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Je me retrouve dans la voiture. Au volant du véhicule malgré moi.
Fateh fait le tour de la voiture et passe côté passager :𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : démarre
ꪑꪮỉ : sinon quoi ? Je t'ai pas dis touche moi encore tu verras ?
𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : w'اللّٰه Djenaje je commence à perdre patience avec toi, je vais te lâcher sur l'autoroute
ꪑꪮỉ : lâche
Il fait démarrer la voiture. J'ai dis non il comprend pas ou quoi ? Je serre le frein à main et je le monte a foooond.
On reste là quelques secondes à se fixer :𝐅𝐚𝐭𝐞𝐡 : descend.
ꪑꪮỉ : avec plaisir
ꪑꪮỉ : par contre je sors de ton côté donc dégage
Il ouvre la porte. Il descend de la voiture,
je le pousse à l'extérieur avec mes pieds en même temps.
Des qu'il arrive à l'extérieur de la voiture il me lance un regard et referme la porte derrière lui et là !Là !
Là !!
Mdrr j'ai verrouillé la voiture.
J'ai dit que je ne rigoler pas :
ꪑꪮỉ : t'as plus qu'à aller te faire foutre *je lui fais un doigt*
Maintenant qu'il parle avec le bitume on verra qui est qui.
Je le regarde faire le tour de la voiture et essayer d'ouvrir la porte côté conducteur.
Je ne le lâche pas du regard histoire de ne pas rater une seule miette de son expression quand le fait de me tuer va lui passer par le tête.Je le regarde prendre conscience de la situation. Il
me lance un regard tellement sombre. Je détourne le regard.Al hamdou lli-llah, je suis dans la voiture. Je ne pense pas que je m'en serais sortie indemne si ça aurait été l'inverse. J'aurais eu des séquelles.
Maintenant, j'ai les clés, la voiture, le GPS avec l'adresse donc pourquoi je devrais me casser les pieds à attendre ici. Autant le laisser sur place.
Je ne l'ai pas fait.
J'allais le faire, surtout n'en doutais pas hein, sauf qu'au moment où je ne mis attendais pas, il a cassé la vitre d'un coup de coude. J'étais choqué. La vitre !!!
Je le regarde brisé le reste avec sa main.
Je suis restée sans voix devant cette folie. Il a tellement plus fou que nous sur cette terre.
Il a pété la vitre ...
Franchement j'ai peur mais j'ai pas bougé d'un poil. Rien à faire. Qu'il me casse les dents et qu'on en parle plus.
Il ouvre la porte. Je le regarde faire, il retire aussi tous les bouts de verre du siège à main nue. Dans ma tête je me faisais la réflexion « ça doit faire mal d'enlever les bouts de verre à la main »
Puis j'ai commencé à voir du sang couler de sa main... j'ai un peu .... Un peu .... Un peu paniqué :
ꪑꪮỉ : ta main !
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𝑭𝒂𝒕𝒆𝒉 & 𝑫𝒋𝒆𝒏𝒂𝒃𝒆 | : « 𝑃𝑎𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒́𝑝𝑖𝑡 »
Romance« 𝑻𝒖 𝒎'𝒂𝒊𝒎𝒆 ? » je serais curieuse de sa réponse mais je n'ai pas envie de l'entendre. Quoi qu'il dise, je ne le croirais pas. Et moi je ne répondrais que par des mensonges.