Un miracle - suite -

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-- Grossesse d'Harry pour Tom

Il est bientôt vingt et une trente et Louis n'est toujours pas rentré du travail, alors j'ai fait manger les garçons avant nous, je suis en train de border Loris quand j'entends la porte d'entrée claquer.

Mon grand garçon se redresse à une vitesse impressionnante dans son lit.

- C'est Pap's on peut descendre lui faire un câlin ?
- Reste la mon ange, je vais lui dire de monter vous voir d'accord ?

Une moue renfrognée apparait sur son visage mais sa petite tête balance de l'avant à l'arrière.
Je sors de sa chambre pour empreinter les escaliers afin de rejoindre Louis dans le salon. Je l'enlace en collant mon torse à son dos mais un peu trop rapidement à mon gout il quitte mes bras pour me regarder les yeux interrogateurs.

- Tu montes faire un bisous aux garçons, ils t'attendent.
- Harry j'ai encore du travail, j'ai autre chose à faire que d'aller leur faire un bisous surtout qu'à l'heure qu'il est ils devraient déjà dormir.
- Ta famille devrait être ta priorité Louis ! Je les ai fait manger il y a une demie heure parce qu'ils voulaient t'attendre, je suis qui pour leur refuser de vouloir manger une fois par semaine avec leur père ? Tu rentre de plus en plus tard mais souviens toi que tu leur a promis de manger avec eux tout les mardis, et si ma mémoire et bonne nous sommes mardi. Alors je leur ai permis de t'attendre, jusqu'à ce que l'heure m'oblige à les faire manger sans toi. Si tu ne voulais pas monter les embrassés ils fallait rentrer plus tard.
- Rentrer plus tard ? Pour quoi entendre tes reproches une fois arrivé à la maison ? Non merci.
- Je ne te ferrais pas de reproche si tu étais irréprochable tu ne crois pas ?
- Parce que tu l'es toi peut être ? Tu n'en branle pas une depuis deux mois pourtant il y a trois ans quand tu as voulu reprendre le travail je crois me souvenir que c'est moi qui t'ai trouvé un emplois non ? Emplois que tu as quitté sans m'en parler. Et pourquoi ? Rester à la maison toute la sainte journée pour faire je ne sais quoi puisque les garçons sont à l'école. Même le diner est mauvais !

Je ne suis pas insensible malheureusement et tout ce qu'il me dit me blesse beaucoup, tellement que des larmes se fraie un chemin sur mes joues. Voila ce qui rythme mes journées depuis plusieurs mois maintenant. Oui ce qu'il dit est vrai, j'ai arrêter de travailler il y deux mois, oui mes repas sont peut être pas les meilleurs que j'ai préparé. Mais je croyais qu'un mari devait nous soutenir et nous épauler. Je pensais que la personne que l'on aime ne pouvait pas nous faire de mal. Mais au vu des derniers mois, je pense que je suis trompé. Mais il y a trois mois j'ai appris une très très bonne nouvelle, je n'avait qu'une hâte, la partager avec mon mari. Mais le soir il n'avait pas été très enclin à vouloir m'écouter alors j'ai reporter, encore et encore si bien que je suis enceint de plus de trois mois et qu'il n'en sait toujours rien.
Mais aujourd'hui c'est bien trop que je ne puisse encore supporter. Je prend une décision peut être un peu trop impulsive mais tant pis, je veux qu'il réfléchisse à ce qu'il m'a dit, à ce qu'il me dit depuis des jours et à ce qu'il nous fait vivre à tous les trois depuis maintenant plusieurs mois.
Je rejoins le côté cuisine de la pièce pour téléphoner à Niall. Je lui explique brièvement la situation avant de monter à l'étage préparer un sac pour y mettre nos vêtements. Une fois le sac plein je vais voir les garçons chacun leur tours pour leur expliquer que leur tonton nous à invités a dormir chez lui et que malgré l'heure tardive j'ai dit oui, je dois aussi avouer que leur réelle motivation pour sortir de leur lit vient du faite que je leur ai donner le droit de louper la journée d'école du lendemain.
J'entends toujours l'eau couler dans la salle de bain, j'en profite pour que l'ont partent sans avoir à faire à Louis.

Lorsque l'on arrive chez la famille Payne, les jumeaux prennent chacun un de mes garçons à moitié endormis dans leurs bras avant de disparaitre à l'étage.
Niall ne tarde pas à me tirer dans ses bras ou je lâche enfin les autres larmes que je retenais. Il m'a attiré jusqu'au salon ou l'on s'est assis sur leur grand canapé beige.

OS yaoï sur les One DirectionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant