tant que je suis encore dans cette position. » Je refuse de l'écouter, il pouffe. « ADRIA... » Je plaque ma main contre sa bouche.

« Qu'est-ce qui te prends ?! » Grondai-je furieusement, son sourire colgate s'agrandit contre ma paume.

Je me tourne à demi, n'hésite pas à me pencher en avant, jusqu'à ce que je puisse percevoir la silhouette de mon italienne : elle n'a même pas réagit. Non, elle se gratte la tempe, balançant son minois de gauche à droite, sans vraiment chercher à savoir, qui a bien pu crier son nom comme un demeurer.

Elle hausse ses épaules, reprenant ses révisions. Je lâche un soupir de désespoir : il n'y a qu'Harry pour se comporter de cette façon. Mon attention se reporte sur lui. Je le gratifie d'un regard sévère, pointant son visage du doigt. C'est lorsque je m'y attends le moins, qu'il jette un coup de langue contre ma paume.

« AHHHH ! » Je pousse un cri d'horreur, cognant son crâne contre une ligne de livres.

Cet imbécile éclate de rire, tout en maintenant fermement sa tête entre ses mains. Il se recroqueville sur lui, plongeant ses doigts dans ses boucles bruns, pour exercer une pression sur son crâne. Les yeux arrondis par le choc, je m'éloigne d'un bond loin de lui.

« Louis ! Ça fait un mal de chien, putain ! » Pleurniche-t-il, gigotant sur place.

En reculant, mon dos heurte l'étagère d'en face. J'eus un sursaut, perds l'équilibre - manquant presque - de tomber, mais réussis à me rattraper à la dernière seconde à une planche de l'étagère. Paniqué, j'essuie vivement ma main sur mon pantalon.

« Putain ! Putain ! Putain ! » Paniqué, je farfouille mes poches à la recherche d'un produit anti-bactérien. « Je vais t-te... »

« Louis ? » Un court frisson m'a traversé l'échine.

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 05, 2017 ⏰

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It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant