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— BONNE LECTURE






Moi, rit « Ah bon? »

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Moi, rit « Ah bon? »

Habib, il sourit « À chaque fois que tu venais a la maison je faisais en sorte d'effacer toute trace de toi mais t'en rajouter toujours encore. Vous m'avez pas faciliter la tâche. »

Hassan « Avec du recul, j'me dis qu'on aurait jamais dû se capter à la maison. »

Habib « Sans blague ? » il arque un sourcil « Je sais pas ce qu'il s'est passé dans vos têtes mais c'était sur qu'un moment quelqu'un vous aurez vu. »

Moi « J'me pensais tellement discrète en plus.. »

Habib « Tu l'étais, mais Kamel a des dispositifs que même un chat ne peut pas contourner. A chaque fois que j'effaçais une trace de toi, t'en refaisais une derrière. »

Moi, petit rire « On a dû te donner beaucoup de boulot, Vladimir a dû morfler lui aussi. »

Hassan, il sourit « C'est sûr, surtout quand j'étais plus trop moi-même. Tu me suivais partout, il a dû couvrir tes arrières une bonne dizaine de fois. »

Habib « C'est à ce moment que ton père a commencé à douter de toi je penses, t'étais jamais chez toi, toujours dans tes pensées. »

Moi « J'ai pas trop été  intelligente sur ce coup là, quand j'ai un truc en tête j'oublie tout le reste. »

Habib, il sourit « T'es vraiment comme ta mère toi. »





J'ai souris, ça me fait du bien d'entendre ça, surtout venant de quelqu'un qui la connaissait bien et qui l'aimait pour de vrai.





Habib « J'me dis que.. Ta mère a toujours voulu te cacher notre relation parce qu'elle disait que t'aurai voulu me connaître et que ça serait arriver aux oreilles de ton père. Elle a tout fait pour t'éloigner de la famille Nemba mais il a fallu que tu tombe pour Hassan, c'est marrant. » il sourit





D'un côté je comprends que ma mère ai voulu me cacher sa relation, moins les gens savaient plus c'était discret mais... Elle m'a quand même cacher sa relation pendant dix ans, j'aurai voulu être au courant qu'elle aime un autre. Peut-être que tout aurait été différent maintenant.






Moi, je souris « On a un réel problème avec votre famille, vous avez un truc dans vos yeux je penses. »

Hassan, il plisse les yeux « C'est vrai que mon regard ténébreux en fait craquer plus d'une. »

Grâce à tes yeuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant