L'homme de sa vie n'est pas celui qui est parfait, mais celui avec qui l'on construit un univers où l'amour et la complicité s'entrelacent, rendant chaque jour plus précieux.
Lando Norris et Charlotte Di Mancini
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Madrid, Espagne 9 septembre 2024
L'atmosphère dans le stade Bernabéu était électrique, une mer de maillot bleu et et rouge contrastant avec les drapeaux blanc à l'effigie du club Madrilène. Charlie était assise dans la section VIP du côté des parisiens, sa veste drapé sur ses épaules tandis qu'elle applaudissait avec le reste de la foule.
Elle n'avait jamais été une grande fan de football, mais Warren avait absolument insisté pour qu'elle l'accompagne ce week-end. Elle avait d'abord refuser en lui expliquant que ce n'était rien de sérieux entre eux, et que venir à son match serait comme une officialisation implicite. Il l'avait convaincu en lui disant que des amis pouvait se soutenir et qu'il savait pertinemment à quoi s'attendre avec elle.
Lorsque Paris a marqué son premier but à la 58eme minutes, les supporters Espagnols ont hués et criés leur mécontentement. Le nom de Warren a clignoté sur l'écran géant au-dessus du terrain alors qu'il célébrait avec ses coéquipiers son but, le sourire aux lèvres et les bras levés. Charlie ne pu s'empêcher de sourire, la fierté lui montant à la poitrine alors qu'elle l'applaudissait.
À la fin du match, Paris avait remporté la victoire 2-1 et l'énergie dans le stade était à son comble. Charlie s'attardait dans les tribunes en compagnies des familles des joueurs Parisiens , en attendant que Warren termine ses obligations d'après-match. Une voix familière interrompit ses pensées.
- Charlie ! Qu'est ce que tu fous ici ? Me dis pas que t'es venues supporter l'ennemi ? Elle leva les yeux et vit Carlos Sainz se diriger vers elle.
Elle se leva du siège et serra Carlos dans ses bras avant de remarquer, Rebecca derrière lui. Tous deux portaient des maillots du Real de Madrid, leurs expressions à mi-chemin entre la joie et la défaite.
- Je soutiens le camp des vainqueurs, c'est tout ! Carlos roula des yeux de façon théâtrale, pendant que sa copine serrait la française dans ses bras en rigolant.
- Traître ! Les deux femmes rigolaient en remarquant la frustration de la défaite de son club de cœur.
- J'ai juste décider de soutenir ma ville Carlos, soit pas si dur avec moi ! Charlie ajuste sa veste sur ses épaules, en rigolant.
- Fallait naître ailleurs alors ! Carlos rétorqua avec un ton plus amusé qu'agacé. C'était un beau match, Paris mérité la victoire ce soir ! Je m'incline devant le talent de Warren et ton équipe.
- T'es pas un si mauvais perdant, ça fais plaisir !
- Oh mais il l'est, il fait juste semblant devant toi ! Rebecca se moqua ouvertement de son petit ami, avant de passer une main sur son visage boudeur.
- Je m'en remettrai le jour où Madrid battra ton équipe de Parisien !
Ils ont tous ri et pendant un moment, la conversation s'est déroulée sans effort. Ils ont parlé du jeu, plaisanté sur l'intensité de la rivalité et Charlie lui a expliqué que pour être honnête, elle était juste venu pour soutenir un ami footballeur.
