Nessya : Le bonheur entre nous

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Nessaymm

N E S S Y A.

Je regardais le vide, j'étais toujours autant traumatisé et sous le choque. Je tremblais des mains, j'en pouvais plus de cette situation.

Issam conduisait énervé, il insultait de tout les noms mes cousins.

Il me parlait mais je ne répondais pas, je ne voulais pas lui parler n'y ouvrir ma bouche.

Sa veste était sur moi, cachant mon corps désastreux.

Mes larmes séchaient sur mes joues, Issam avait mis le chauffage à fond pour moi. Mais il criait au téléphone en menaçant la personne avec qui il parlait.

Il s'est arrêté devant le bâtiment d'hier, avant qu'il me plante.. Issam parlait toujours au téléphone.

Je me suis tourné vers lui, sa tête était baissé, les sourcils froncés entrain de ce tenir l'arrêt du nez avec ses deux doigts de la main droite.

Sa main, était rempli de veine qui ressort. C'est très jolie sur lui.

Je le fixais toujours pendant que lui parlais au téléphone avec un air énervé comme d'habitude, sa devenait une forte habitude de le voir crier.

J'ai tapoté sur son épaule, il s'est retourné vers moi le regard questionnant.

Moi : Tu peux ouvrir les fenêtres ? Dis je avec la voix cassé.

Issam : On sort, t'inquiète.

Il est sortie en raccrochant au téléphone, je suis sorti de même mais il a crier mon prénom.

Issam : Attend, j'vais te porter.

Je l'ai laisser faire, j'en avais besoin et puis je n'avais pas la force de débattre avec lui.

Issam est arrivé vers moi, il m'a prise en me portant les genoux ainsi que son autre bras les omoplates. Je me sentais comme une princesse.

Il a fermé les portières de sa voiture, encore une nouvelle.

Je me tenais à son cou, ma tête était en l'air, me laissant respirer son odeur. Il sentait si bon.

Issam a monté les escaliers mais je l'ai arrêté.

Moi : Attend..

Issam : J'te fais mal ?

Moi : Non mais.. je veux pas que tu montes les escaliers en m'ayant sur tes bras, je marcherais t'inquiète pas.

Issam : C'est bien de ma faute si tu marches pas hein ? J't'ai planté non ? Alors laisse moi te porter j'vois pas pourquoi tu veux pas.

Moi : Je suis grosse, tu vas te fatiguer à force. T'habite au dernier étage !

Issam : Si toi t'es grosse moi j'suis plus obèse que le mot obésité, w'Allah t'es pas grosse au contraire, j'ai l'impression de porter ma cousine.