Nessya : Le bonheur entre nous

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Nessaymm

N E S S Y A.

J'étais prête de la tête au pied, prête à voir le premier homme qui m'a aimé, j'ai été son première amour mais moi, je n'ai jamais eu aucun sentiment envers les garçons. Je n'étais jamais tombé amoureuse, lui au lycée forçait avec moi au point de vouloir me payer pour l'aimer, c'était la folie, j'espère qu'il ne m'aimera plus.

Je me suis habillé chaudement, j'ai pris mon sac puis je sortis de mon nouvelle appartement. En sortant j'ai mis ma capuche, je ne voulais plus aucun contact avec personne à cause de ce que mes cousins ont pu me faire. Je voulais que personne me passe le bonjour.

Je sortais du bâtiment, c'était nouveau pour moi d'emprunter un nouveau chemin.

Il pleuvait, et moi j'étais entrain de parler en message avec Nourdine qui m'attendait à côté d'une bibliothèque pas très loin.

Je ne stresse pas car je sais le genre de Nourdine, il ne changera jamais.

Je marchais, je faisais pas attention devant moi. Je prêtais attention au message que j'envoyais à Nourdine, il m'attendait depuis un moment j'étais juste en retard.

Je marchais vite mais sa ne changeai pas, j'avais toujours le pas très lent.

Je me sentais pas bien, je pensais constamment à Issam et mes cousins, ce qu'ils ont pu faire et ce que Issam a pu leur faire. Je suis persuadé qu'il a fait quelque chose.

Nourdine m'attendait, j'étais arrivé dix minutes après. Nourdine était sur un banc, tout en me fixant et ne lâchant pas son long regard insistant sur moi.

Habillé de la tête aux pieds d'un Survêt noir, ses yeux verts étaient la seule couleur qui reflétaient son apparence.

Une fois devant lui, nos regard ne se lâche plus. Juste nos yeux parlaient entre nous.

Nourdine : Mash'Allah, tes yeux sont la plus belle chose que j'ai pu voir sur cette terre.

Je soupire, j'espère qu'il n'est plus amoureux de moi.

Moi : Nourdine, qu'est ce que tu veux ? Passe moi le numéro d'Issam et je m'en vais.

Nourdine : Laisse moi admirer tes yeux et ferme ta gueule.

Moi : Donne moi le numéro, sinon je m'en vais.

Nourdine : Ta un truc avec lui ? Dit il en prenant ma main.

Je la retire violemment en reculant, il ne changera jamais.

Moi : Non et ne me touche plus, je veux aucun contact avec toi.

Nourdine : T'es en couple ?

Moi : Non ! Ma vie privé ne te concerne pas.

Nourdine plisse les yeux.

Nourdine : On t'a fait des attouchements ?