Avis au lecteur

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And I dream of a grave, deep and narrow, where we could clasp each other in our arms as clamps, and I would hide my face in you and you would hide your face in me, and nobody would ever see us any more. 

- Kafka, The Castle.


Que vous vous soyez aventuré sur les lignes de cette fiction parce que vous raffolez des histoires d'amour interdites ou par simple hasard, parce que la couverture ou la description vous ont attiré, ne vous attendez pas à trouver une histoire où les personnages brisés se reconstruisent dès les premiers chapitres par le biais de trop nombreuses rencontres fortuites. Certes, une relation particulière entre un professeur et une élève ne peut logiquement éclore sans événements qui s'écartent du quotidien et qui poussent deux êtres si éloignés à converger, d'une manière ou d'une autre. Seulement, je tiens à préciser que les personnages de cette fiction ne sont pas là pour trouver l'amour, ni pour vivre dans un monde édulcoré sous l'influence d'un écrivailleur (coucou!) qui compte réaliser tous ses fantasmes à travers eux. Cette fiction raconte la reconquête de l'être, le douloureux chemin qui mène à l'acceptation de soi, et l'espoir incertain mais tenace d'une rencontre prochaine avec le bonheur.

 Pour toutes ces raisons, je la dédie

À toutes les Julia qui n'ont pas eu la chance

de rencontrer leur guide dans les moments souhaités.

A tous les Alessandro qui ont oublié d'exister.

À tous ceux qui courent après leur passé.

À toutes les autres âmes égarées.


- Bonne lecture -

Parle-moi du bonheur (professeur-élève) - TERMINÉEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant