198. Fat Gamelle

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SALUT À TOI MISTER NON-MEUF-NON. JE VOUDRAIS PARLER D'UN TRUC QUE JE NE COMPREND PAS AVEC CERTAINES PERSONNES, CEUX QUI VEULENT QU'ON PARLE DES RÈGLES, DE CACA, ET/OU QU'ON METTE TROP DE DÉTAILS, GENRE :

- Zut de zut, elles sont où les chiottes marmonnai-je entre mes dents blanches -fraîchement lavés- serrés. Une vielle dame ridée comme une vielle carotte moisie, aux cheveux couleur de ladite carotte parsemés de mèches blanches avec une robe rose à taffetas et paillettes, un imperméable kaki par-dessus et des bottes de cowboy marrons et jaune pipi cloutées sûrement trouvés chez Jack&Jill's, cette vielle boutique de sept mètres carrés sur le croisement de l'avenue DesCoeursEnChocolatFraisiDélicieux et celle de Chemnashaovirodaintrachivu-Le-Preux à l'autre bout de la ville me toisa au-dessus de ses lunettes de grand-mère à imprimé léopard de la marque Jackeline.

-Quoi ? Tu veux ma photo, vielle bique ? Sans lui laisser le temps de répondre, je me glissais dans la foule en faisant bien exprès de ramener ma cape violette à pois rouge que maman avait osé utilisé en vulgaire nappe pour la table de la cuisine entièrement meublée à la manière Ikéa- genre hyper classe et tout- dans un grand geste théâtrale pour l'effrayer. Deux mes deux mains vernies d'un rose-bleu argentée que j'avais acheté à Claire's pour à peine 50$, j'empoignais ma magnifique jupe de chez Dolce&Marianna en velours noir avec que 36 couches de dentelle couleur arc-en-ciel pour mieux avancer dans la foule puis soudain, je les vis. Les toilettes avec le logo du bonhomme en métal et de la femme chauve en métal dont on ne voyait que les contours de la robe sans qu'elle ne soit vraiment bien dessinée car on savait quand même que c'en était une sinon ce ne serait pas une femme mais peut être un homme, personne ne réussirait à faire la différence et à ce moment-la les toilettes deviendraient mixtes. Mon cœur qui n'était pas en forme de ce cœur rouge qu'on apprenait à dessiner à la maternelle ou à la garder"Ta-ra-ta-ta", me dit cerisette, la voix de la raison, " tu ne seras soulagée que quand tu te seras soulagée"

- J'avoue, t'as trop raison co***ss*, lui dis-je à voix haute, ce qui attira quelques regards -envieux (normal, sublime est mon deuxième nom)- sur moi.Enfin dans les toilettes, je me déshabillais complétement, m'asseyais sur le trône sans essuyer les petites gouttelettes ni même penser à la video "Les maniaques de l'hygiène" de Cyprien, ce youtuber dont je suis fan et avec qui je suis à 95% dans le love tester et qui ne me répond jamais. Peut-être qu'il n'était pas pour la polygamie.- Dommage, rigolai-je à voix haute, dommage ! D ! O ! M ! M ! A ! G ! E !

Puis je commençai à chantonner " Dommage, dommage" en riant 36 fois d'une manière diabolique. On m'avait souvent traité de folle. Je me disais qu'ils étaient simplement jaloux de moi, de ma belle voix, de moi, de mon namoureux Cyprien et sans oublier, de moi ! Niark ! Niark ! Niark ! Niark !Je sentais la chose descendre en moi, traverser mes intestins puis mes fesses s' ouvrirent et 

 * CENSURED *... L'euphorie totale. Ça faisait du bien. Je me tortillais sur le siège dont je ne voulais jamais plus me décoller pour examiner mon enfant, ma création, la chair de mes sushis. 

- Youpi, j'adore quand il est un peu blanc ! Je pris un selfie avec lui, blancaca, histoire de l'envoyer à Cyprien pour lui proposer une partie de jambes en l'air à trois. Je lui fis mon sourire le plus ravageur- Salut, toi, moi c'est Nikak.

