L'homme de sa vie n'est pas celui qui est parfait, mais celui avec qui l'on construit un univers où l'amour et la complicité s'entrelacent, rendant chaque jour plus précieux.
Lando Norris et Charlotte Di Mancini
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Bali, Indonésie 6 janvier 2024
Le soleil venait de faire son entrée dans la chambre que partageaient Charlie et Lando. Les deux amoureux dormaient toujours profondément, de doux ronflements résonnant dans la pièce. Les vêtements des activités de la nuit précédente étaient éparpillés sur le, traçant presque un chemin de la porte à leur lit.
Le rayon de soleil s'arrêta sur le visage de Charlie, qui finit par ouvrir les yeux avec difficulté. La Française se retourna pour regarder l'heure sur son téléphone, mais la table de chevet était vide. Elle soupira légèrement ; même sans connaître l'heure, elle savait qu'il était bien trop tôt pour se réveiller.
Charlie se redressa légèrement pour s'appuyer contre la tête de lit, tirant le drap pour le coincer sous ses bras, n'ayant que cela pour couvrir son corps nu. Les ronflements de Lando prouvaient qu'il dormait encore profondément. Il était allongé sur le ventre, le visage tourné vers Charlie et les bras repliés sous son oreiller. Ses bras musclés étaient pleinement exposés alors qu'il dormait comme un bébé.
Charlie en profitait pour admirer Lando pendant son sommeil. Il n'était plus Lando Norris, pilote de Formule 1, il était simplement son Lando. De ses grains de beauté à ses longs cils, en passant par son nez parfait, sa mâchoire sculptée et enfin ses lèvres en forme de cœur.
La blonde ne put résister à l'envie de tendre la main et de tracer des motifs du bout des doigts dans le dos de Lando. Le sentant bouger sous son toucher, elle retira rapidement sa main, ne voulant pas le réveiller.
- Pourquoi t'as arrêté ? Les yeux du brun étaient toujours fermés alors qu'il sortait sa main de sous son oreiller, pour chercher celle de Charlie et la mettre sur son dos.
Lando soupira en sentant à nouveau la main de Charlie sur sa peau. La sensation le fit presque se rendormir, jusqu'à ce que le rayon de soleil qui avait réveillé la blonde se déplace vers le visage du pilote.
- Mon dieu ! Il fronça les sourcils en s'éloignant de la lumière.
- Je pense pas que le soleil veuille qu'on dorme aujourd'hui, ça m'a réveillé aussi. Charlie a jeté un coup d'œil au store ouvert.
- Peut être que si quelqu'un avait fermé les stores la nuit dernière, on serait encore en train de dormir. La française tourna la tête vers son petit ami, qui avait la main au dessus de ses yeux pour la regarder.
- Peut-être que si quelqu'un avait gardé ses mains loin de moi, j'aurais sûrement fermer ses putain de store.
Un sourire narquois se dessina sur le visage de Lando à la pensée des événements de la nuit précédente.
- Ah bon ? Pourtant ce que je me souviens moi c'est s'il te plaît touche moi, j'ai besoin de toi ou ne t'arrête pas ! Charlie a envoyé un oreiller dans la tête de Lando qui était en train de l'imiter, en prenant un voix aigu.
