Chapitre soixante-treize.

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Bonsoooooir, comment allez-vous ? 

Alors, dite-moi tout !

Qu'est-ce que vous devenez ?

Vous travaillez dur j'espère hein ? GRRRRR *va se cacher*

De toute façon quoi qu'il arrive, je vous encouragerai toujours et serait toujours fière de vous *.* *osef mais bon PTDRRRR vous m'avez trop manquée so....... J'ai le droit de dire des conneries, oki ?*

OH MON DIEU.

Ça fait tellement longtemps !

Je me sens horrible, limite je devrais même pas revenir comme une fleur comme ça, alors que j'étais censé revenir depuis les vacances derniers !

Je suis sincèrement désolée....

Mon oral qui devait avoir vers le milieu ou fin avril a été déplacé, bc apparemment ça tomber pendant les vacances. Et perso ? Ça m'aurait pas dérangé que ça tombe pendant les vacances, j'aurais pas été obligé de sécher pour pouvoir réviser en stage, juste bc madame se préoccuper plus de l'esthétique du dossier des stages au lieu de nos entraîner *est très désespérée par cette ksos de prof*

ENFIN BREF !

Maintenant j'ai précisé dans le titre de l'oeuvre que mes mises à jours seront très lent à arriver chose que j'aurais dû faire dès septembre, mais j'ai :

1/ Soit oublier

2/ Soit je ne pensais pas que l'école aller encore plus me bouffer de mon temps que d'habitude

Sur ceux, je vous souhaite une bonne lecture !

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Adriana Rocchietti

Je suis foutue.

Complètement foutue.

Je viens de me ridiculiser devant sa mère.

« Psssst ! »

Pour qui elle va me prendre maintenant ?

'Probablement, pour une sado qui s'excite rapidement lorsqu'elle tire les cheveux de quelqu'un...'

Souffla ma mégère qui ne m'a absolument pas manqué depuis ces quatre dernières heures.

Oh, la ferme toi !

« Psssst ! »

Je repousse d'un mouvement de la main, l'index qui tapote depuis une minute déjà ma tête. Malgré la tentative de mon interlocuteur pour me secouer, je ne bouge pas. Je garde mon front appuyé contre la table d'une boulangerie, qu'Harry et moi avons décidés d'aller pour passer le temps, en attendant de revoir la mère de Louis et continue de broyer du noir.

« Huuumrf. » Même si je ne le vois pas, je sais qu'il roule désespérément des yeux. « Qu'est-ce qu'elle va penser de moi maintenant ? » Me marmonnai-je tout bas.

« Que les italiens sont de nature très énergique. » J'arque un sourcil, puis lève la tête pour caler mon menton contre la table « Quoi ? » Il hausse ses épaules, croquant un gros morceau de son brownie. « C'est la vérité ! Sérieusement, Adriana ! Tu m'as fais un mal de chien quand même ! » Il passe sa main libre dans ses boucles et les masser.

« Ça. » Je me redresse correctement sur ma chaise et le pointe du doigt. « C'est parce que t-tu... »

Attendez une minute !

It's pure, it's you. (s l o w  u p d a t e)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant