Je veux vous voir sourire, caporal. [TERMINÉE]

Chapitre 1 : L'aveu

BONNE ANNÉE A TOI (SI C'EST TOUJOURS D'ACTUALITÉ :/ ) Bonne vie, bonne santé ! <3

JE VOUS CONSEILLE TRÈS FORTEMENT DE REGARDER LA SAISON 1 INTÉGRALE AINSI QUE LES OAV 3 ET 4 DE SHINGEKI NO KYOJIN (ATTAQUE DES TITANS) POUR NE PAS ETRE SPOILE. CETTE FANFICTION SE DÉROULE ENVIRON A PARTIR DU 20EME EPISODE.

Je me libère de toutes responsabilités vis-à-vis d'un quelconque spoiler.

De même manière, je vous demanderai de ne pas spoiler le manga/animé dans les commentaires, par respect.

Je me suis inspirée d'un doujinshi pour créer mon histoire, je ne connais plus le nom ^^ (maj au 24/02/2021 : il s'appelle Your Warrant, merci à Laploucy24 pour l'info :) )

Un chapitre sera généralement dévoilé tous les 2 jours.

Cette fanfiction ne contient ni amour, ni lemon. Bien que j'aime les tartes aux citrons, ce ne sera pas pour cette fois...

Merci et bonne lecture,

Yg_DiphyCleiart (anciennement KuroButterfly.)

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Il est 21:15 et je suis dans mon lit, dans le cachot. Il fait très sombre, les seules lumières présentes sont les deux lanternes suspendues à l'extérieur de ma cellule. Entre ces deux lanternes se trouvent deux chaises et sur l'une d'elle : le caporal-chef Rivai. Il est chargé de me surveiller. A vrai dire, il le fait plutôt bien car il n'arrête pas de me fixer depuis tout-à-l'heure, c'est flippant. J'engage la conversation:

« Euh... caporal-chef Rivai?

- Quoi ?

- Je sais que vous êtes en charge de me surveiller, mais vous n'êtes pas obligé de rester toute la nuit...

- Ah ?

- Enfin- je veux dire, c'est sombre et sa-

- Ne crois pas que ça me plaise de rester dans cette endroit dégueulasse avec un gamin comme toi. Mais je suis le seul prêt à te trancher les membres sans hésiter si tu te transformes en titan.

- Je ne compte pas me transformer en titan...

- Alors ta gueule et dors. »

Comment voulez-vous que je dorme quand l'homme le plus fort de l'humanité vous guette pour vous trancher en deux au moindre faux mouvement ?!

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Il est 7h30 et j'ai passé une nuit de merde, j'ai dû dormir à tout casser deux heures. Le caporal-chef n'a pas fermé l'œil. Dès que je regardais vers lui, il m'observait d'une attention vive. Il se lève et s'approche des barreaux :