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Un homme un vrai

Voilà deux semaines que tout est redevenue comme avant et me voilà obligé de partir pour Paris avec ma tante et sans lui.

- Tu vas me manquer tu sais ?

Je lui souris avec encore des brides de sommeil dans les yeux.

- Ouep ! Moi je sais pas si tu vas me manquer!

Il grogne et je ris. Il m'attrape par les flancs et commence ses chatouilles.

- Ok ok ! J'avoue ! Tu vas aussi me manquer !

Il se lève et prend la pose de la victoire, alors j'attrape un oreiller et lui lance a la tête. Quand nous partons pour le boulot, nous avons le droit a un froncement de sourcils de ma tante.

- Je crois qu' on a du faire encore trop de bruit cette nuit!

Au bureau je suis d'excellentes humeurs. Je règle les derniers détails pour le voyage et les deux rendez vous que j'ai profité d'organiser, pendant mon séjour a Paris. Ma tante a un peu boudé l'idée que je travail un peu sur place, ce qui fait que j'ai du négocié avec elle des temps spécial travail. On tape a ma porte, elle s'ouvre et un sourire s'imprime sur mes lèvres.

- Coucou beauté ! Tu me manquer alors je suis venu te voir.

Il contourne mon bureau, y pose ses jolies fesses et place ses mains de chaque côté.

- Hum hum ! Je te manqué hein ?

- Oui énormément!

- Alors pourquoi ne m'a tu pas encore embrassé?

Il ris et s'exécute.

- Grrr ! Je ne vais jamais réussir a tenir deux semaines sans toi.

- Arrête de faire ton bébé! Sa va être dur mais ce n'est que deux semaines!

Je dis ça toute fois sans conviction. Moi aussi je trouve que sa va être très long.

- Pourquoi j'ai l'impression que tu fais juste semblant de ne pas être triste.

- Peu être que je me suis rendu compte, qu'être une fille qui garde des distances provoque chez toi un encore plus grand intérêt pour moi.

Il sourit et se penche vers moi.

- Tu peux faire la fille amoureuse, la fille blasée ou même la fille lointaine, je suis tellement accro de toi...

Il m'embrasse d'un doux baisers, ses mains posées de chaque côté de mon visage. Quand il se recule un peu, je reconnais tout de suite son air de prédateurs.

- Ho non Chris ! Je dois encore envoyer un mail à ...

Il pose un doigt sur mes lèvres pour me faire taire et avance ses lèvres vers mon oreille.

- Ho que si. Je vais te prendre la, tout de suite, sur ce bureau ! Je vais être privé de ça pendant trop longtemps après, il me faut me rassasier avant !

Il mort mon lobe et je frissonne de tout mon corps. Je me laisse aller alors à nos désir de l'autre, il me soulève et m'assieds a mon tour sur le bureau. Mes mains se mêle à ses cheveux et je tire dessus pendant que nos bouches se dévorent. Ses mains remonte ma jupe et il fait glisser le string que je porte jusqu'à ce qu'il tombe. Mes mains sont maintenant entrain d'ouvrir son pantalon et lui est déjà entrain de jouer avec mon clitoris. Quand j'ai enfin réussi à baisser juste ce qu'il faut de son jeans et de son caleçon, je suis déjà trempé. Il place son sexe devant mon ouverture et me pénètre lentement. Je ressens chaque muscle se contracter au fur et à mesure de son intrusion et je perd la tête petit à petit.