-Si tu veux tout savoir je vais alors répondre à tes questions.
Il existe un virus appelé Braise. Et comme tu peut le constater c'est que si les chercheurs ont donné un nom à ce virus c'est qu'il devait être important. Pourtant, personne à part les personnes les plus hautes placées savent son existence.
Ce virus agît différemment selon les personnes. Certaines personnes en meurent, d'autres deviennent folles et nous sommes obligés de les rassembler dans un endroit mais je pense que tu n'as pas besoin de savoir où se trouve cet endroit. Moi, j'ai un effet qui me donne des capacités .... étranges... Enfin bref, c'est tout pour aujourd'hui !
C'est avec un long soupir Newt laissa sa tête, qui était jusque là posé sur la paume de sa main accoudé à sa table de chevet sur son coussin.
Il était rentré chez lui accompagné d'un Thomas sur les nerfs qui gromelait des phrases incompréhensibles aux oreilles de Newt qui marchait légèrement derrière lui. Même si il en voulait à Thomas pour ce matin il ne voulait point rester en froid avec lui. Alors Newt accélérant le pas se positiona aux côtés du brun nerveux.
Il posa doucement sa main sur l'épaule du brun qui sursauta au moment même que la main de Newt se posait sur son épaule. Il tourna sa tête.
Après quoi Thomas s'était arrêté en fixant les yeux foncés de Newt qui le fixait également.
C'était embarrassent pour les deux garçons qui ne savaient quoi dire, à rester là, sans qu'un son ne s'échappe de leur bouche.
Newt fit alors le premier pas en entamant la conversation puis le brun le suivit.
Finalement ils se retrouvèrent dans la chambre de Newt où Thomas s'assis sur le vieux fauteuil alors que Newt s'assis sur son lit.
La question de Newt était partie toute seule de sa bouche et le brun lui avait répondu, non sans avoir râler.
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Thomas fixait Newt qui s'était endormi sur le lit. Thomas avait une envie folle d'embrasser Newt qui dormait paisiblement.
Alors le brun se leva de la où il était assis pour venir s'accroupir à côté du lit du blond. Son visage était proche de celui de Newt et le brun du se faire violence pour ne pas lui sauter dessus comme un sauvage. Il est vrai que Thomas avait parfois un côté étrange et pervers mais il était une personne aimable et intelligente, hyperactif, certe mais calme à certains moments.
S
on visage s'approchait doucement de celui de Newt qui ouvrait doucement les yeux. Thomas écarquilla les yeux quand il s'aperçu que Newt le fixait. Thomas recula immédiatement la tête.
-Tommy ?
Newt se releva doucement, un air endormi et une voix encore ensommeillée. Thomas sentit la honte lui monter, celà n'était pas convenable de l'embrasser alors qu'il l'avait repoussé au paravent.
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-Minho ? Où es - tu mon petit ?
Caché derrière un arbre, Minho tentait de fuir coûte que coûte Gally qui lui courrait après. Personne n'avait voulu l'aider à se débarrasser de la colle qu'est Gally. Un pot de colle ambulant !
Gally essayait avec peine de rattraper Minho pour pouvoir lui parler. Malheureusement pour lui Minho ne faisait que le fuir et Gally en été triste. Il avait développé un amour sincère pour cet asiatique athlétique avec son humour sarcastique et ses muscles.
Il devait demander à Newt et Thomas de l'aider. Et il était bien capable de leur faire du chantage pour arriver à ses fins.
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Thomas s'était assis sur ses fesses alors que Newt le fixait avec un regard interrogatif.
Newt avait pleins de questions à poser à Thomas.
Il se leva alors et vint s'assoir en tailleur devant Thomas puis il lui souria doucement. La confusion reflétait dans les yeux chocolats du brun alors que Newt approchait doucement sa tête.
Thomas ne fit aucun mouvement, l'envie d'embrasser son camarade grandissant de plus en plus. Les lèvres de Newt se posèrent doucement sur celles de Thomas. Mais Thomas ne fit toujours pas de mouvements. Il recula doucement sa tête.
-Newt, je ne peux pas...
Thomas pouvait voir toute la tristesse dans les yeux brillants de Newt.
-Pourquoi ? Pourquoi tu ne peux pas Tommy ? POURQUOI ?? Tu n'as pas l'air dégoûté ! Alors pourquoi tu te braque à chaque fois !
Newt sanglota doucement alors que Thomas tournait la tête sur le côté en soupirant.
Tout était trop dur pour Thomas. Il ne voulait pas continuer comme ça.
-Si tu n'as pas peur de te faire étrangler ou étouffer pendant ton sommeille je veux bien être avec toi. Mais c'est dangereux tu sais.
-Je n'ai pas peur des autres. Ils le savent tous que j'aime les autres.
-Ce n'est pas d'eux que j'ai peur. Sinon tout serait plus simple.
-De qui as tu peur ?
-Tu ne dois rien savoir. C'est mieux ainsi Newt.
- Mais ...
-Tu le seras ... bientôt.
Thomas attira Newt vers lui et le serra dans ses bras. Au moins il arrêtera avec ses questions.
-Tout doit rester secret.