Après les présentations, je sortis mon magazine Pedo mag, n°36 que j'avais volé dans un magasin dépanneur à l'entrée du métro Lonjardin pour aller jusqu'ici, le plus grand immeuble de cette ville que je ferais sauter avec mes 36 bombes posés partout de mon sac et l'ouvrit à la page 36. J'écrivis trois fois : " 

Je viens de cacater et ça fait trop du bien" et six fois la même chose à l'endos. - Mon précieux, chuchotai-je à mon pendentif en forme de poumons et fait moi-même avec la peau d'un ami à la tête rectangle et aux cheveux blonds qui ressemblaient à des sangsues albinos qui en savait un peu trop que j'avais marqué de min chiffre fétiche. 36. 

Ce nombre représentait ma vie. Je pris mon déclencheur, le pouce que je suçais durant mon enfance et que je plantais dans les yeux durant mon adolescence et qui maintenant, ferait exploser le bâtiment entier. 36. 3. Et 6. Trente -six ! Trente-six ! Trente-six ? Trente-six. Boum.

C'ÉTAIT DONC LA VIE DE NIHAK, UNE JEUNE FEMME UN PEU CINGLÉE QUI COMME ON PEUT LE CONSTATER, ADORE LE NOMBRE 36.

OUAIS, J'AIME GUEULER, ET ALORS ??

Bref, je ne comprend toujours pas comment on peut aimer un truc pareil ! Tous ces détails et cette envie de trucs dégueux, je veux dire. Surtout s' il y a en plus, pleiiiiiiiiiin de fautes !

ÇA PIQUE LES YEUX, ÇA PREND PAS UNE ÉTERNITÉ À CORRIGER ET C'EST TRÈS APPRÉCIÉ PAR LES LECTEURS QUAND IL N'Y A PAS DE PHOTE DAURTOGHRAF !- nn mwa j <3 lé lengaj tex t0 sa meu dé rang-E pwa ! OMG viv lé PHOT !!- Oh toi ta gueule, hein !- Mé g droi 2 esprimmer, ont é an frence ! OMG viv le libr T des presssions !!

- Jean Bernard, puisque tu continues, tu seras privé de desserts maintenant !- 0 nn jeu voulé dé broni o zépinnar mwa ! OMG viv lé zépinnar !!- Bébert, ça suffit maintenant ! Je ne voulais pas le dire mais là, tu m'obliges à le dire. Tu me casses les nougats menu, menu, MENU ! Va dans la boîte de la honte !- Mé pahPa g p'heur den la kav ! An + i fé tt nwar 2den é ia plin dé kafars + dé serppan !! OMG g p'heur !!- Allez mon ange, tu y vas maintenant sinon JE VAIS T'ATTACHER AVEC LES CHAÎNES DE TORTURE POUR QUE TU ATTRAPES LE TÉTANOS !!Bref bref bref. Une scène émouvante et remplie d'amour entre un père tueur en série et son garçon de 23 ans légèrement perturbé et maltraité quand son père en trouve le temps. *soupirs* 

Quelle chance il a ce môme !EN TOUT CAS, JE NE SAIS PAS SI VOUS AIMEZ PLUTON MAIS MOI J'AIME LE THON, HAHA !OUAIS, J'AIME LES JEUX DE MOTS POURRIS ET ALORS ??Pub : Allez lire... euh... bah désolé mais je n'ai lu aucun de tes livres pour l'instant, Ô maître incontestable des Doubles Non, tout ce que je peux dire pour ma défense, c'est que l'odyssée d'Emma est dans ma bibliothèque est que je ne tarderais pas à le lire, dans 3 ou 4 fictions de terminées ! Mais sinon, je vous propose de lire l'odyssée d'Homère qui est tout aussi bien et qui reste dans le top 5 de mes livres lu au collège (et au secondaire) 

Niark ! Niark ! Niark !OUAIS, JE SUIS CINGLÉE ET ALORS ??J'AIME AUSSI DIRE "ET ALORS" ET ALORS ?? 

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Le Grand Bêtisier des FanfictionsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant