𝑭𝒂𝒕𝒆𝒉 & 𝑫𝒋𝒆𝒏𝒂𝒃𝒆 | : « 𝑃𝑎𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑐ℎ𝑜𝑖𝑥 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑎𝑟 𝑑𝑒́𝑝𝑖𝑡 »

~𝟺~

~𝟺~

ᦔ᧒ꫀ᭢ꪖꪉꫀ

Encore moi, sinon c'est pas drôle.

ℒ𝑒 𝓁𝑒𝓃𝒹𝑒𝓂𝒶𝒾𝓃...

Je m'en vais travailler. Même si j'ai pas envie ici c'est travailler ou finir à la rue. Je n'ai absolument pas choisi cette vie là :

[...]

En quittant le travail, je rejoins Keshia pour aller manger. Houleye nous a rejoints quand on est sorti du restaurant :

ℋ𝑜𝓊𝓁𝑒𝓎𝑒 : alors ?

ꪑꪮỉ : alors quoi ?

ℋ𝑜𝓊𝓁𝑒𝓎𝑒 : t'as croisé ton camarade Fateh

ꪑꪮỉ : c'est ton camarade à toi ouais

ꪑꪮỉ : pourquoi je vais le croiser ? Qu'il essaye juste de venir, on va se battre seulement.

ℋ𝑜𝓊𝓁𝑒𝓎𝑒 : rien que tu parles de lui tu n'es pas bien, ta peur, t'es là, tu fais la forte

ꪑꪮỉ : qu'il vienne, tu vas voir qui est qui

Кеѕнια : moi, je crois en toi, Djenabe

ꪑꪮỉ : mercii ma go, personne ne rigole avec toi

ℋ𝑜𝓊𝓁𝑒𝓎𝑒 : moi, je te dis, c'est tout, tu verras bien.

ꪑꪮỉ : je vais bien voir

Кеѕнια : *rire*

Кеѕнια : bon, moi, j'ai le mariage de ma cousine à préparer, je vais vous laisser

ℋ𝑜𝓊𝓁𝑒𝓎𝑒 : moi aussi, je pars. Je suis venue récupérer ma clé

Je lui donne la clé qu'elle avait oubliée chez moi. Je leurs dis au revoir et je m'en vais. Je rentre chez moi.

J'arrive devant ma voiture. Je monte et je m'en vais.

Sur le chemin du retour, je fais un petit détour vers la poste, à côté de chez moi, pour retirer des sous. C'est juste en bas de ma rue. Au départ, je me suis dit que j'allais y aller en voiture.

Puis j'ai vu le beau temps et je me suis dit que j'allais marcher.

Je dépose ma voiture devant chez moi. Je la gare bien et je m'en vais à pied.

Je prends mon sac et j'appelle Nejma en même temps.

J'appelle en FaceTime, la grosse tête d'un des jumeaux apparaît :

ꪑꪮỉ : eh, passe le téléphone à ta mère là.

Il me regarde et raccroche... Je rappelle, il décroche :

ꪑꪮỉ : donne le téléphone à ta mère.

Najib : maman ne peut pas répondre parce que je regarde tchoupi sur son téléphone

ꪑꪮỉ : donne le téléphone à ta mère ou je vais frapper tchoupi

Najib : *il me regarde*

Je le regarde, il tourne le téléphone sur sa droite, je vois le gros visage de Zayan :

ꪑꪮỉ : toi aussi, tu es là.