COLOCATION

[TRENTE-NEUF]

Eva : Tu n'ai pas obli- Elle n'a pas fini sa phrase qu'Antoine pose ses lèvres sur celle de Eva avant de glisser doucement sa langue pour rencontrer celle de Eva dans un baiser langoureux.

Il a ensuite pris dans ses bras la fille dont il est fou, ils sont restés comme ça un long moment, se chuchotant quelques mots d'amour.

Ils n'ont jamais été aussi proche que ce soir là.

Eva Lloris.
08 : 03.
Tenue en média.

Eva : Arrête ! Je rigole une nouvelle fois en sentant Antoine essayer de me faire un autre suçon.

Antoine : Bouge pas ! J'essaye de le repousser mais il me bloque en dessous de lui.

Eva : Hum, tu es fort aujourd'hui j'aime ça. Je rigole alors que lui, il me regarde sérieusement et essaye de ne pas rigoler.

Antoine : Tu es pas possible.

Je roule au dessus de lui et j'embrasse son front pour lui laisser une marque de mon rouge a lèvre bordeaux. Je rigole avant d'embrasser son cou pour lui faire d'autre marque.

Antoine : C'est très plaisant ce genre de chose mais tu ferais mieux d'arrêter. Je me sens légèrement soulever puis plaquer contre le matelas, Antoine se positionne une nouvelle fois sur moi.

Eva : Tu es craquant comme ça avec toute c'est marque de rouge à lèvres.

Antoine : Tu ferais mieux de m'aider pour les enlever aussi.

Je le pousse doucement et je me relève pour rejoindre la salle de bain, il me suit de près ou plutôt me colle au fesses. Pendant que je suis en train de passer un gant sous l'eau froide, Antoine s'amuse à embrasser mon cou et mon épaule.

Eva : Tu es vraiment un gamin. Je me tourne vers lui et je commence à retirer le rouge à lèvres sur son front.

Antoine : Je devrais dire ça à toi.

Eva : Vas-y débrouille toi. Je plaque le gant dans sa main et je commence à partir de la salle de bain mais Antoine me retient.

Il plaque ses lèvres contre les miennes et il enroule ses bras autour de mes hanches.

Paul : Bon les amoureux vous vous dépêchez ? On a un avion à prendre sinon. On se sépare et je regarde Antoine faire un signe de la tête à Paul.

Une fois que j'entends la porte de la chambre se refermer, Antoine m'embrasse à nouveau. Je rigole avant qu'il ne me soulève doucement et m'embrasse à nouveau. Je glisse doucement jusqu'au sol et les mains d'Antoine se pose sur mes fesses.

On se sépare à bout de souffle et je passe mes doigts sur les lèvres d'Antoine pour retirer le rouge à lèvre qu'il y a dessus. Je commence à frotter doucement son cou avec le gant et je sens le regard d'Antoine sur moi.

Eva : Quoi ?

Antoine : Tu es vraiment bonne aujourd'hui. Je pouffe de rire et je jette le gant dans l'évier et je sors de la salle de bain.

Je sors de ma chambre et Antoine aussi, on marche côte à côte jusqu'au garçon. Je prend mon frère dans mes bras, il me demande si je vais bien et je lui répond que oui.

Paul : Eva elle porte un string.

Antoine : Toi va foutre ton regard ailleurs. Il lui tape l'épaule et ils finissent par rire.

Quand je vois Morgan arriver avec Patrice et Lucas, mon frère me pousse légèrement derrière lui. Morgan passe entre nous et il lance un regard noir à Antoine, Paul saisit le bras d'Antoine avant qu'il ne le frappe.

Eva : Antoine ! Je m'approche de lui et je le pousse.

Morgan pouffe de rire, je me tourne vers lui et je m'approche doucement. Antoine me dit de revenir avec lui mais je l'ignore.

Eva : Tu es vraiment une belle ordure.

Morgan : maintenant tu sais qu'il y a deux ordure qui t'aime. Il me lance un regard avant de partir seul, je me tourne vers les gars et je souffle doucement.

Hugo : On devrait partir. Hugo passe son bras autour de mes épaules et nous sortons de l'hôtel.

12 : 04.
Claire fontaine.

Je suis en train de courir derrière Blaise car il m'a volé mon éclair au chocolat.

Eva : Vient là !

Blaise : Non ! Je lui saute dessus et on se ramasse comme deux grosse merde.

Je regarde Blaise avaler comme un gros porc mon éclair au chocolat, je ressens une profonde envie de le tuer.

Blaise : Oh pardon, je voulais te laisser un bout mais comme je crève la dalle j'ai pas pensais.

Eva : Petit con. Je lui jette de l'herbe dans la figure avant de me lever et de partir en courant.

Je rejoint les garçons qui était en train de jouer à la console, je me jette dans le canapé avant de tomber au sol.

Paul : Putain comment tu t'es ramassé comme une grosse merde Eva ! Il est mort de rire.

Hugo : En même temps...

Antoine : C'est vrai que...

Eva : Vos gueules, j'ai compris. Ils commencent tous à rire.

Bande de gamins.

* * *
Pfiou, bientôt le 40e chapitre omd ☹️🔥

J'ATTENDS VOS AVIS 🔥

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